vendredi 20 décembre 2013

Voulez-vous explorer votre côté dominatrice ?

vous souhaitez devenir dominatrice, cette femme qui prend les choses en main, qui n’a pas peur d’obtenir ce qu’elle veut tout en obligeant son partenaire à passer à la vitesse supérieure ? 
Où peut-être avez-vous un désir ardant de pouvoir érotique sans vouloir tomber dans le cliché de la salope en cuir ?
Peut-être que votre partenaire vous a demandé de prendre le contrôle et que vous vous retrouvez en pleine confusion et conflit avec vos désirs ?
Rassurez-vous, vous êtes nombreuses dans ce cas.

Les médias et la société nous donne une fausse image négative des dominatrices. En cuir, un fouet à la main, elles n’aiment pas les hommes et les tortures avec perversité.
La vérité, c’est que les vraies dominatrices sexuelles sont partout et existent dans la majorité des femmes et aiment les hommes. 

Pour comprendre la femme dominante et pour en devenir une, écartez-vous des stéréotypes de la dominatrice SM. Vous devez juste devenir une femme en possession de votre sensualité et vous laissez porter par VOS désirs sexuels et VOS envies. Ceci est la clé. Peu importe vos désirs et envies sexuelles, vous devez utiliser votre féminité pour plier votre partenaire à VOS désirs à vous, quels qu’ils soient.

Il existe des icônes classiques de la femme dominante et sexy : Les amazones, Cléopâtre, Mata Hari. Il y a aussi des stars de la pop culture qui ont un pouvoir Domina, comme Madonna, Rihanna, nicki Minaj ou Angelina Jolie.

Mais n’oubliez pas que le pouvoir féminin est présent dans la femme de tous les jours. Elle fait gracieusement face à de nombreux obstacles et challenges dans sa vie avec humour et détermination et créer ainsi sa propre destinée et son propre succès dans la vie.
Prenez conscience de tous ces challenges que vous avez dû surmonter et dans lesquels vous avez obtenu une plus grande confiance en vous. Il y a du pouvoir féminin en vous, attendant d’être relâché également dans le lit.

Le cœur de la puissance féminine et de la domination féminine est simple, mais loin d’être facile à formuler. C’est la confiance en votre pouvoir féminin. Ce n’est pas un costume fétichiste, un corset, le latex, les talons-aiguilles, le bondage ou n’importe quelle activité cochonne qui vous fera devenir dominatrice. L’essence même de la Dominatrice se résume dans son pouvoir féminin sur les hommes. Il faut en prendre conscience et le développer. 

De nombreuses Femmes  ont développé leur coté Dominas avec un homme soumis expérimenté. Un homme soumis expérimenté ne parle jamais de ses fantasmes et désirs, mais vous soutient dans le développement de vos fantasmes et envies. Pour cela, il prend en charge toutes les taches ménagères, les courses, les repas, vous masses, vous relaxes, il crée une atmosphère propice au développement de votre coté Domina et prend beaucoup de plaisir à le voir se développer. Nous avons crée le site slave selection pour vous aider à trouver le soumis qui vous convient, n’hésitez pas à y faire votre marché, vous serez surprise. Et une fois votre coté Domina développé, vous ne voudrez plus jamais changé de mode de vie :-)






vendredi 13 décembre 2013

Quelles qualités font une bonne dominatrice ?


Source de l'article : http://www.69desirs.fr/articles/soumission-et-domination/qualites-devenir-bonne-dominatrice/



Quelles qualités font une bonne dominatrice ? Dans le flux d’informations qui circulent dans les publications et les médias, ainsi que sur Internet, parfois les jeunes femmes dominantes peuvent se perdre.

L’origine d’une bonne dominatrice

Une domination qui fonctionne provient du noyau de la personne, de ses racines. C’est pourquoi il est essentiel de connaître vos archétypes et attributs de pouvoir féminin. Aucun équipement, accessoires ou tenues, fera de vous une dominatrice au contraire d’une femme qui a travaillé son pouvoir et sa grâce dans la pratique.
Avoir une collection de sextoys ne fera pas non plus de vous une dominatrice. C’est la même chose pour les compétences. Connaitre pleins de techniques ne fera pas de vous une bonne dominatrice. Cela fera de vous une bonne dominante mais pas une dominatrice.
Réciproquement, vous pouvez être habillée dans votre tenue de tous les jours, sans utiliser d’accessoires ni de techniques très particulière et démontrer tout de même une grande force de domination et être dominatrice.

Connaitre les domaines de votre influence pour devenir une bonne dominatrice

Une bonne dominatrice sait lorsqu’un comportement dominant est approprié. Elle sait à quel moment elle doit passer en mode dominatrice et quand elle doit s’arrêter. Elle sait qu’elle ne se situe pas dans une relation dominant/dominé avec la Terre entière et que le ton et l’attitude de la domination portée sur des gens non appropriés lui amènera le non-respect.
Elle ne laisse pas l’énergie de sa domination bouillir dans une relation égalitaire une fois que la scène très chaude vient de se terminer. Elle sait très bien que ce qu’elle fait dans la chambre ou dans un donjon avec plusieurs soumis sera bien différent de ce qu’elle fera sur le lieu de travail de son soumis.

bonne dominatrice mini Les qualités pour devenir une bonne dominatrice

jeudi 19 septembre 2013

Première rencontre (suite)

Récit offert par : petit-esclave

chapitre 2 : La punition

Elle ne souhaitait pas que je vive avec elle. Elle souhaitait seulement que je sois à sa disposition dès qu’elle le souhaitait.
Pour cela j’étais équipé d’un téléphone portable dédié et lorsqu’elle m’envoyait un sms, j”avais au maximum 20 minutes pour me présenter.
Jusque là tout s’était toujours bien passé. J’arrivais dans les délais et jamais je n’avais eu à être blamé. Tout se passait très ien. Je satisfaisais ses envies et jamais je n’avais eu à être puni.
Bien sûr, de temps à autre, elle se servait de sa cravache ou de ses gants latex pour me fesser, mais je ne prenais pas ça pour une brimade. Elle en avait envie et je devais la satisfaire.
Parfois elle se mettait nue et utiliser sa ceinture gode sur moi.Je sentais dans ses cas là les va et vient lui procurer du fait de sa nudité un certain plaisir perceptible par son souffle changeant. Je répugnait cette pratique mais là encore ca n’etait que l aboutissement d’un de ses désir et je me laissais faire. Je sentais même en retour un certained “compassion” puisque parfois elle me masturber en même temps pour me soulager.
Il n’était pas question d’humiliation entre nous. Elle me dominait, m’ordonnait et j obéissais

Jamais donc jamais je n’avais ete reellement puni. Pourtant une fois j avais eu peur car étais arrivé en retard. Mais pas chance elle avait du s’absenter et étais arrivé après moi..

