jeudi 5 septembre 2019

La sadotherapeute BDSM

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Les soumis Adrien et Nicolas se tenaient au fond de la pièce, sans mot sire, ils attendaient un ordre de leur femme. Maîtresse Lucie se leva la première et se dirigea vers son mari. Elle passa sa main dans le collier et le tira à elle comme s’il était un chien. Il avança à quatre pattes et se positionna à genoux, à côté de sa Maîtresse. Maîtresse Charlène l’imita mais sans se lever et de l’index, elle intima l’ordre à Nicolas, son mari, de venir à elle. Il obéit sans broncher et cala sa position sur celle de son voisin.
– Vous ne les avez pas féminisés aujourd’hui ?
– Non, pour venir, ce n’est pas évident mais sa petite tenue de soubrette est prête.
– Idem pour Adrien. Tu veux qu’ils s’habillent.
– Oui, je veux bien. C’est un bon exemple pour Paul.
Les deux femmes envoyèrent leurs soumis s’habiller en tenue de soubrette. Ils revinrent après quelques minutes. Adrien, portait un ensemble rose bonbon avec des talons aiguilles. Il était maquillé et de son côté, Nicolas, portait une tenue de soubrette noire et blanche classique, là aussi avec des talons aiguilles. Les deux soumis marchèrent les mains dans le dos en direction de leurs Maîtresses respectives et ils s’agenouillèrent devant elle, têtes baissées, en position d’attente des ordres de leur Maîtresse. Le soumis de Maîtresse Charlène portait de surcroît un collier avec une laisse qu’il tenait en bouche comme pour signifier à sa Maîtresse qu’elle pouvait en prendre possession.

BDSM

Fermeté dans le dressage des soumis


– Je crois Charlène qu’ils ont bénéficié d’un dressage identique ou presque.
– Tu peux le dire, c’est remarquable, regarde ce que l’on peut en faire avec un brin de patience et de ruse, n’est-ce-pas Soraya ?
– Tout à fait, la fermeté suivi d’un bon dressage et hop, des beaux esclaves à disposition. Mais, dis-moi Charlène, t’es-tu contentée des séances d’hypnose ou y as-tu rajouté des choses plus classiques telles que la badine, le fouet, les gifles etc…
– Excellente question, soit rassurée, j’y ai aussi rajouté des séances de dressage classique auxquelles tu fais référence. L’hypnose m’a d’ailleurs servi à lui faire accepter l’obéissance et les punitions, c’est le plus important. C’est pour ça que j’ai créé les séances « conditionnement à l’obéissance » et « accepter les punitions ». Cela facilite grandement les choses.
– Et bien, moi, je n’ai pratiqué aucune hypnose, ma volonté et son désir incontrôlable de soumission l’ont conduit là où il est, c’est-à-dire à mes pieds.
Elle lui ordonna d’un mouvement de l’index de lui baiser les pieds. Adrien s’exécuta aussitôt et lécha longuement les chaussures à talons de sa Maîtresse ainsi que ses semelles.
– Regardez comme c’est beau, un esclave vous lèche les pieds et pendant ce temps, sa Maîtresse peut profiter de la vie, je crois que l’on peut dire que c’est cela le bonheur. Qu’en penses-tu Charlène ?
– Je n’arrive pas à dire le contraire.

Esclaves au service de ces dames !


D’un geste, elle intima l’ordre à Nicolas de lui lécher les pieds. Il obéit immédiatement et lécha avec une grande application chaque centimètre carré de ses chaussures. Charlène l’observa avec un léger sourire au coin des lèvres et lorsqu’elle parut satisfaite du résultat, elle claqua dans ses doigts pour lui dire d’arrêter.
– Je me demande s’ils ne feraient pas tous les deux de meilleurs serviteurs que Paul qui débute lui. Qu’en penses-tu Soraya ?
– Si tu veux, allez, chercher la suite. Paul, vient là et prends en de la graine.
Adrien fut le premier à se lever pour aller chercher le plat suivant, Nicolas lui emboîta le pas. Leurs talons aiguilles claquèrent au sol et ils revinrent rapidement plats en main.
– Tiens commencez par Aurélie.
Adrien s’approcha d’elle et fit le service, son second proposa de la sauce. Une fois à hauteur de Charlène, celle-ci ne put s’empêcher de soulever la mini-jupe d’Adrien afin de regarder ses parties génitales diminuées. Elle lui baissa la culotte et tâta ses bourses. Ensuite, elle remarqua qu’il n’était pas encagé et fut très étonnée de ne percevoir aucune érection, la peau même était très lisse. Elle continua son inspection pour constater que sa feuille de rose était toute lisse aussi. Le collant ouvert qu’il portait lui permettait cette inspection, le soumis resta de marbre.

