lundi 7 septembre 2015

UN COUPLE DÉVOILE LA FACE CACHÉE DU BDSM



De prime abord, Carlotta et Boglacier forment un duo sans histoire. Or, se laisser bercer par la rengaine du métro, boulot, dodo, ce n’est pas pour eux. Ils carburent plutôt aux sensations fortes. Pour ce faire, le tandem n’a qu’à descendre au donjon. La dominatrice et son esclave disposent alors d’un imposant arsenal pour assouvir leurs moindres fantasmes. Question de déboulonner les mythes, les partenaires ont accepté de lever le voile sur leur mode de vie alternatif.
Comme bien des fervents de BDSM (bondage, discipline, domination, soumission, sadisme et masochisme), Carlotta et Boglacier évoluent souvent dans cet univers en groupe. D’ailleurs, des dizaines d’adeptes convergeront vers la région au cours des prochains jours pour prendre part à une soirée thématique dans la coquette demeure du couple. Mais ça n’a pas toujours été ainsi.
«Quand on a commencé à se fréquenter, il y a une dizaine d’années, on était ce qu’on appelle dans le jargon des « vanilles » [ndlr<saxo:ch value= »226 128 137″/>: gens ayant une sexualité conventionnelle]. On a commencé avec un jeu érotique pour pousser la fantaisie plus loin. J’ai pigé une carte où je devais attacher mon conjoint. J’ai réalisé que j’aime dominer et lui, la restriction, la soumission. On a eu un plaisir fou», se remémore Carlotta.
Le sexe BDSM a été une véritable révélation pour les partenaires, si bien que le visionnement de films, puis l’achat d’un premier fouet dans une boutique spécialisée ont fait partie de leurs balbutiements dans cette sphère énigmatique.
Règles
Bien que le BDSM ne se limite pas au sadomasochisme (plaisir par la douleur), il s’agit d’une pratique répandue. Carlotta et Boglacier en sont adeptes.
Mais diable, pourquoi vouloir subir des sévices corporels? «Avec la douleur, l’endorphine et l’adrénaline embarquent. C’est comme une drogue. Un peu comme si tu flottes dans l’espace, illustre Boglacier. Quand tu ajoutes à ça le fait d’être attaché, ça décuple le plaisir. Tu te sens impuissant. Tu n’as pas le choix de t’abandonner complètement. Le hamster arrête de tourner. C’est le lien de confiance avec l’autre qui fait foi de tout.»
«Il ne faut jamais perdre de vue que c’est un jeu et que nous avons chacun notre propre personnage. En aucun cas, il n’est question d’une séance de martyre. Le dialogue, c’est la base», insiste sa complice.
Souvent, des mois de pratique sont nécessaires avant de maîtriser certains instruments, notamment les fouets, poursuit Carlotta. «Au-delà des apparences, jouer le rôle de dominatrice, ça demande beaucoup de concentration, explique-t-elle. En donnant des coups, il faut éviter plusieurs zones à risque, comme les reins par exemple. Et pas question de mêler la drogue ou l’alcool au jeu. C’est banni chez nous. Ce serait un cocktail explosif et il n’y aurait aucun plaisir là-dedans.»
Créativité
Certaines personnes qui pratiquent le BDSM sont uniquement fétichistes. D’autres, voyeurs ou exhibitionnistes. La relation sexuelle à proprement dit ne fait pas nécessairement partie de l’équation, mentionne Carlotta. L’éventail d’options est large, quasi infini en fait. «C’est impossible de s’ennuyer dans le BDSM, assure-t-elle. Ça stimule constamment la créativité dans le couple. Tant que ça se fait dans le respect de l’autre, c’est positif. C’est un mode de vie pour relever des défis, repousser ses limites. Et dès qu’on sort du personnage, la vie de tous les jours continue.»