Pourtant cette fois là je ne pouvais y échapper. Je m’étais pour la première fois  malencontreusement écarté de mon portable et n’avais pas vu son message, qui comme à l’accoutumé me disait “je t”attend esclave”.
Ca n’est qu’au second sms “esclave tu es en retard, c est inadmissible” que je me suis aperçu de mon erreur. Je ne pouvais y échapper.






Arrivé devant chez elle, je me demandais quelle serait sa réaction.
Lorsqu’elle m’ouvrit, elle ne laissait rien transparaître. Son regard était fixe.
“entre” me dit elle
“Je suis désolé maitresse, je m’excuse, je vous promet que je ne fauterai plus” lui répondis-je

Elle tourna les talons , me laissa dan sle couloir et entra dans sa pièce. Je restais là seul, me demandant si j’éviterais tout punition, si ma maitresse aurait compris.

De l’intérieur de sa pièce elle me cria : “esclave vient”
J’entrai. Elle était dans la pénombre.

“déshabille toi, je veux te voir nu”
Je m’exécutais. Elle sortit de son coin sombre. Elle s’était habillée de sa tenue de latex, avec un long gant.
Son regard était fixe mais ne semblait pas dur, ce qui me rassurait.

“Esclave, tu étais en retard. Baises moi les pieds pour t’excuser”
Je m’empressais de me mettre à 4 pattes pour lui baiser les pieds me disant que dans le fond ma maitresse était très bonne et tolérante. Elle semblait satisfaite
Elle passa derrière moi , et fit passer son pied entre mes fesses, lentement , tatonnant mon anus avec son orteil.
“relève toi” ordonna t ‘elle
Elle me pris la main, l’attacha à un anneau au plafond et fit de même avec l’autre. Une fois que je fus attaché son regard changea radicalement. Elle alla chercher sa cravache

“tu pensais échapper à une punition larbin? Tu as fauté et c ‘est inacceptable”. Elle alternait coups de cravache et fessées.
“Tu es mon eclave, ma petite salope, mon larbin”

Elle me pressait les testicules jusqu’à me couper le souffle sous un regard de braises. Puis relachait et repartait à user de sa cravache sur mes fesses, parties intimes. Elle m’injuriait, me traitait de tous les noms.
Je souffrais le martyre. Je la suppliais d’arrêter; mais rien n’y faisait.



Lorsque mes fesses furent totalement rouges, elle me détacha et le ton de sa voix devint plus doux.

“mon esclave, comprends tu pourquoi tout cela s’est passé”

Son regard semblait apaisé et je commençais à me détendre

“oui maitresse” répondis-je “désormais je serai vigilant”

“C’est bien mon exclave. Vient t’allonger sur la table afin de reprendre tes esprits” .Cette table était un tout nouveau meuble dans sa pièce . Nous nous ne étions servi une fois pour une scéance de face sittig mais rien de plus En toute confiance je m allongeai sur le dos. Elle était près de moi et me tenait la main. Je me sentais mieux et me disait que ce mauvais moment était passé.
Je ne réagis pas vraiment lorsqu’elle m’attacha une main puis la seconde et là encore un efois son regard changea. Il était devenu tellement froid qu’il me glaçait. Elle s”écarta et elle revint habillé de sa ceinture gode et tenant le lubrifiant.
Alors que, devinant ce qui allait se passer, je tentais de la supplier, elle m’écarta brusquement les jambes et toujours avec ce même regard commença à m’insérer un doigt puis 2 et enfin 3.

Elle me regardait fixement, et sans sourciller commença à me défoncer. Son regard était presque aussi pénétrant que le gode . Pas un mot, rien ne sortait de sa bouche. Elle me regardait souffrir

Enfin au bout d un certain temps qui m’avait semblé interminable des premiers sons sortirent

“petite salope, tu n aimes pas mais pourtant c est ce qui t”arrivera régulièrement pour toute erreur”
“Voila ce que je fais à une  petite pute. Tu es un moins que rien. Tu es à ma merci”

Elle continuait ses va et vient, toujours plus rapidement, plus profondément. Dieu qu il était gros et long ce gode. Je n’arrivais même plus à faire sortir un son de ma bouche

“Salope, maintenant tu va bander, et je continuerai à te défoncer tant que tu ne te seras pas purgé. Tu vas apprendre à savoir me satisfaire même dans la douleur”



Il me semblait impossible d’y parvenir. Elle me détacha une main et m’ordonna de me masturber tout en continuant son mouvement incessant. Dans son regard passait une lueur de plaisir à voir ma détresse. La douleur liée aux va et vient etait trop forte.
J’avais l’impression que cela durait depuis des heures. J’avais mal. Pourtant au bout d’un moment le sperme coula sur mon ventre, sans plaisir, presque dans un état second.
“essuies avec ta main et lèche là”

J’aurais tout fait pour que ca cesse au plus vite. Lorsque ma poitrine fut nette; elle se retira, s approcha de mon visage, me giffla et tourna les talons en me criant

“détaches toi tout seul petite salope et va t’en . Que cela ne se reproduise plus” et elle disparut dans la pénombre.

Je n’eu qu’une hate. Partir au plus vite. Je n’arrivais plus à marcher mais plus rien ne pouvait m’empêcher de fuir.
Jamais plus je me suis séparé de mon portable

bientôt le chapitre 3 : La tentative de rebellion

mercredi 18 septembre 2013

Y comme Yasmine M comme Maîtresse - CHAPITRE 1 : la rencontre

Contribution offerte par : Alfred1900



CHAPITRE 1 : la rencontre

Alex rêvassait langoureusement sur un banc de jardin du Luxembourg. Les rayons
de soleil d’avril caressaient chaudement son visage. Les corps commençaient
à se découvrir et les regards à s’attendrir. Détendu, presque jovial, Alex laissait
vagabonder son regard qui se posait presque exclusivement sur des corps féminins.
Les yeux cachés derrière des lunettes de soleil, il les laissait aller de paires de
jambes en chevelures ondulantes.