Conversation autour de leurs vies au quotidien avec leurs soumis


– Humm, j’adore sa placidité, il a l’habitude, cela se sent.
– Tout à fait, chaque fois que j’ai des amies, elles adorent venir le titiller et tâter son corps et ses parties.
– Je les comprends, c’est assez fascinant. Tu le prends souvent ?
– Une à deux fois par semaine. Et toi ?
– Pareil mais en plus, je veux qu’il me donne du plaisir. J’adore les cunnilingus et j’exige qu’il me lèche la chatte dès que j’en aie envie, j’aime le prendre de temps en temps mais ce n’est pas mon trip, si je puis dire. Ce que j’aime par-dessus tout, c’est de le prendre en missionnaire, je le regarde droit dans les yeux et je sens mon regard le pénétrer au plus profond de son âme. C’est comme cela que je sais qu’il m’appartient corps et âme. Son regard me dit tout. J’adore.
– Alors que moi, j’adore le prendre par sa petite chatte anale, j’aime l’entendre couiner comme une bonne petite salope. Je l’ai dépucelé, alors je peux me permettre si j’ose dire.
– Ah, je vois, quelle gourmande.
Rires des femmes de la table.
– Je sens Charlène que cette histoire de médicaments t’intéresse. D’ailleurs, tu n’es pas la seule, j’ai beaucoup de demandes.
– Oui, c’est vrai, cela me fascine et en effet, je dois réfléchir à tout cela avant de prendre toute décision.
– Je comprends, il ne faut en effet pas se précipiter, donc prends ton temps et réfléchit.
– C’est ce que je vais faire.
– Cela dit, pour Paul, je vais déjà lui apprendre la féminisation et on verra plus tard.
– Oui, tu as raison, chaque chose en son temps.
– Allez, la viande, allez, allez, au trot les soumis.

lundi 26 août 2019

Les deux Maitresses Dominatrice et la lope!


ma Maitresses dominatrice, Clara, remonta sa robe jusqu’à ses genoux et se mit au dessus du saladier. Ensuite, elle fit don de son nectar et remplit le saladier presque à raz bord. Maîtresse Élodie me demanda d’enlever ma cagoule.

Maitresses Dominatrice

-tiens ce sera ta boisson ! Tu en auras assez aha
-oui Maîtresse, merci Maîtresse !
-Allez !! bois !
Je mis la tête au dessus du récipient. Soudain, Maîtresse Élodie appuya son pied sur ma tête, ce qui me fit plonger la tête dans l’urine de ces deux magnifiques créatures. Je refis surface et les deux Maîtresses dominatrice éclatèrent de rire de me voir, ainsi, dégoulinant de leur champagne. Une grande gifle m’arriva en plein visage.
-tu en mets partout sur le parquet petite chienne.  Tu vas me lécher cela tout de suite ! allez!!
-oui Maîtresse !
Je me mis à lécher les petites flaques sur le parquet.  J’en avais plein les cheveux et je sentais vraiment fort.
-tu pues petite chienne ! Quand tu auras fini, tu nous rejoindras dans le jardin !
-oui Maîtresse !
Je finis de lécher le sol et je rejoignis les deux Maîtresses dominatrice. Maîtresse Clara avait un tuyau d’arrosage à la main et je compris de suite ce qui allait m’arriver !
-allez ! met toi debout ! Je vais te nettoyer moi.