De son côté, Boglacier est d’avis que plusieurs personnes se freinent à tenter l’expérience BDSM «par peur du ridicule». «Il faut oser se laisser guider par ses pulsions. J’aide souvent des débutants à le faire. Certains enfilent une couche et mettent une suce dans leur bouche, comme un bébé. D’autres ont du plaisir dans la douleur. Il y a aussi la momification (enrobage corporel complet). Que les gens soient transsexuels ou hétéros, tout le monde se côtoie dans nos soirées. Il n’y a pas de place au jugement. On est constamment en mode découverte.»
D’ailleurs, il suffit de mettre les pieds dans le donjon du couple (scindé en plusieurs stations) pour prendre la mesure de sa passion débridée: une cravache par-ci, une série de fouets par-là. Une table de massage dans un coin, une croix Saint-André dans l’autre. Plutôt déstabilisant pour un néophyte. C’est sans compter les innombrables dispositifs destinés à la suspension corporelle créés de toutes pièces par Boglacier. «Le donjon, c’est une réelle fierté. Il y a énormément d’heures de travail et d’argent investis là-dedans. Quand on va dans une quincaillerie, ça nous allume vraiment. On est comme des enfants dans un magasin de jouets en pensant à ce qu’on pourrait ajouter (au donjon).»
«Le BDSM fait partie de notre ADN maintenant!, lance la dominatrice. On est accros. Ça a changé nos vies.»
source : http://www.lapresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/201508/14/01-4892817-un-couple-devoile-la-face-cachee-du-bdsm.php

jeudi 23 avril 2015

SADOMASOCHISME BDSM

Le film événement «  50 Nuances de Grey », aborde le thème de la domination et du masochisme. Mais de quoi parle-t-on exactement ?

Comment expliquer ce désir chez certaines personnes d’être dominé(e) ou dominant(e) avec son/sa partenaire ?

bdsm
Cette pulsion est présente en général chez la personne bien avant qu’elle soit en couple. On peut très bien ne pas en être conscient et découvrir au cours de sa vie que l’on est attiré par ces pratiques. Dans un couple, la personne qui a envie de vivre une expérience sadomasochiste (SM) en parle à l’autre : si l’autre aime ça, la relation devient une complicité très fructueuse. Le SM à l’intérieur d’un couple, lorsqu’il est bien vécu, est un moyen de devenir extrêmement tolérant, d’accorder beaucoup de liberté à l’autre. Il s’agit de s’octroyer des fantasmes réciproquement dans une relation de franchise. Dans une relation SM épanouie, la confiance est très importante.

Existe-t-il des conseils pour trouver un partenaire bdsm ?

Pour des raisons de sécurité et social, les femmes sont moins sujet à "sortir du placard" comme joueurs bdsm. Pour les hommes, cela semble être moins un problème....mais la majorité des hommes et femmes garde ce coté d'eux secret. C'est pourquoi il est plus facile de trouver son partenaire sur un site specialisé comme slave-selection.fr

Avant de se lancer dans l’expérience « BDSM », faut-il mettre en place des règles avec son/sa partenaire ? Lesquelles ?

Une chose importante : il faut un consentement absolu des deux partenaires avant de se lancer dans une expérience SM. Le couple doit parler avant des pratiques qu’ils vont effectuer. La parole est très importante. Si le partenaire n’a pas envie d’avoir les mains attachées ou les yeux bandés, il faut le définir à l’avance. Il s’agit ensuite de guider l’autre pour qu’il procure le plaisir souhaité. Il faut également mettre en place un mot d’arrêt, c’est-à-dire un signe pour dire que l’on veut stopper le jeu, l’arrêter. Il y a beaucoup de mots d’arrêt.  On peut dire « rouge », « fraise » ou encore« pouce ». Ces accords entre les deux personnes écartent une atmosphère d’angoisse ou de stress. Ne pas savoir comment cela va se dérouler ou comment arrêter le jeu ne permet pas le lâcher-prise et la confiance nécessaires à ces pratiques.

Une inversion des rôles dominant/dominé dans le couple est-elle possible ?