Alors qu’il souriait aux anges du fait de ce printemps qui commençait sous les
meilleurs hospices, une silhouette encore lointaine attira ses prunelles déjà égayées
par le si beau spectacle de la vie renaissante à laquelle il venait d’assister sur ce
banc. La démarche assurée, l’allure fine et une chevelure brune voletant au gré
des courants d’air finit par fixer le regard inquisiteur d’Alex. Elle s’approchait assez
rapidement et il commençait à pouvoir distinguer son visage. Ses yeux ne lui avaient
pas mentis, cette ravissante jeune femme au pas décidé se rapprochait de lui.
Elle était tout simplement magnifique, un joli corps fin et gracile, des très belles
mules qui lui enjolivaient les pieds, des superbes jambes fines et élégantes, un
buste fin avec des seins petits, certes, mais fiers, un visage très fin orné par une
bouche légèrement charnue et parfaitement dessinée et le tout surmonté par une
remarquable chevelure brune qui virevoltait au gré du vent.

Alex resta en arrêt quelques instants devant tant de beauté féminine. Il la regarda
se rapprocher de lui et passer sans même qu’elle daigne poser un regard sur lui.
Il pensa alors à une guêpe, son allure fière et altière lui laissa penser qu’elle ne se
laissait pas approcher par le premier venu et que celui qui s’y frottait, s’y piquait
sûrement. Il la regarda s’éloigner, fasciné par sa beauté et sa sensualité brûlante.
Il fixait ses jambes et ses belles chevilles qui surmontaient ses belles mules rouges
qui la rendaient si sexy. Alex adorait les jolies femmes à la sensualité débordante
mais revêches et dominatrices. Et celle-ci, justement, respirait la sensualité mais
une certaine dureté émanait de sa personne, ce qui n’avait pas échappé à Alex. Elle
l’excitait déjà et une érection vint confirmer cette sensation, elle lui plaisait et son
excitation grimpait au fur et à mesure qu’il la voyait s’éloigner de lui.

N’y tenant plus, il se leva pour la suivre. Il lui emboita le pas à distance afin qu’elle
ne se doute de rien. A quelques mètres d’elle, il ralentit son allure afin de ne pas
être trop près. Il la distinguait et appréciait vraiment sa plastique idéale. Malgré le
pantalon noir qui masquait ses jambes, Alex comprit qu’elles étaient très jolies car ce
dernier mettait vraiment en valeur la finesse de ses jambes et ses petites fesses si
sexy. Le pull rouge près du corps et le pantalon noir harmonisaient son anatomie si
gracile qui laissait Alex de moins en moins indifférent. Elle s’engouffra dans le métro,
Alex fit de même pour continuer sa filature. Elle descendit à l’arrêt suivant. Au bout
de quelques minutes de marche, elle stoppa sa marche devant un institut de beauté
portant le doux nom d’« institut Yasmine ». Un peu surpris par ce lieu d’arrivée, Alex
attendit qu’elle entre pour s’approcher.

Alex se positionna devant la boutique. Il s’agissait d’un institut de beauté des plus
classique. Il hésita quelques instants puis il sonna. Ne pouvant distinguer l’intérieur
de l’échoppe, il approcha ses yeux pour distinguer quelque chose. A cet instant, sans
crier gare, la porte s’ouvrit. Elle se tint droit, le regard interrogateur, face à Alex qui
se trouva surpris à espionner.

- Oui, vous voulez quelque chose ?

- Euh, oui, je voulais savoir s’il était possible de se faire épiler ?

- Oui évidemment, rentrez.

Quelque peu gêné, Alex rentra sans oser regarder son hôte de trop près. Elle était
avenante tout en restant distante mais sans être froide ni revêche.

- Vous voulez quoi comme épilation ?

- Euh, le torse, c’est possible ?

- Oui, bien sûr. Rentrez là, j’arrive.

Alex rentra dans une petite cabine, il ôta sa chemise et s’allongea sur la table. Elle le
rejoint presque aussitôt.

- Bien, ça ne va pas être trop long.

- Comment ça ?

- C’est pas l’Amazonie.

- Oui, c’est vrai (rires).

- Vous connaissez comment mon institut ?

- Euh, un ami m’en a parlé, c’est tout.

- Ah oui, je pensais que c’était mon annonce.

- Euh non, vous faites passer des annonces ?

- Non, non rien, il s’agissait juste d’une annonce, rien de plus.

Un ange passa témoignant ainsi d’un certain malaise. Alex se laissa aller à la
curiosité.

- Euh, elle disait quoi votre annonce, c’était dans quel journal ?

- Non, rien, cela ne vous concerne pas.

- Ah bon, peut-être que votre ami le sait lui ?

- Je ne comprends pas, que voulez-vous dire ?

- Rien, demandez-lui ?

Un peu interloqué, Alex n’osa plus poser de questions, cette histoire d’annonce avait
éveillé sa curiosité. Maintenant que l’épilation était terminée, il voulait en savoir plus.
Il paya et parti décidé pour en savoir plus.

De retour chez lui, il se précipita sur internet pour en avoir le cœur net. Après
quelques minutes de recherche, il trouva enfin ce qu’il cherchait. Il découvrit alors
que la charmante personne qui venait de lui épiler le torse était en fait une femme
dominatrice à la recherche d’un esclave pour compléter son cheptel défaillant.
Quelque peu interloqué par cette annonce à la fois si précise et si peu politiquement
correct, il décida de se renseigner sur le sujet.
Il découvrit alors toute une littérature sur le sujet de la domination féminine et sur
l’envie de certains hommes de devenir leurs soumis, voire pire, leurs esclaves. Une
image obsédante lui revint en tête, il se remémorait les mules de cette superbe
femme dont il ignorait toujours le nom. Il s’excita à l’idée d’être à ses pieds, ses
chevilles si fines et si sensuelles, lui donnaient des idées. Il repensa à ses jambes
élégantes et filiformes, cela lui donnait envie des les lui caresser, de lui déposer des
baisers partout jusqu’à son triangle d’amour qu’il aurait plaisir à lécher longuement
jusqu’à qu’elle prenne son plaisir. Encore tout émoustillé par ces pensées à forte
charge érotique, Alex, s’aperçu que toutes ces images l’excitaient au plus haut point
et que les récits de soumis ou de Maîtresses l’inspiraient profondément.

Cette aspiration soudaine pour cet étrange univers l’avait tellement absorbé que
la nuit était venue sans qu’il s’en aperçoive. Fatigué malgré tout, il mangea sur le
pouce et se coucha. Après quelques heures de sommeil, son corps fut agité par des
spasmes divers qui rendaient son sommeil difficile. Il se réveilla en sursaut, encore
médusé par ces cauchemars. Le minois mystérieux d’une femme dont il ignorait
tout lui ordonnait d’exécuter des ordres auxquels il ne pouvait se soustraire. Tel
un zombie, il obéissait sans pouvoir discuter les ordres. Il se remémorait cette voix
monocorde et les pieds féminins habillés de mules qui dansaient devant ses yeux.
Ce rêve étrange le hanta toute la matinée du lendemain. Il resta quelques jours ainsi,
tourmenté par ce rêve et ces images obsessionnelles qui valsaient devant lui.  
N’y tenant plus, il se décida à retourner à l’institut de beauté. Il sonna, une silhouette
apparu au travers de la vitre fumée de la porte d’entrée. Celle dont il ne savait pas
encore le nom lui ouvrit tout sourire. Il la salua et elle lui demanda de rentrer.