Nettoyage de la lope !

Elle mit l’eau à fond. Il y avait beaucoup de pression et elle était froide surtout. Une fois mon lavage fini, Maîtresse m’ordonna de remettre ma cagoule et d’aller chercher le reste d’urine. Je m’exécutai et ramenai le saladier à moitié rempli.
-tu vas aller mettre ça au congélateur ! Cela peut toujours servir aha !

samedi 13 juillet 2019

LE GODE CEINTURE : RENCONTRE MÉTRO, FORMATION



gode ceinture

Le gode ceinture

Le gode ceinture, un des jouets préférés des femmes dominatrices, va entrer en piste…

Elle se masturbe devant mes yeux et utilise maintenant son talon aiguille pour me griffer le dos ou secouer ma queue. Ensuite, elle commence à rapprocher le gode ceinture pour s’en équiper.

Cependant, nous sommes interrompus par la sonnerie de son interphone.

Elle attrape un masque en se levant, le pose sur mes yeux et le serre avec la cravate dont j’avais réussi à me débarrasser. Je suis toujours menotté et j’en profite pour frotter ma  queue sur le tissu du canapé. Tellement j’ai envie de jouir, je sens ma queue mouiller.

J’entends ma Maîtresse répondre à l’interphone, dire à peine quelques mots. Il s’agit, certainement,  d’un vendeur de porte à porte. Ensuite, elle revient vers moi. Elle bouge derrière moi et commence à claquer mes fesses avec la cravache. Je me contracte puis me relâche. Je crains les coups qui montent en puissance. Il y a, ensuite, une petite pause. J’arrive à percevoir le bruit des touches sur son téléphone. J’ai la certitude qu’elle doit encore me filmer dans cette position.

Elle pose le gode ceinture sur mon dos, encore sensible, à cause de ses griffures. Puis, elle le fait avancer et reculer sur celui-ci pour simuler la pénétration. Elle se positionne de nouveau devant moi sur le canapé et me fait sucer le gode ceinture.

Arrivée d’une amie

J’entends le claquement de la porte de nouveau, et ma Maîtresse dire :

-Entre ma chérie, je t’attendais pour te présenter mon nouveau jouet du jour. Je l’ai découvert ce matin dans le métro. Il est, déjà, à mes pieds et prêt à se faire baiser. Regarde comme il suce bien. Lui aussi, il aime sucer ! Tiens, prends mon téléphone et filme cette salope entrain de sucer ce gode. Evite mon visage !  mais pas le sien, bien au contraire ! Envoie toi la vidéo, comme ça, si tu as envie de t’en servir un jour.

L’amie de ma Maîtresse ne dit pas un mot, ce qui me fait craindre le pire. Est ce un homme ou une femme ? Elle a dit « ma chérie » tout à l’heure, mais sa perversion pourrait très bien avoir fait exprès pour me tromper.

Ma Maîtresse se relève, et retourne derrière moi. Elle recommence à m’asséner des coups de cravache. Cela a pour conséquence, après de multiples contractions, d’éjecter assez facilement le plug qui se trouvait encore  en moi. Je ressens une forme de soulagement. Je n’ai pas senti que l’autre personne dans la pièce avait pris la place de ma Maîtresse.  Le gode se balade de nouveau sur mon dos, et ma Maîtresse me dit :

-Fais moi honneur et fais jouir ma copine !

Ma Maîtresse jouit !

Et je sens deux mains se poser sur ma tête et me diriger vers son sexe. Il s’agit bien d’une femme. Je sens une odeur bien claire de désir féminin, comme si elle avait déjà envie depuis longtemps. Ma Maîtresse positionne le gode ceinture puis lubrifie de nouveau mon petit trou. Elle glisse un petit tube à l’intérieur et injecte une quantité importante de lubrifiant. Le gode aussi est lubrifié par ses soins et elle pousse lentement à l’entrée.

-Allez mon chien, pousse fort comme tout à l’heure et accueille ta Maîtresse bien en toi ! Continue à te concentrer à bien lécher ma chérie, elle le mérite largement ! : relance t-elle en éclatant de rire !