Le « switch », c’est ainsi que l’on appelle cette inversion des rôles, est tout à fait possible. Mais faire changer un femme dominatrice en dominée, c’est très difficile. Pour certaines dominatrices, changer de rôles est hors de question.

Peut-on imaginer qu’un homme dominant au travail aime la soumission dans l’intimité ?

Oui, on serait surpris de certains profils, mais c’est pareil pour les femmes et les hommes. Quand on est dans le contrôle et la concentration toute la journée au travail, on peut avoir envie, le soir, de se laisser faire et d’être dirigé sous la gouverne d’une autre personne. Il s’agit de lâcher-prise en fait. Ce qui peut stimuler certaines personnes, c’est de supprimer un sens ou la motricité. Avoir les yeux bandés ou les mains attachées crée une contrainte mais donne une toute autre perception à la relation sexuelle.



Il y a eu une évolution dans les pratiques SM ?

Oui. Les yeux bandés ou les mains attachées sont des pratiques beaucoup plus à la mode que le fouet, par exemple. Les châtiments corporels étant de plus en plus bannis de notre société. Les séances de flagellation sont donc moins demandées.


« 50 nuances de Grey » donnera t il envie aux couples non-initiés de tenter l’expérience SM ? Et est-ce un bon exemple ?

Après la sortie du livre, les ventes d’objets SM (menottes, bandeaux) ont beaucoup augmenté dans les magasins spécialisés. Il y a eu un effet, les gens ont eu envie de « jouer ». Grâce au livre, beaucoup de personnes ont découvert que le SM pouvait être pratiqué par eux. Avant, ces pratiques étaient considérées comme extrêmes et dangereuses. Cette trilogie a considérablement banalisé ces pratiques. Mais l’histoire du livre en elle-même est un peu décevante. Elle aurait pu se dérouler dans les années 20 : un homme riche rencontre une jeune femme, il lui propose du travail et la prend en charge. C’est un schéma très classique, pas très moderne. Mais c’est la mode des romances légèrement épicées, comme les livres d’Harlequin il y a quelques années. En revanche, nous avons beaucoup a attendre du film avec Emmanuelle Béart, « La Maitresse ».

mardi 14 avril 2015

LA PATRONNE 1

A 23 ans je rêvais d’indépendance. J’ai arrêté mes études assez tôt pour chercher un emploi et me loger. J’ai réussi à décrocher un petit job de secrétariat dans une société d’import export. Il me permet tout juste de boucler mes fins de mois. En quelques mois, mon sérieux, ma ponctualité ont joué en ma faveur. La patronne m’a fait venir dans son bureau pour me faire une proposition. Sa secrétaire devant s’absenter pour un congé maternité, elle me proposa d’assurer l’intérim.
— Je préfère cette solution! m’a-t-elle dit. Tu connais la boîte et tu te familiariseras plus vite qu’une personne étrangère à la société.
La patronne est une femme qui en impose et, sans en avoir peur, je peux affirmer qu’elle m’impressionne. Devoir travailler en direct avec elle me faisait vraiment peur et m’angoissait. Mais, d’un autre côté, mon salaire allait augmenter de 40%… Ce qui n’était pas négligeable!
— Je te donne deux jours pour y réfléchir et prendre ta décision! N’oublie pas que pour tenir ce poste, j’ai besoin d’une personne disponible!
J’ai donc accepté le travail et je suis entré en fonction trois jours plus tard. Au bout de quinze jours, alors que nous étions les deux derniers dans les bureaux, elle m’a parlé:
— Jusqu’ici, je suis très contente de ton travail…
— Y a-t-il un «mais», madame?
— Non… Quoique! Il me reste à évaluer certaines de tes aptitudes. Pour travailler avec moi, il faut être entièrement dévoué.
— Je sais, madame. Je pense que…
— Chut! Tu ne dois jamais contredire un de mes ordres. Es-tu prêt à l’accepter?
— Euh… oui, madame.. Je vais essayer de…
— Ce n’est pas suffisant d’essayer. Il me faut du concret.
J’étais un peu paumé. Tous ces propos étaient bizarres.
— Le travail de la société m’accapare énormément. Je n’ai pas le temps de mener une vie personnelle et intime en parallèle.
— Je comprends que vous exigiez de votre secrétaire.
— Ta gueule!
Elle a écarté son siège à roulettes du bureau. Elle écarta ses jambes et m’exhiba son sexe
— Allez! A poil et lèche!
Tel un animal apeuré devant un prédateur, je me suis laissé hypnotiser par cette femme et me mis nu devant elle A genoux , je commence à lécher , laper ce sexe.
— Tu aimes?
— Oui, madame.
— Continue à lécher et réponds à mes questions en agitant la tête. Es-tu prêt à ne plus porter de sous-vêtement sous ton pantalon?
J’ai agité la tête pour dire oui.
— Es-tu prêt à me lécher à quatre pattes sous ce bureau pendant que je reçois des clients?
— Oui, madame
— Tu as un beau cul. Donc, tu as bien compris… plus de slip ni de caleçon… Cul nu sous ton pantalon! Je veux que tes fesses soient immédiatement accessibles.
— Oui, madame!
Elle a ouvert un tiroir et posé un large gode sur son bureau.
— Enfonce-toi ça au fion!
— C’est… c’est très gros… je…
— Ne pas contredire un seul de mes ordres!!! As-tu déjà oublié tes résolutions? Je vais te punir pour ça. Debout sur mon bureau et descends doucement sur cet autre gode…