- Tiens, quel bon vent vous amène ?

- Bonjour.

- Une épilation peut-être ?

- Un peu trop récent à mon goût…

- Evidemment, alors quoi ?

- Et bien, j’ai cherché votre annonce sur internet ?

- Ah oui, cela m’étonne, et alors ?

- Euh, je suis quelque peu surpris par cette annonce et un peu intrigué aussi.

- Oh, pas tant que ça tout de même sinon, vous ne seriez pas là, n’est-ce-pas ?

- Euh oui, en quelque sorte….

- En quelque sorte, alors, vous êtes intéressé ou pas ? Vous savez ce que cela
veut dire au moins.

- Oui oui, je me suis renseigné.

- A la bonne heure !!! et alors, encore un peu de temps de réflexion ou vous

cous sentez prête, sachant tout de même que c’est un long apprentissage,

enfin plus exactement un long dressage.

- Oui, oui, je comprends et cela m’intrigue au plus haut point !!!

- Intrigue, excite ou intéresse ?

- Un peu tout ça à la fois.

- Je vois, tu as déjà pratiqué ?

- Non, je n’y connais rien.

- Pas grave, tu apprendras sous ma férule si tu veux.

- Bonne idée. Mais ton nom, je ne le connais même pas.

- D’abord tu me dis « vous », en toutes circonstances, compris ?

- Oui.

- Tu dois répondre « oui Maîtresse ».

- Euh « oui Maîtresse ».

- Bien, mon nom est Maîtresse Yasmine.

- Oui Maîtresse Yasmine.

- Bien, alors à genoux et baise moi les pieds sale chien.

Alex s’exécuta illico presto mais elle le retint de suite. Elle le gifla assez violemment à

deux reprises.

- Je n’ai rien entendu ?

- Euh, oui Maîtresse.

- Bien et cesse de dire « euh » tout le temps, ça m’agace. Allez.

Il s’agenouilla et baisa les mules rouges de Maîtresse Yasmine qui souriait de
satisfaction devant cette docilité qui ne semblait pas évidente au premier abord. Alex
se releva. Maîtresse Yasmine secoua la tête de gauche à droite en guise de « non ».
Devant le regard interrogateur de celle qui était maintenant sa Maîtresse, elle
répliqua :

- Je n’ai pas dit « stop » alors continue espèce de larve.

- Mais…

Elle le gifla à nouveau encore plus fort.

- Tu dois commencer à apprendre qu’à mes pieds tu n’es rien qu’une larve, une
merde, un clébard et tu finiras esclave si tu le mérites et pour ça, tu as encore
beaucoup à apprendre espèce de sous-merde. Compris ?

- Oui Maîtresse Yasmine.

- Bien.

Alex continua de baiser les mules de Maîtresse Yasmine pendant encore un long
moment avant que celle-ci ne lui dise d’arrêter sa besogne. Elle lui ordonna de se
relever et de le suivre. Elle marcha jusqu’au fond de son institut de beauté, s’assit et
d’un geste de l’index ordonna à son soumis de se mettre à genoux.
- Bien, tu me sembles avoir de bonnes dispositions pour faire partie de mon
cheptel. Et là, peut-être pour la dernière fois, je vais te demander ton avis.
Alors, écoute bien, serais-tu d’accord pour signer un contrat de soumission à
l’essai pour trois mois pour commencer et peut-être ensuite un autre contrat
mais d’esclavage cette fois-ci.

- (Hésitant quelques secondes) euh…

- (Elle le gifla à la volée) Ferme-la avec tes « euh ». Alors ?

- Oui Maîtresse, je suis d’accord pour signer ce contrat.

- Très bien, je n’en attendais pas moins de toi.

- Je vais en rédiger un et je te rappelle. Donne-moi ton numéro ?

Ils échangèrent leurs numéros de téléphone et Maîtresse Yasmine lui enjoignit
de partir aussitôt et d’attendre qu’elle le convoque. Alex sortit de l’institut, la moue
dubitative, sa Maîtresse était plutôt fière d’elle, elle avait suivi son instinct de
dominatrice et était sûre d’avoir fait une bonne recrue. L’ovale parfait de son visage
se plissa pour laisser apparaitre un sourire radieux de joie et de plaisir.

---- A Suivre ----

mardi 17 septembre 2013

Première rencontre

Récit offert par petit-esclave


Jamais je ne l'aurais cru, jamais.....
C'était un soir. Je m'étais rendu dans un bar de ma ville pour me détendre.
Elle était là. Une jeune femme seule au comptoir. Un regard échangé, un sourire, une parole. puis une discussion ensemble autour d un verre. C'est certain je la séduisais, et je maitrisais la situation. Je tendais mon piège. Elle était si jolie, si douce. Il fallut bien partir et vint le moment ou tout peut basculer. Soit on se quitte, soit on continue. La deuxième option s'imposa et venait d'elle. Elle me proposa de finir cette soirée chez elle. Mais bien sûr..
Le petit parcours entre ce bar et sa maison était court mais très long à la fois. J 'étais impatient. Je me sentais d'une telle force.
Arrivé chez elle nous continuâmes à discuter et boire un de ses délicieux vin . Des regards, des visages qui se rapprochent , des lèvres qui se touchent.. Elle me prit la main et me dit
"viens dans ma pièce"
Et comment je voulais y aller ! Après coup j'aurais du me rendre compte qu'elle n'avait pas utilisé le mot chambre mais pièce.
Nous rentrâmes dans la pièce noire. Elle pressa sur l'interrupteur et une lumière rouge tamisée, indirecte éclaira la pièce laissant des coins totalement obscurs.
C est là que tout a commencé à basculer. Au premier regard ce fut d abord la surprise. des anneaux pendaient au plafond , une armoire éclairée renvoyait l'images d'accessoires. Un fauteuil ancien, un canapé une petite table. J'aurai du partir mais je ne pouvais plus. Son regard avait changé. Il était devenu hypnotique. Ses mouvements étaient devenus félins tels ceux d'un fauve avançant vers sa proie. J'étais incapable de réagir. J'avais l'impression d'une force magnétique me retenait sur place. Elle était devenu un aimant.