La tête du gode ceinture vient de rentrer. Je relève la tête mais l’amie de ma Maîtresse me replonge dans son sexe. Ma Maîtresse ne s’arrête plus et s’enfonce en moi. Je me sens totalement pris, un vrai chien-salope, et les allers-retours incessants qu’elle va faire sans quasiment aucun arrêt. J’ai le cul en feu, mais elle va jouir d’excitation cérébrale et physique des frottements de la ceinture du gode sur son clitoris !

A quelques secondes de ma Maîtresse, je ferai jouir par ma langue, la copine de ma Maîtresse. Bien que cette dernière m’ait enlevé le bandeau pour retrouver la vue, les mains de cette amie me maintiendront trop fermement sur son sexe pour que je puisse l’apercevoir avant qu’elle ne jouisse aussi !

Ma sex friend prend sa revanche !

Ma Maîtresse laissera la queue fichée dans mon cul se détachant de celui ci par les sangles.

Argghhhh, je relève la tête, fier d’avoir fait jouir ces deux femmes, avant de me rendre compte que c’est ma sex-friend que je viens de faire jouir. Elle vient de tout filmer comme lui a proposé ma nouvelle Maîtresse.

-Ah, tu voulais lécher, sucer et bien je vais te baiser aussi maintenant !

Couplant le geste à la parole, elle prit la place de ma Maîtresse en harnachant du gode encore en moi. Elle me baisa plus par fierté de m’humilier qu’autre chose. Je suppliais qu’elle arrête les larmes aux yeux. Elle jubilait après avoir été déçue.

Elle me claqua le cul et me...la suite du gode ceinture

samedi 6 juillet 2019

Préparation du dîner pour sa Reine, femme dominatrice

https://drive.google.com/uc?export=view&id=1gbE05u1HdaN8YiMfykhi5JfzpkM4lPrn

Préparation du dîner pour sa Reine, femme dominatrice

 

J’entendais le son de la télévision. Ma Reine cette magnifique femme dominatrice, était en train de se reposer devant et moi j’étais dans la cuisine, nu, devant préparer son dîner. Il me restait 30 minutes. Elle m’avait proposé de faire des nouilles que je venais d’acheter. J’ouvris les différents placards et tiroirs pour enfin trouver une casserole. Eau, plaque électrique et attente que l’eau bouille. Je ne pouvais faire les pâtes seules, j’ouvris le frigo, un léger froid me caressait le corps.

Le frigo était quasiment vide. Je vis un petit bol avec une sorte de reste de tomates, viande hachée et haricot vert, je pensai tout de suite aux restes dont Madame m’avait parlés quelques minutes auparavant. Le fond sonore de la télévision se faisait toujours entendre, lorsque d’un ton autoritaire j’entendis Madame :

-Je veux mon verre de vin tout de suite !

Je restai devant le frigo, porte ouverte pendant quelques secondes me demandant de quel vin elle voulait parler. Madame reprit :

-J’ai dit tout de suite !

Je refermai la porte du frigo et recherchai du regard autour de moi une bouteille de vin. Ensuite, je vis sur le comptoir, non loin de l’évier, une bouteille de vin entamée. Je rouvris les placards pour trouver un verre à pied, en pris un, mis le vin et me dirigea vers le salon.

 

Aux petits soins, de MaDame, femme dominatrice

 

Madame était assise sur le fauteuil en face de la télévision. Elle ne me regardait pas. Sentant ma présence, elle leva juste sa main prête à prendre un verre.

-Donne !  m’ordonna-t-elle.

Je m’exécutai. Elle prit le verre et ses magnifiques lèvres se posèrent sur le bord pour se délecter de la boisson.

-Retourne à ton devoir ! me dit-elle froidement.

Je repartis vers la cuisine. L’eau de la casserole frémissait. Je mis une dose de coquillette pour une personne, baissa un peu le thermostat de la plaque et commençai à chercher une poêle pour réchauffer les restes trouvés dans le frigo. Ensuite, par-dessus le fond sonore de la télévision Madame s’exclama :

-Mais qu’est-ce qu’ils sont cons !