Ce deuxième gode était beaucoup plus grand et gros. J’avais très peur. J’ai pourtant réussi à me l’enfoncer jusqu’à la garde et à m’agiter dessus;
— C’était ta première impertinence! Au bout de trois ce sera le licenciement immédiat sans même la possibilité de retrouver ton ancien poste. Tu es à mon entière disposition. Est-ce bien clair?
— Oui, madame!
Je commençais à me rendre compte de ce qui m’arrivait. J’allais devenir un jouet sexuel pour une femme vicieuse et sadique. Elle m’a retourné sur ses genoux pour me donner la fessée. J’ai un peu gémi de douleur et puis j’ai trouvé la sensation plus supportable.
— Je vois que tu commences à t’habituer. Tu vas sûrement aimer devenir ma petite pute docile, ma petite salope perverse. Je vais te faire progresser dans ton rôle d’objet pour le plaisir!
Elle m’ordonna de m’installer à quatre pattes le cul offert à son regard sur son bureau et elle me contourna. Je ne la voyais plus; j’étais inquiet. Elle ôta le gode pour le remplacer par autre chose.
— Voici TON bouche-trou. C’est un butt plug qui devra toujours être en place sur ce lieu de travail. Il sera enlevé lorsque j’ai envie de me servir de ton trou.
Elle poussa bien le plug à fond. Soudain, sa main claqua violemment sur mon cul. Elle recommença. Comme j’avais émis un léger cri de surprise mêlé à un autre de douleur, il pousse mon slip en boule dans ma bouche. La fessée reprit jusqu’à me tirer des larmes. Seul mon père qui était très sévère m’avait déjà donné ce type de châtiment.
— Un cul de salope, ça doit être net sans poil! Pour demain, tu vas me nettoyer ta raie et la rendre impeccable! Je ne veux plus aucun poil , tu enlèveras tous tes poils , je te veux lisse , entièrement lisse.
J’ai agité la tête.
— Ton cul est bien rond et musclé. Ça c’est bien! Tu fais de la musculation?
J’ai agité la tête pour dire non.
— Réponds!
La bouche encombrée par mon slip, j’ai du fournir un effort incroyable pour sortir un son correct de ma gorge.
— Non, madame. Che fais de la natachion.
— Très bien! Quand, j’en aurai fini, avec toi, aujourd’hui, je te donnerai le reste de ta journée. Tu iras t’occuper de ton corps. Tous les soins à y apporter sont écrits sur cette liste. Lève-toi.
Je me suis dressé sur la table.
— Au sol! Descends! Je t’interdis de perdre ton plug et de le tenir avec tes mains. Sers-toi de ton cul pour le serrer.
Je suis descendu en essayant de garder le bouche-cul. J’étais debout devant elle, les yeux baisés.
— Il y a aussi ces tétons qui sont bien minuscules! On va arranger ça!
Elle sortit, d’un tiroir de son bureau, deux petites pinces reliées par une double-chaîne argentée.
— Je sais que n’es pas encore habitué à tous les traitements que je te réserve. Tu finiras par tellement les apprécier que tu en redemanderas. Sais-tu à quoi servent ces pinces?
— Non, madame!
— Elles servent à travailler les tétons, à les faire «bander»… Tu vas, toi-même, en poser une sur chacun de tes tétons. Tu vas voir, au début, la douleur est assez forte mais, ensuite, ça va te plaire! La seule chose, c’est qu’on ne peut jamais oublier qu’on les porte.
Elle m’a tendu les pinces et, les yeux remplis d’angoisse, j’allais devoir les placer sur mes pointes sensibles. Le froid de l’acier me fit frissonner. Elle était maintenant ouverte, prête à emprisonner mon téton. La douleur fulgurante m’arracha encore des larmes. Elle était en face de moi, terrible.