Elle me prit une main et l'attacha à un anneau, puis l'autre. Je en résistais plus. J'étais devenu un pantin. Ses gestes étaient doux mais fermes. Elle continuait à me regarder dans les yeux. Je compris à ce moment que je n'avais rien maitrisé du tout et que c'est bien elle qui m'avait pris dans son piège.
Paradoxalement je n'avais pas peur. Même si je perdais le contrôle de la situation je me sentais en confiance.
Elle me déshabilla. J'étais nu, les bras tendus vers le plafond, presque sur la pointe des pieds. Elle me regardait avec un petit sourire, se retourna et se dirigea vers un des coins obscurs. sa démarche était silencieuse, souple. Elle flottait.
Je ne la voyais plus mais sentais malgré tout sa présence comme une force invisible
lorsqu'elle réapparut, elle était vêtue d'une tenue noire, latex. Elle lui collait au corps comme une seconde peau.
Toujours silencieuse mais par ses gestes précis, secs comme des couts de fouets, elle me fit comprendre que mon corps lui appartenait maintenant. J'avais déjà compris que mon esprit aussi.
Elle avait entrepris de me dompter, de me montrer ce dont elle était capable. Ses paroles m'envoutaient, mon esprit m'abandonnait. Ses gestes alternaient douceur et fermeté, m'arrachant des cris. Après un long moment, après avoir sondé toutes les parties de mon corps, elle me détacha. Je ne bougeais néanmoins pas. Elle commença à me donner des ordres, je sursautais. elle pris ses accessoires. Dieu que cela me semblait gros et impressionnant. Je dus me mettre à quatre pattes. Je sentis un liquide froid dégouliner le long de mes cuisses, puis des gestes intimes me pénétrèrent, puis je la sentis en moi
Si cela avait pu me répugner par avant, là malgré la légère douleur, j avais envie de la satisfaire. je me laissais faire me disant que si tel était son plaisir je me devais d'exaucer ses souhaits. 
lorsqu'elle eut finit elle alla s assoir dans le fauteuil et m'ordonna de la rejoindre toujours à quatre pattes. Elle me fit lui baiser les pieds comme pour porter l'estocade.
Je dus m'allonger sur le dos . Elle posa ses pieds sur mon corps, pris un magazine et se désintéressa de moi
Ah ce moment là j'ai vraiment compris que je serai sa chose à jamais, que j y prendrai plaisir, et que j'étais là pour la servir

lundi 16 septembre 2013

Maîtresse Honorée et Respectée Récit du Haras

Récit offert par : prisable

CHAPITRE 1 : L’arrivée

Me voici à l’adresse que vous m’avez indiqué : « Arras Dévotion de l’obéissance », j’aperçois quelques chevaux dans un enclos, et plus loin ce qui ressemble à une aire d’entraînement.
Je m’approche d’une petite maison qui s’apparente à l’accueil, le long de cette maisonnette une dizaine de box, qui sentent la nature et la campagne.
Je passe le seuil de la porte, et je vois en premier lieu, accroché aux murs, multitude d’objets, dont j’en reconnais certains : selles, mors, rênes, cravaches, et bombes.
Assis là en face de moi un lad et une palefrenière, c’est tout d’abord leurs tenue qui me surprends.
Le lad est juste vêtu d’un pantalon de cow-boy, qui ne cache que le sexe et le devant des cuisses, et une chemise courte ouverte.
La palefrenière, à un haut très court laissant voir son ventre, un boxer en dentelle rouge et de longues cuissardes.
 « Bonjour je viens ici de la part de  Maîtresse Tatiana »
Je vois des sourires, et  ils me disent que j’étais effectivement attendu, la palefrenière se dirige alors vers moi, et me déshabille  entièrement, et entame un examen, comme on le ferait avec un cheval.
Une badine à la main elle ausculte mes dents, me fais penché en avant, me soupèse les bourses, et tire la queue.
Puis le lad me mets un mors, et tend les rênes à la palefrenière, qui me conduit dehors, suivi du lad.
Nous nous arrêtons à un box, où il y a un magnifique cheval gris perle, la palefrenière me fais entré et me dirige vers le cheval, qui à l’air si doux.
Elle me fait caresser sa robe soyeuse, sa croupe, et sa longue queue, puis dirige ma main vers son sexe et me dis « Ta Maîtresse veux que tu montres autant de vigueur en son honneur », puis nous sortons.
Elle demande au lad de m’accompagner dans mon box pour la nuit.
Une fois à l’intérieur, je dois me mettre à quatre pattes, et le lad me brosse avec une brosse rêches et dur, la sensation est très désagréable, cela me griffe, et je sens que le lad prend un malin plaisir à me brosser, alors je pense à vous, et je sais que si je suis là c’est pour mon bien et vous plaire, Ma Maîtresse Vénérée, et malgré l’insolite de la situation, mon sexe grandi et grandi encore.
Le lad s’en aperçois et viens me touché le sexe « bien continu en ce sens Ta Maîtresse sera heureuse…   … passe une bonne nuit car demain une belle journée de dressage t’attends » 
Je me retrouve seul dans mon box, à même la paille, avec une écuelle d’eau, et une gamelle de nourritures, je suis un peu dépité, mais heureux de cette nouvelle expérience.
La nuit se passe tant bien que mal, surtout que j’ai du faire mes besoins dans un coin du box, mais je n’ai cessé de penser à vous Ma Maîtresse Honorée et cela m’a beaucoup aidé.
Au petit matin, le box s’ouvre, le lad est là devant la porte « aller il est temps de rejoindre la palefrenière, pour ton dressage »… !!!