Elle regardait un journal télévisé. Puis elle m’interpella :

-Hé ! le cuistot là ! Ramène-moi des biscuits apéros !

Je posai la poêle sur une plaque et cherchai dans différents tiroirs et placards avant de trouver.

Ensuite, je me dépêchai un peu de peur que Madame, impitoyable femme dominatrice, ne s’impatiente. Je l’entendais s’exclamer sur plusieurs annonces des informations. Après, je pris un petit bol que j’avais repéré pour mettre les biscuits apéros et lui apportai cela dans le salon.


mardi 25 juin 2019

Naissance bdsm d’un homme soumis

https://drive.google.com/uc?export=view&id=10WjSJ7u35uWp1Ao4HnakCsYT2g4WKJnI

Je vais vous raconter comment je suis devenu un homme soumis et comment tout à commencer.
Je peux dire que je suis un chanceux. En effet, beaucoup rêvent d’être aux pieds d’une  magnifique femme dominatrice. Cependant, pour la plupart, cela reste du domaine du fantasme.  Ainsi, ils vont vivre toute leur vie, en ressentant une  grande frustration.
J’ai pour ma part l’honneur d’avoir vécu cela très jeune. En effet, je suis devenu un homme soumis lorsque j’avais une vingtaine d’années à l’époque.
Aujourd’hui j’ai 40 ans, il est temps de faire un bilan sur mes expériences et sur ce que j’ai vécu lorsque j’étais plus jeune.
Ainsi, à l’époque, j’étais jeune, inexpérimenté mais très motivé pour autant. Un beau jour, je suis tombé sur une annonce peu banale sur internet.

 

« Recherche homme soumis… »

 

Voilà ce qui était écrit dans cette annonce  :
« Je recherche mon futur soumis, il doit avoir moins de 30 ans. je vous demanderai d’envoyer une lettre de présentation ainsi que trois photographies de vous, une habillée et deux autres sur lesquelles vous serez présenté nu, recto-verso bien sûr.
Plaisantins et autres fantasmeurs, s’abstenir, ne me faites pas perdre mon temps !
Ma recherche est bien réelle
A très bientôt
Maîtresse Caroline. »
Je ne sais pas ce qui c’est passé dans ma tête, à ce moment là, mais cette annonce fût comme un électrochoc.
lire la suite de cette histoire bdsm

mercredi 8 mai 2019

HISTOIRE D’UN HOMME SOUMIS, ESCLAVE DE SES PASSIONS

Interpelé par une Dame sur le site  slave-selection  , me demandant mon téléphone, mon courriel et mon adresse postale, l’homme soumis que j’étais n’hésita pas à fournir à la Dame ce qu’Elle demandait. Intrigué, je l’étais car jusqu’à présent, personne ne m’avait demandé ces éléments. La Dame se présenta après quelques jours par courriel pour me demander de me présenter. Elle s’appelait Artémis[1], en référence à la Déesse grecque. J’avais donc la tâche de présenter mes compétences sans faire de l’ombre à Dame Artémis. Soumis, esclave de mes passions, à 58 ans, je répondis précisément à ses interrogations. Comment suis-je devenu soumis ? En fait, je suis né soumis. Je reconnais la supériorité Féminine dans toutes les valeurs qui sont les miennes, à savoir : la solidarité, l’entraide…. Aussi loin que je m’en souvienne, cette reconnaissance de la supériorité féminine est née lorsque la conscience que j’avais du monde est née. Mon entourage était Féminin, les soins, la nourriture, la protection… et ce fut cela jusqu’à mon adolescence. Comment aujourd’hui, ne pas reconnaître la gynarchie comme un pouvoir en voie de développement mais non officiellement reconnu ?

Lire l'histoire complete sur Dominamag
http://dominamag.com/recits/histoire-homme-soumis-esclave-de-ses-passions/

samedi 4 mai 2019

PRÊT À DEVENIR SON ESCLAVE BDSM!