— C’est une épreuve très difficile, mais je suis sur que tu vas la réussir. Tu les garderas toute cette première journée. Demain, je veux voir tes pointes déjà bien dures et dressées. Tu pourras les retirer chez toi… pour la nuit! C’est à moment là que la douleur sera la plus forte.
— Oui, madame!
  • Bien, nous allons continuer l’interrogatoire. Combien de femme as-tu connus jusqu’à maintenant? Une dizaine, madame! Combien de dominatrice ? Aucune madame
    Combien d’hommes as-tu connus jusqu’à maintenant?
— Aucun, madame!
— Aucun? Tu as pourtant l’air d’une fameuse petite salope… Soit! J’espère que tu ne me mens pas… sinon…
— Non, madame! Ch’est juré!
— Quand as-tu fait l’amour, la dernière fois?
— Il y a quinche jours!
— Avec une femme donc?
— Oui, madame!
— De la société?
— Oui, madame!
Un large sourire a éclairé son visage et elle a pris quelques notes.
— Son prénom!
— Marianne.
— Tiens donc…
Nouveau sourire.
— Tu te branles souvent?
— Oui, madame.
— C’est à dire? Une fois par semaine, tous les trois jours, tous les jours?
— Tous les chours, madame!
— Plusieurs fois par jour?
— Cha arrive, madame!
— Tu t’es déjà branlé au bureau?
— Oui, madame.
— Où?
— Dans les toilettes, madame.
— Seul?
— Oui, madame!
— Tu étais excité par quelque chose de précis?
— Non, madame!
— À partir de maintenant, je t’interdis de te branler sans en avoir obtenu mon autorisation. Ici, chez toi ou ailleurs. Est-ce assez clair?
— Oui, madame.
— Si tu as été bien obéissant toute la journée, je te téléphonerai cette nuit chez toi pour te demander de te branler. Ce sera comme ça, tous les jours…
— As-tu déjà pompé une bite?
— Non, madame!
— Tu vas te rattraper! Tu suceras des clients , des vrais hommes et tu avaleras leur foutre chaud jusqu’à la dernière goutte. Il arrivera certains jours que leur jus soit ton unique nourriture. J’aimerai te voir travailler toute la journée devant moi en sachant ton estomac uniquement rempli de sperme. Tu vas devenir un petit être pervers et tu seras enculé régulièrement. Ton petit trou servira plus que tous les autres. Il sera même forcé en permanence par des accessoires que je te ferai découvrir.
Je l’écoutais accumuler des horreurs sur moi, sur ce que j’allais devenir. J’étais KO!
— Tu vas devenir une vraie petite pute au trou toujours ouvert et accessible. C’est clair?
— Oui, madame!
— Avant que je te lâche, tu vas me prouver que tu as tout compris. Dis moi une chose… demande-moi une chose que tu n’as jamais demandée à personne…
— Quoi donc, madame?
— Cherche bien. Réfléchis!
— Demande-moi de «prendre» quelque chose que tu n’as jamais donné.
Je suais. J’angoissais.
— Allez… grouille… Quelle partie de ton corps n’as-tu jamais offerte à une femme?
— Mon anus, madame!
— Tu vois comme tu peux être malin! Tu vas me demander de te baiser!
— Oui, madame! Baichez-moi…
— Ouh la! Tu vas le demander mieux que ça. Beaucoup mieux!
— Madame voulez-vous me baicher?
— J’ai dit… mieux que ça.
— Madame auriez-vous la bonté de bien vouloir m’enculer.
— C’est mieux, mais fait un effort. Essaie d’éviter les punitions. N’oublie pas que tu n’es plus qu’une petite pute. Encore mieux que ça!
J’ai pris sur moi et je lui ai servi ce qu’elle voulait.
— Madame, ch’il vous plait, enfilez-moi par mon petit trou de pute. Défonchez-moi mon trou de salope. Enculez votre petite pute choumise!