CHAPITRE 2 : La Découverte

Au petit matin, le box s’ouvre, le lad est là devant la porte « aller il est temps de rejoindre la palefrenière, pour ton dressage »… 
… un détail me choque, car par rapport à hier, le sexe du Lad est apparent, fier et tendu, et c’est la première fois que je vois une autre sexe d’homme que le mien, sans bien sûr parlé de la formidable expérience que j’ai vécu avec vous, Ma Maîtresse Vénérée, mais celui-ci était artificiel, là il est bien réel rosacé, il me semble plus long que le mien et peut-être moins épais.
Le lad me met les mores, et me tire  en dehors du box, la palefrenière est là à m’attendre, sa tenue est sensiblement similaire à la veille, sauf qu’elle non plus n’a plus de culotte, une légère toison brune sur le haut de son pubis laisse clairement voir ses lèvres, presque marron et si longue.
C’est elle qui prend les rênes en mains et m’emmène, en premier lieu dans le box du cheval gris perle, le lad me suit, j’ai honte car je sens son regard insistant sur ma croupe.
Le lad se place derrière le cheval et lui caresse la croupe, la palefrenière me dirige sous le cheval pour qu’une fois de plus je constate, de mes mains, sa virilité.
« Tu te souviens de mes instructions d’hier, pour que Ta Maîtresse soit honorée… ».
Puis nous sortons, pour aller dans un enclos, des chevaux gambadent dans l’enclos voisin, les mâles font preuves de la même virilité que le cheval gris perle, je me dis qu’ils doivent se sentir bien ici.
La palefrenière remplace les rênes par une longue corde, et d’un coup sec de cravache sur mes fesses, elle me dit « aller au trot… Hop ! Hop ! Hop ! ».
Je m’exécute, et je commence le tour de l’enclos à un rythme soutenu. Je me sens vraiment honteux, mais je le fais pour vous, car c’est ce que vous désirez pour moi, et j’aime vous obéir.
Au bout de quelques minutes, un nouveau coup de cravache plus cinglant, « Plus vite !!! »
Je suis un peu épuisé, mais un autre coup violent, me pousse à redoubler d’efforts…
Après un temps, qui m’as semblé interminable, je sens la corde se tendre, je comprends que je dois stopper.
Le lad vient m’essuyer le dos et la croupe, et vient me sécher les testicules et la verge en prenant tout son temps, ce qui a le don de provoquer une érection.
La palefrenière s’avance vers moi, et monte sur mon dos, je sens la moiteur chaude de son sexe sur mon dos, et d’un coup de cravache elle me fait avancer, et je fais le tour de l’enclos, réduit avec humiliation à un animal.
Une fois le tour terminé, elle se relève, et je sens sa cyprine me couler sur le dos, le lad me relève à mon tour, et viens me mettre une barre d’écartement aux chevilles.
Puis il m’attache à la barrière de l’enclos, je suis penché en avant, et j’ai une vu sur les chevaux  de l’enclos voisin.
La palefrenière se place à coté de moi, et vient soupeser mes bourses, et évaluer ma queue, c’est fort agréable, en fermant les yeux je m’imagine que c’est vous,Ma Maîtresse Adorée, qui manipuler mes organes durs et gonflés.
Je ne m’aperçois pas que le lad est passé derrière moi, ce qui me sort de ma lithargie, c’est cette dureté qui vient de se mettre entre mes fesses, en un instant je sais ce que je vais subir, et je dis « Ho non pas ça ! »
Deux coups sévères de cravache, me ramènent à la raison, et surtout les mots qui les accompagnent, « Tu sais que Ta Maîtresse te veux digne en toutes circonstances, alors plus de gémissements !!! »
Pendant qu’elle continue à me caresser les parties, le lad se fraye un chemin dans mon anus, avec une infinie douceur.
Petit à petit, la honte,  fait place à du plaisir, je sens ces mains qui me caressent, pendant que le lad me saillit.
Dans un râle, il envois sa semence au fond de moi, puis se retire doucement, je sens le sperme en moi, qui coule doucement sur mes cuisses.
Une fois détaché, le lad me mène pour me laver, à l’aide d’un jet, puis la palefrenière me ramène dans mon box…
« Je dirais à Ta Maîtresse que tu as été digne, elle voudra te voir dans son bureau rapidement… »


CHAPITRE 3 : La Récompense

Une fois détaché, le lad me mène pour me laver, à l’aide d’un jet, puis la palefrenière me ramène dans mon box…
« Je dirais à Ta Maîtresse que tu as été digne, elle voudra te voir dans son bureau rapidement… »…
… je passe le reste de la journée dans mon box, anxieux et pressé de vous voir, la seule distraction (si on peur apparenté cela à une distraction), c’est quand le lad est venu changer ma paille, et remplir mes écuelles, et venir par la même vérifié ma vigueur…
Une prise en main délicate, m’a effectivement redonné vigueur, plus je grandissais, plus son sexe s’érigeait, je le sentais car il c’était mis devant moi et penché pour me tripoter, son sexe venait de plus en plus me caresser le visage.
Après cette inspection il est reparti le vit dressé, et refermant la porte derrière lui.
La palefrenière est enfin venue ma chercher, elle était plus présentable, elle avait revêtu son sexe d’un string en dentelles noires, ne cachant que peu son intimité.
Elle me mis une laisse et un collier, et m’emmena  vers une bâtisse, suivit par le lad, qui lui aussi avait son sexe caché.
Après avoir frappé à la porte nous entrons dans un beau bureau, je suis emmené, toujours à quatre pattes, sur un tapis rouge devant le bureau, je reste tête baissée, et je vous entends.
« Merci, soumise petitecowgirl, et soumis petitlad, allez vous mettre au fond de la pièce, j’attends votre rapport ! »
Et là j’ose relevé à peine la tête, et je vois sous le bureau, vos jambes sublimes ornées, d’un magnifique collant,  vos pied son admirables dans ces jolies bottines noires, et je discerne par transparence votre joli sexe blond, dont j’ai eu l’immense honneur de goûter.
C’est la palefrenière qui prend la parole : « Maîtresse, Vôtre soumis, c’est bien comporté, même si il a fallu le recadré à une ou deux reprises, il est prêt pour ce que vous avez demandé »  
« Bien soumis petitout, tu as mérité une récompense et un peu de repos !!! »
Vous vous dirigez vers un canapé, et la palefrenière m’emmène vers vous.
Elle vous retire délicatement votre collant, et me place le visage sur vos fesses.
« Ceci est ta récompense, traite le avec douceur et  finesse »
Je commence à vous lécher doucement votre raie culière, et je descends inlassablement vers votre anus ainsi offert en récompense.
J’en fais le tour avec une immense précaution, et j’ose glisser ma langue dans cette charmante rondelle rose.
Je suis si heureux, que ma langue se régale de ce moment, je sens votre fessier bougé, et je redouble d’ardeur, et je m’enfoui bien plus profond en vous.
Au bout de longues minutes époustouflantes, vous demandé au lad, de me préparer, et à la palefrenière de vous remettre.
Vous décidez par vous-même de constatez mes progrès.
Vous m’emmenez pour un petit dressage, et une promenade pour me monter…   
Nous sommes dans un pré, vous me faite faire quelques exercices, j’entends le fouet parfois claquer, mais sans me toucher, je suis heureux et si bien avec vous, là dans cette nature, en vous prouvant ma motivation et ma dévotion.
Puis montée sur moi, nous allons faire une longue et belle ballade, pleine de  plaisirs partagés

CHAPITRE 4 : L’intruse

Puis montée sur moi, nous allons faire une longue et belle ballade, pleine de  plaisirs partagés…