Nous avions rendez-vous au Port de plaisance d’Arcachon. J’avais rencontré Estelle sur le site de rencontres « slave-selection », nous avions été boire un verre ensemble du côté des Abbesses à Paris. Je lui avais immédiatement trouvé beaucoup de charme : de longs cheveux châtains, un chignon, un port de tête bien droit, de jolis yeux couleur noisette, quelques petites tâches de rousseur sur les joues, et une robe légère en tissu coloré qui lui donnait un charme quelque peu ancien. Je vis immédiatement qu’elle avait reçu une bonne éducation : elle était cultivée, savait bien manier les mots et était capable d’un humour très fin qui incluait l’auto-dérision. Ses parents étaient originaires de Bordeaux, des viticulteurs, mais elle était partie faire ses études à Paris, dans le droit. Elle se vouait à une carrière d’avocate. En fait, elle se fichait un peu de la justice mais, intellectuellement, cela lui était facilement accessible. Aussi, elle avait opté pour cette voie, sûrement pour être sûre de pouvoir échapper rapidement à l’emprise de sa sphère familiale, trop traditionnelle. Les mœurs d’Estelle étaient beaucoup plus libérales que les leurs. Elle avait beaucoup voyagé à Londres et à Berlin et avait expérimenté bien des choses, sur le plan sexuel notamment, mais elle ne voulut pas entrer dans les détails.

Lire le témoignage complet sur Dominamag :

http://dominamag.com/recits/pret-a-devenir-son-esclave/

mercredi 1 mai 2019

PRÊT À DEVENIR SON ESCLAVE !

Nous avions rendez-vous au Port de plaisance d’Arcachon. J’avais rencontré Estelle sur le site de rencontres « slave-selection », nous avions été boire un verre ensemble du côté des Abbesses à Paris. Je lui avais immédiatement trouvé beaucoup de charme : de longs cheveux châtains, un chignon, un port de tête bien droit, de jolis yeux couleur noisette, quelques petites tâches de rousseur sur les joues, et une robe légère en tissu coloré qui lui donnait un charme quelque peu ancien. Je vis immédiatement qu’elle avait reçu une bonne éducation : elle était cultivée, savait bien manier les mots et était capable d’un humour très fin qui incluait l’auto-dérision.https://drive.google.com/uc?export=view&id=1v7kGQCDgNPuHt00re_xgEFKuBht-Qxqr

Ses parents étaient originaires de Bordeaux, des viticulteurs, mais elle était partie faire ses études à Paris, dans le droit. Elle se vouait à une carrière d’avocate. En fait, elle se fichait un peu de...


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mardi 23 avril 2019

Histoire d'un homme soumis : Marie à tout prix (5)

Totalement homme soumis à Marie !




J’ai obéi, en homme soumis que je suis devenu. Le soir même où j’ai léché, docilement, le sexe de ma Maîtresse (curieux quiproquo dans le langage si les derniers chapitres n’ont pas été lus), j’ai rejoint ma femme et l’ai embrassé langoureusement. A-t-elle reconnu un parfum différent ? Elle ne l’a pas mentionné en tout cas. Et les baisers ont engagé la suite. Je ne cessais de penser à ma Maîtresse plutôt qu’à celle que j’aimais et qui descendait désormais vers la fellation, longue, parfaite.Puis je l’ai tournée d’autorité et, de ma contre-nature dominante, je l’ai baisée sans douceur. 

Avec cette rage dominante qui l’asservissait en simple et fragile objet sexuel qui gémissait son plaisir. Habitué à lui lancer des mots crus et asservissants pour la stimuler, ils n’avaient jamais sonné aussi vrais dans ma bouche que ce soir là. J’imaginais ma reine au bout du lit, le pied sur la tête courbée de ma peut-être future femme qui se faisait prendre en levrette.Marie avait réussi son coup. Elle était là, sans l’être. Elle occupait mes esprits, forçait par mon imagination ma soumission à ses yeux stricts et ses gestes parfaits. Ambre venait de perdre toute consistance. Elle l’avait ressenti, et elle en a joui. 