J’avais un peu de mal à comprendre ce qui m’arrivait, ce qui me poussait à satisfaire les désirs de cette femme autoritaire. J’étais nu. J’avais des pinces accrochées aux tétons et un plug au cul. Cette femme avait fait de moi une larve, une lopette soumise… et ce n’était que le début!
— Approche-toi du bureau. Comme ça… Écarte bien les cuisses et penche-toi en avant, le torse sur le bureau.
TakingHerCock1Une fois de plus, j’ai directement répondu à ses ordres pour lui être agréable… et sûrement aussi pour éviter toute punition. La position qu’elle venait de me faire prendre me rappela douloureusement mes tétons meurtris par les pinces. Je sentais mon cul, envahi par le plug, pris de contractions. La patronne ouvrit un de ses tiroirs d’où elle sortit un tube de gel. Elle passa derrière moi, ôta le plug et me badigeonna le trou de lubrifiant. Je me mis à frissonner autant d’excitation que de peur. Je savais ce qui allait suivre. C’était moi qui l’en avait supplié! Elle massa doucement mon anus puis elle introduit un doigt dans mon sphincter. Au bout d’un moment, elle était passé par deux, trois puis quatre doigts. J’allais bientôt avoir toute sa main profondément plantée dans mon petit trou. Je souffrais, j’avais des larmes plein les yeux. Elle retira ses doigts et j’entendis alors prendre un objet dans son bureau. Elle enfila un god ceinture . Un claquement me fit comprendre que le god ceinture était en place.
— Tu vas l’avoir, mon cochon! Tu vas bien en profiter de ma bite en latex !
Son gros god se posa sur mon anus et lentement elle en força l’entrée. Malgré le travail de ses doigts, elle rencontra une certaine résistance, puis mon sphincter se détendit et son sexe articiel s’enfonça jusqu’aux testicules.
— Respire! Respire à fond! J’y suis…
Elle resta un instant sans bouger, puis elle commença à s’agiter en moi. Ses mouvements d’abord assez doux devinrent plus rapides. Mon corps projeté vers l’avant, obligeait mes tétons harnachés de pinces à se frotter contre le bureau. Mes larmes inondaient mon visage, mon cou et ma poitrine.
— C’est bon, hein, sale pute? C’est bon, le god bien dur de ta Maîtresse?
Elle ressortit complètement de mon anus endolori pour s’y réintroduire immédiatement. Elle procéda ainsi jusqu’à exploser dans mes entrailles. Une de ses mains s’était glissée sous moi et elle commença à caresser ma queue. Elle m’amena ainsi au bord de l’orgasme mais elle s’arrêta brusquement.
— Tu ne mérites pas de jouir maintenant! Il te faudra attendre…
J’étais au bord de l’évanouissement. Elle se retira et essuya son god sur mes fesses.
— Debout! Bien droit devant moi!
— Je t’interdis de t’essuyer. Tu le feras ce soir quand tu seras rentré chez toi. Remets tes vêtements et va porter les mémos dans les bureaux.
— Pas dans chette tenue, madame!
— Si! Si, petite salope…il faut bien t’habituer à ta condition.
— Mais «ils» vont voir que…
Sa main frappa violemment ma joue et je me suis écroulé à ses pieds.
— Aujourd’hui ou un autre jour, ils finiront par savoir… comme ils ont su pour toutes mes salopes! Après toi, il y en aura d’autres… C’est moi la patronne ici!
J’ai porté la main à ma bouche pour enlever mon slip roulé en boule. J’ai reçu une nouvelle claque.
— Pas avec cha dans la bouche?
— Bien sûr que si!
Je me suis relevé et j’ai commencé à pleurer toutes les larmes de mon corps. Elle n’a pas plié. Assise à son bureau, elle m’a regardé me rhabiller, prendre les mémos et me diriger vers la porte.
— Enlève le slip de ta bouche!
Je me suis retourné. J’hésitais.