… vous me ramenez au lad pour qu’il me nettoie et me brosse.
« Tu dois avoir faim après cette ballade !!! »
 Alors que je suis à quatre pattes nu, le lad commençant à me passer une éponge sur le corps,  je vois la palefrenière s’allonger devant moi les cuisses largement ouvertes.
« Vas y soumis petitout, broute moi cette belle toison ! »
Je plonge mon nez et ma bouche dans cette toison brune, pour me rassasier de cette chatte, odorante et épicée,  offerte.
Le lad a remplacé son éponge par une brosse rêche, la douleur se fait plus présente, et moi je continue à butiner la palefrenière.
Vous semblez prendre du plaisir à nous voir ainsi.
Puis le lad me ramène dans mon box, en partant je vous entends me dire : « ta soif sera étanché bientôt »
Je suis là dans mon box, et j’attends la prochaine épreuve, et je repense à cette belle ballade lorsque je vous sentais sur moi, un moment magique… et cette belle récompense que j’ai en image dans ma tête…
Puis la porte du box s’ouvre, et surprise, je vois une femme en laisse, accompagnée dans le box, par la palefrenière.
Sans rien dire elle se met à genoux, et ne bouge plus.
Je la dévisage, c’est une jeune femme avec une chevelure rousse mi long, aux seins lourds avec de larges aréoles, et de jolis tétons durs, elle a un petit ventre qui souligne une jolie toison rousse, et je distingue une belle croupe rebondie.
Mon premier sentiment, est une pointe de jalousie, de voir une soumise traitée comme moi, mais je me ravise, car je sais que Ma Maîtresse Vénérée, n’aimerait pas du tout ce genre de sentiments.
Je n’ose pas lui parler, car je suis impressionné de voir mon reflet au féminin.
C’est elle qui me demande :
 « J’ai une envie pressante de faire pipi, comment fait on ? »
Elle a une voix légèrement cassée mais néanmoins douce.
Je lui réponds, qu’ici il faut faire ses besoins à même la paille, que le lad vient changer chaque jour.
Elle se tourne et se met accroupie, je vois désormais son dos légèrement musclé, sa colonne forme un arc de cercle dans cette position, et je vois bien plus nettement sa croupe, deux belles fesses rebondie et ferment.
Et là je vois couler son jet d’urine, outre que cette situation est très embarrassante, elle est emprunt d’érotisme, j’ai presque envie d’aller toucher ce jet, qui devient d’une sensualité pure.

La nuit arrive, et comme un accord, nous nous blottissons, pour avoir chaud… 
CHAPITRE 5 : La Ballade

La nuit arrive, et comme un accord, nous nous blottissons, pour avoir chaud… 

… Durant la nuit, je pense à vous Ma Maîtresse, et comme à chaque fois, je sens mon vit s’agrandir,  cet effet fait bouger ma compagne, et elle se colle un peu plus à moi, ce qui stimule encore plus ma verge, je me rendors caler entre ses fesses.

Au matin nous sommes réveillés par le lad, aujourd’hui et pour unique vêtement, il porte des bottes montantes au dessus du mollet, une ceinture où il y a d’accroché un fouet roulé sur lui-même, et des gants entrés dans sa ceinture.
Il nous mène dans un pré pour faire nos besoins, pendant qu’il va s’activer à changer la paille.
Je ne peu décrocher le regard de ma compagne, tant l’insolite de la situation est excitante, elle est à quatre pattes et un jet ininterrompu sort de sa vulve, moi j’ai du mal à me soulager la honte est trop importante pour que quoi que se soit sorte de moi.
Ma compagne s’approche de moi, et me susurre, ne soit pas timide, et la Maîtresse n’apprécierait pas ce manque de motivation, elle me prend la verge entre les mains, et me titille le méat urétral, et quelques secondes plus tard, un jet sort enfin de ma verge.
Puis nous nous dégourdissons les membres, avant d’être conduit dans une grange.

Nous sommes lavés et brossés, puis le lad nous appuis tous deux contre une balustrade, les jambes écartées et la croupe haute, et là tour à tour il nous pénètre l’anus avec son sexe, je sens une douleur, mais bien moins vive que la dernière fois.
Il nous explique que c’est pour nous assouplir le rectum, et ensuite je sens qu’il entre un corps étranger dans mon anus.
Je comprends ce qui m’arrive en voyant ma compagne, nous sommes affublés, d’un plug prolongé par une queue de cheval.
Ils nous met des harnais, et nous somme attelés à une carriole, et conduit devant la bâtisse où se trouve votre bureau.

Vous apparaissez, belle et très classe dans votre tenue de cavalière, un collant qui ne cache que très peu votre intimité, un corset cuir lacé dans le dos, et des bottines à hauts talons, et votre cravache en main.
Vous procédez à notre inspection, puis en nous touchant le sexe, vous froncer les yeux, et nous recevons chacun un coup puissant sur les cuisses.
« Soumise petiterouge, tu sais que je te veux plus humide, et toi soumis petitout, ta virilité n’est pas digne de ta Maîtresse, rendez vous plus présentable devant moi !!! »
Je sens la main de ma compagne, venir caresser ma verge, et j’en déduis que je dois l’imiter.
Je caresse fébrilement son sexe, et je m’aventure plus en profondeur, je sens que sa chatte se réchauffe et deviens bien humide, pendant ce temps son va et vient, et mes doigts mouillés, me font durcir.
Vous nous regardez, et un coup de fouet claque, nous arrêtons de suite nos attouchements.
Vous nous reprenez en main…
« Voila qui est mieux, nous allons pouvoir partir »

Nous partons au trot, et vous nous guider dans des sentiers forestiers, nous nous sentons biens et unis avec Notre Maîtresse, pendant cette ballade.
Au bout d’un long moment de cette fusion intense, vous nous faite arrêter, vous nous décrochez de la carriole, puis vous allez vous asseoir sur un tronc juché sur le sol.
« Mes soumis offrez à votre Maîtresse une belle saillie »

Face à vous la soumise se met à quatre pattes, et écarte largement ses jambes, je me place derrière elle, et doucement j’enfonce mon vit dans son con.
Je vous vois en face et vous écartez les cuisses, je distingue nettement votre sexe bond en transparence, et je ne pense qu’à venir une fois de plus me délecter de votre vulve si goûteuse.
Je pense que la soumise est dans les mêmes dispositions que moi, car sa croupe s’accélère à la vue de votre sexe offert.
Je sens son fourreau chaud et trempé, et je redouble d’effort pour la saillir, je sens ses seins ballotter  au rythme de notre coït, et dans un râle commun, nous jouissons en ayant les yeux fixés sur votre entrejambes.
Sans un mot sur ce qui vient de se passé, nous vous entendons : « maintenant ramenez moi »