Pas moi.Conversation avec AmbreJ’ai la fâcheuse tendance à souvent tenir mes érections trop longtemps pour jouir avant mes partenaires. Je ne jouis pas facilement, et cela plaisait énormément à Ambre quand nos ébats duraient entre trente minutes et une heure. Je n’en retirais pas la même satisfaction. La seule frustration de ma petite amie était de ne pas être capable de me faire venir par fellation, pour les mêmes raisons. Elle mesurait un petit mètre soixante, ce qui rendait par ailleurs mon sexe de 17 cm suffisant pour elle. Je n’ai jamais eu de rapport avec de grandes femmes, j’ignorais si un gabarit comme celui-là pourrait autant satisfaire quelqu’un de plus grand.Nous nous sommes couchés après l’acte et avons longuement discuté. Il était difficile pour moi de la suivre sans faute quand elle parlait de sa meilleure amie. Je me demandais alors combien de temps un tel secret durerait. J’aurais souhaité à jamais.- Tu la trouves belle ? me demanda-t-elle soudainement.




vendredi 19 avril 2019

A LA MERCI D'UNE MAGNIFIQUE FEMDOM

bdsm dating


Je restais trois heures ainsi momifié sur le lit, les intestins et la vessie prêts à exploser à tout instant et je désespérais de voir revenir Dame Houria, cette femdom impitoyable. Je l’entendais bouger en bas, elle semblait m’avoir oublié. Elle parlait beaucoup au téléphone mais ses mots n’étaient qu’un baragouinement incompréhensible. J’étais terrifié et perdu. Comment avais-je pu me laisser emprisonner de la sorte? Ce ne devait être qu’un jeu normalement et voilà que me retrouvais entre les mains d’une folle sans savoir ce qui allait m’arriver. Allait-elle me libérer à un moment et me laisser repartir chez moi ? Je commençais à en douter. Au bout d’un temps interminable, j’entendis ses pas dans l’escalier et elle apparut de nouveau sur le pas de la porte, un mauvais sourire sur le visage. -Alors ? Tu passes du bon temps ? : me lança-t-elle. Dans le crissement de ses bas et les froissements de sa jupe trop serrée autour de ses cuisses et de son derrière imposant, elle vint s’asseoir sur le rebord du lit. Elle commença à faire pression sur mon ventre et ma vessie de ses deux mains en pratiquant un massage vigoureux. Ce fut une explosion de douleur dans les entrailles. Je hurlais dans mon bâillon, me tortillant vainement sur le lit, pleurant comme jamais pour tenter d’attirer sa pitié. Mais cela ne fit qu’encourager dame Houria qui garda durant tout ce temps son regard malsain braqué sur mon visage, se repaissant de ma moindre mimique de souffrance...

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dimanche 7 avril 2019

JEUX BDSM

Maya avec l’assentiment d’Annie m’affubla du prénom de « Sucette ». Cela promettait pour la suite. Alors, Maya saisit son autre mallette qu’elle ouvrit en la partageant en deux puis en quatre comme une trousse à outils. Et c’était le cas, on y trouvait rangés par ordre de taille des gods, des gods ceinture, des plugs, des pinces à seins, des colliers et des laisses, des cockrings, des menottes enfin des fouets. Il s’agissait de l’attirail de la parfaite dominatrice pour des jeux BDSM.


-A toi l’honneur ! : dit-elle à ma femme, en lui tendant un collier d’esclave et une laisse.
-Met un point d’orgue à son état de soumis, en lui passant cet attribut d’esclave qu’il devra dorénavant conserver. Promène maintenant cette chienne en laisse à quatre pattes pour lui montrer sa nouvelle condition. Allez Sucette, remercie Madame de te promener comme une chienne que tu es.
-Je suis à vos ordres, Madame ! : dis-je à ma femme que je ne reconnaissais pas et qui entrait de plus en plus dans le jeu. Elle me promena ainsi fermement tiré par le cou et à genoux et presque nu dans l’appartement. J’étais totalement asservi et cela lui plaisait vraiment semble-t-il.
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