jeudi 5 septembre 2019

La sadotherapeute BDSM

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Les soumis Adrien et Nicolas se tenaient au fond de la pièce, sans mot sire, ils attendaient un ordre de leur femme. Maîtresse Lucie se leva la première et se dirigea vers son mari. Elle passa sa main dans le collier et le tira à elle comme s’il était un chien. Il avança à quatre pattes et se positionna à genoux, à côté de sa Maîtresse. Maîtresse Charlène l’imita mais sans se lever et de l’index, elle intima l’ordre à Nicolas, son mari, de venir à elle. Il obéit sans broncher et cala sa position sur celle de son voisin.
– Vous ne les avez pas féminisés aujourd’hui ?
– Non, pour venir, ce n’est pas évident mais sa petite tenue de soubrette est prête.
– Idem pour Adrien. Tu veux qu’ils s’habillent.
– Oui, je veux bien. C’est un bon exemple pour Paul.
Les deux femmes envoyèrent leurs soumis s’habiller en tenue de soubrette. Ils revinrent après quelques minutes. Adrien, portait un ensemble rose bonbon avec des talons aiguilles. Il était maquillé et de son côté, Nicolas, portait une tenue de soubrette noire et blanche classique, là aussi avec des talons aiguilles. Les deux soumis marchèrent les mains dans le dos en direction de leurs Maîtresses respectives et ils s’agenouillèrent devant elle, têtes baissées, en position d’attente des ordres de leur Maîtresse. Le soumis de Maîtresse Charlène portait de surcroît un collier avec une laisse qu’il tenait en bouche comme pour signifier à sa Maîtresse qu’elle pouvait en prendre possession.

BDSM

Fermeté dans le dressage des soumis


– Je crois Charlène qu’ils ont bénéficié d’un dressage identique ou presque.
– Tu peux le dire, c’est remarquable, regarde ce que l’on peut en faire avec un brin de patience et de ruse, n’est-ce-pas Soraya ?
– Tout à fait, la fermeté suivi d’un bon dressage et hop, des beaux esclaves à disposition. Mais, dis-moi Charlène, t’es-tu contentée des séances d’hypnose ou y as-tu rajouté des choses plus classiques telles que la badine, le fouet, les gifles etc…
– Excellente question, soit rassurée, j’y ai aussi rajouté des séances de dressage classique auxquelles tu fais référence. L’hypnose m’a d’ailleurs servi à lui faire accepter l’obéissance et les punitions, c’est le plus important. C’est pour ça que j’ai créé les séances « conditionnement à l’obéissance » et « accepter les punitions ». Cela facilite grandement les choses.
– Et bien, moi, je n’ai pratiqué aucune hypnose, ma volonté et son désir incontrôlable de soumission l’ont conduit là où il est, c’est-à-dire à mes pieds.
Elle lui ordonna d’un mouvement de l’index de lui baiser les pieds. Adrien s’exécuta aussitôt et lécha longuement les chaussures à talons de sa Maîtresse ainsi que ses semelles.
– Regardez comme c’est beau, un esclave vous lèche les pieds et pendant ce temps, sa Maîtresse peut profiter de la vie, je crois que l’on peut dire que c’est cela le bonheur. Qu’en penses-tu Charlène ?
– Je n’arrive pas à dire le contraire.

Esclaves au service de ces dames !


D’un geste, elle intima l’ordre à Nicolas de lui lécher les pieds. Il obéit immédiatement et lécha avec une grande application chaque centimètre carré de ses chaussures. Charlène l’observa avec un léger sourire au coin des lèvres et lorsqu’elle parut satisfaite du résultat, elle claqua dans ses doigts pour lui dire d’arrêter.
– Je me demande s’ils ne feraient pas tous les deux de meilleurs serviteurs que Paul qui débute lui. Qu’en penses-tu Soraya ?
– Si tu veux, allez, chercher la suite. Paul, vient là et prends en de la graine.
Adrien fut le premier à se lever pour aller chercher le plat suivant, Nicolas lui emboîta le pas. Leurs talons aiguilles claquèrent au sol et ils revinrent rapidement plats en main.
– Tiens commencez par Aurélie.
Adrien s’approcha d’elle et fit le service, son second proposa de la sauce. Une fois à hauteur de Charlène, celle-ci ne put s’empêcher de soulever la mini-jupe d’Adrien afin de regarder ses parties génitales diminuées. Elle lui baissa la culotte et tâta ses bourses. Ensuite, elle remarqua qu’il n’était pas encagé et fut très étonnée de ne percevoir aucune érection, la peau même était très lisse. Elle continua son inspection pour constater que sa feuille de rose était toute lisse aussi. Le collant ouvert qu’il portait lui permettait cette inspection, le soumis resta de marbre.

Conversation autour de leurs vies au quotidien avec leurs soumis


– Humm, j’adore sa placidité, il a l’habitude, cela se sent.
– Tout à fait, chaque fois que j’ai des amies, elles adorent venir le titiller et tâter son corps et ses parties.
– Je les comprends, c’est assez fascinant. Tu le prends souvent ?
– Une à deux fois par semaine. Et toi ?
– Pareil mais en plus, je veux qu’il me donne du plaisir. J’adore les cunnilingus et j’exige qu’il me lèche la chatte dès que j’en aie envie, j’aime le prendre de temps en temps mais ce n’est pas mon trip, si je puis dire. Ce que j’aime par-dessus tout, c’est de le prendre en missionnaire, je le regarde droit dans les yeux et je sens mon regard le pénétrer au plus profond de son âme. C’est comme cela que je sais qu’il m’appartient corps et âme. Son regard me dit tout. J’adore.
– Alors que moi, j’adore le prendre par sa petite chatte anale, j’aime l’entendre couiner comme une bonne petite salope. Je l’ai dépucelé, alors je peux me permettre si j’ose dire.
– Ah, je vois, quelle gourmande.
Rires des femmes de la table.
– Je sens Charlène que cette histoire de médicaments t’intéresse. D’ailleurs, tu n’es pas la seule, j’ai beaucoup de demandes.
– Oui, c’est vrai, cela me fascine et en effet, je dois réfléchir à tout cela avant de prendre toute décision.
– Je comprends, il ne faut en effet pas se précipiter, donc prends ton temps et réfléchit.
– C’est ce que je vais faire.
– Cela dit, pour Paul, je vais déjà lui apprendre la féminisation et on verra plus tard.
– Oui, tu as raison, chaque chose en son temps.
– Allez, la viande, allez, allez, au trot les soumis.