Récit offert par petit-esclave
Jamais je ne l'aurais cru, jamais.....
C'était un soir. Je m'étais rendu dans un bar de ma ville pour me détendre.
Elle était là. Une jeune femme seule au comptoir. Un regard échangé, un sourire, une parole. puis une discussion ensemble autour d un verre. C'est certain je la séduisais, et je maitrisais la situation. Je tendais mon piège. Elle était si jolie, si douce. Il fallut bien partir et vint le moment ou tout peut basculer. Soit on se quitte, soit on continue. La deuxième option s'imposa et venait d'elle. Elle me proposa de finir cette soirée chez elle. Mais bien sûr..
Le petit parcours entre ce bar et sa maison était court mais très long à la fois. J 'étais impatient. Je me sentais d'une telle force.
Arrivé chez elle nous continuâmes à discuter et boire un de ses délicieux vin . Des regards, des visages qui se rapprochent , des lèvres qui se touchent.. Elle me prit la main et me ditC'était un soir. Je m'étais rendu dans un bar de ma ville pour me détendre.
Elle était là. Une jeune femme seule au comptoir. Un regard échangé, un sourire, une parole. puis une discussion ensemble autour d un verre. C'est certain je la séduisais, et je maitrisais la situation. Je tendais mon piège. Elle était si jolie, si douce. Il fallut bien partir et vint le moment ou tout peut basculer. Soit on se quitte, soit on continue. La deuxième option s'imposa et venait d'elle. Elle me proposa de finir cette soirée chez elle. Mais bien sûr..
Le petit parcours entre ce bar et sa maison était court mais très long à la fois. J 'étais impatient. Je me sentais d'une telle force.
Elle me prit une main et l'attacha à un anneau, puis l'autre. Je en résistais plus. J'étais devenu un pantin. Ses gestes étaient doux mais fermes. Elle continuait à me regarder dans les yeux. Je compris à ce moment que je n'avais rien maitrisé du tout et que c'est bien elle qui m'avait pris dans son piège.
lorsqu'elle eut finit elle alla s assoir dans le fauteuil et m'ordonna de la rejoindre toujours à quatre pattes. Elle me fit lui baiser les pieds comme pour porter l'estocade.
Je dus m'allonger sur le dos . Elle posa ses pieds sur mon corps, pris un magazine et se désintéressa de moi
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