Sur le chemin du retour, nous sommes plus légers, et notre vigilance est moins accrue, et nous faisons passé la carriole sur un nid de poule.
Le choc et tel que vous manquez de chavirer, mais la carriole reste debout.
Dans le choc la roue est endommagée, mais peu encore roulé jusqu’au haras.
De retour nous sommes ramenés dans notre box, vous passez nous voir :

« Mes soumis vous serez punis pour votre défaillance inqualifiable !!! »
Et à l’unisson nous répondons : oui Maîtresse nous le méritons, et vous remercions pour la pénitence à venir…           


CHAPITRE 6 : La Punition   

Et à l’unisson nous répondons : oui Maîtresse nous le méritons, et vous remercions pour la pénitence à venir

Au bout d’une heure ou deux, la palefrenière vient nous chercher, elle est vêtue de cuissardes, et un fouet en main.
Elle nous passe à tous deux un collier et une laisse, et nous la suivons à quatre pattes.
Nous sommes emmenés, dans le Donjon, et mis au centre de la pièce, surprise ! Outre le lad et la palefrenière, sur un banc à l’écart, il y a cinq personnes assises qui nous observant.
Vous arrivez, dans votre bel ensemble orné de lacet rouge sur le devant, des bas assortis à celui-ci. La palefrenière nous amènent devant vous, pour vous baiser les pieds, et nous vous demandons de bien vouloir nous donner notre punition méritée.
La palefrenière m’emmène vers la crois de saint André, et m’attache dos vers la salle, le lad lui accompagne la soumise à deux mètre de moi, pour voir ma pénitence.
Vous vous approchez, de la scène, et vous commencer à me cravacher, d’abord doucement, pour me faire bien comprendre ce qui va m’arrivé, et de plus en plus les coups se font appuyés.
C’est atroce comme je souffre sous ce déluge de coups, mais je veux rester digne, pour ne pas augmenter votre colère.
Je sens que mes fesses me brûlent, et je me demande quand cette déferlante va cesser, j’ai du mal à énoncer le nombre de coups à hautes voix.
Au bout de vingt coups, la cravache vient me caresser la croupe endolorie.
Puis vous demander à la soumise de venir me soulager de sa langue.
Le contact de sa langue est douloureux, mais elle me fait du bien, je sens que la soumise s’applique à me lécher entièrement les fesses, s’initiant de temps à autre dans ma raie.
Cela commence à me faire du bien, et me soulager quelques peu.

Puis nous invertissons nos places, la soumise est fixée à la croix, et moi je me tiens à l’écart.
Puis vous commencer à la châtier de la même façon que pour moi.
Je vois petit à petit ses fesses se zébrées, et devenir violacée, j’entends entre deux chiffres qu’elle énonce à voix haute, des sanglots.
A un moment où la douleur se fait très intense, je vois un jet d’urine couler entre ses jambes.
Puis à son tour, sa punition finie.
Je suis, comme elle, contraint d’aller la soulager, je suis à genoux, baignant dans son urine, devant ses fesses meurtries.
Je dépose délicatement ma langue sur sa croupe,  connaissant la douleur vive qui est encore présente.
Et je parcours chaque parcelle de son fessier, et de sa raie, m’insinuant  dans son sillon pour profiter de son anus.

Nous sommes désormais détachés, la palefrenière vient nous poser un carcan, et nous laisse au milieu du donjon.
Vous ordonnez au lad et à la palefrenière, de nous rendre plus présentable devant les invités, ils s’exécutent promptement, et là surprise, c’est la palefrenière qui s’agenouille devant la soumise, et commence à lui butiner le sexe.
Le lad se met devant moi, et me prend en bouche, il est appliqué et doux, mon sexe devient dur et vigoureux.
Puis une fois leurs tâches finies, ils s’écartent, et vous demander aux convives de venir profiter de nous.
Des mains venues de partout, nous fouillent, nous explorent, nous pincent…
Puis il est temps de nous ramener dans notre box, vous nous faite mettre cage et ceinture de chasteté.
Nous sommes revenus dans le box, à genoux face à face, nous nous caressons doucement les fesses, pour nous soulager…                      

7CHAPIDRE 7 : La Réflexion

Nous sommes revenus dans le box, à genoux face à face, nous nous caressons doucement les fesses, pour nous soulager…

… Ce moment de réconfort mutuel ne dur pas très longtemps, vous venez en personne me sortir du box, et vous m’attelez.
Cela provoque en moi, comme à chaque fois que je suis en votre présence, une belle érection, mais elle est réprimée par ma cage de chasteté
Nous sommes dehors, et vous prenez le temps de m’examiner sous toutes les coutures, et vous me complimentez, sur mon allure de cheval de trait.
Je suis fier de vous plaire ainsi, et je vous en remercie humblement, en me baissant et en vous baisant les pieds.
« soumis petitout, je trouve ton comportement, en ce moment, et surtout depuis que la soumise petiterouge est présente, moins en adéquation avec ton statut de soumis. Pour cela je vais te laisser réfléchir cette nuit  à ta condition, et comment te tenir pour honorer ta Maîtresse !!! ».
Vous me conduisez dans un cachot situé dans les sous-sols du Donjon, les mur son gris et sombres, je suis enfermé dans une toute petite pièce, où je ne peux que me tenir debout.
En fermant la porte, je vous entends dire « bonne réflexion, et à demain mon soumis petitout »  

Durant la nuit, où je ne peux pas m’endormir, vu ma position, je ne fais que penser à vous, et à l’immense privilège que vous m’avez accordé en faisant de moi votre soumis. Et je comprends que je ne dois, ne serait-ce par reconnaissance, d’avoir d’yeux que pour vous, et de vous aimer sans concession pour ce magnifique cadeau que vous m’offrez chaque jour, en étant Ma Maîtresse.
Cette nuit est pleine de révélations, et je sais désormais que ma vie c’est vous, et est à vous, ce qui me rends fou de joies.

Au matin, c’est vous Ma Maîtresse Vénérée, qui venez m’ouvrir, lorsque je sors la lumière du jour me pique les yeux.
Vous prenez soin de me retirer ma cage de chasteté, et prenez en main mon sexe, il se dresse aussitôt heureux de pouvoir vous exprimer sans contrainte la fierté qu’il a d’être à vous.
Mon gland se mouille, et commence à perler de bonheur, un filament de plaisir se constitue au bout de ma verge, de votre doigt expert, vous venez le prélever, et vous me le monter…
« C’est le comportement que j’exige de toi devant ta Maîtresse, soumis et Mâle, ton sexe ne me trompe pas il exprime clairement ton dévouement pour moi !!! »

C’est le lad qui se charge de me ramener dans le box…