— À la prochaine rouspétance, c’est à poil avec ton plug que tu feras ton travail à chaque étage!
— Bien, madame!
J’ai ôté le slip et l’ai jeté dans la poubelle qu’elle me montrait.
— De toutes façons, tu n’en auras plus besoin! Va porter les mémos… Avant de rentrer chez toi, tu reviendras ici pour reprendre la même position que tout à l’heure. Je devrai te remettre le butt plug!
De retour après mon travail de coursier, elle me remit donc le plug puis me questionna encore.
— Tu as déjà été fessé, n’est-ce pas?
— Il y a longtemps. Mon père le faisait pour me punir, madame!
— Il te fessait sur tes vêtements?
— Oui, madame
— Avec moi, ce sera cul nu! Tu finiras aussi par aimer ça… Tes fesses seront celles d’un esclave. À partir d’aujourd’hui, elles seront frappées régulièrement à la cravache. Tu seras fessé tous les jours. Si c’est nécessaire, je le ferai devant témoins! Pour commencer, choisis le nombre de coups que tu crois mériter!
J’étais une fois de plus coincé entre l’envie d’être raisonnable et la peur d’être trop modeste.
— Dix, madame!
— C’est trop peu… J’avais pensé à quinze mais comme tu n’en voulais que dix… je vais monter à vingt! Vingt pour moi et dix pour toi… ça fera trente! Tu prendras aussi l’habitude de dire «merci» après chaque coup…
— Oui, madame!
Elle me donna l’ordre d’allonger les bras sur le bureau. Elle me montra la cravache et elle leva son bras armé pour l’abattre violemment sur mon cul. Mon cri fut perçant.
— Alors?
— Merciiiiiii, madameee!
— Premier oubli! C’était un coup pour rien…
Elle recommença avec autant de violence mais en s’efforçant de frapper un autre endroit.
— Merci, madame!
— C’est mieux!
Au bout de dix coups, mes fesses étaient en feu et chaque coup m’envoyait valdinquer sur la tablette du bureau.
— Écarte-toi du bureau! cria-t-elle. Sans plier les genoux, penche-toi en avant pour essayer de toucher tes genoux avec ton nez. Mieux que ça! Encore plus, sale pute! Maintenant, tu vas garder cette position en saisissant tes fesses avec tes mains pour bien écarter ta raie.
Elle reprit son travail de bourreau, m’obligeant à lui offrir la partie charnue de mon cul à sa cravache. Elle frappa dix fois ma raie écartelée et mon anus envahi par le plug.
— Nous en resterons là pour aujourd’hui!
Épuisé, je suis tombé à genoux en gémissant.
— Ah non, pas de ça avec moi! Assume! Assume, sale pute! Cette place, c’est ton choix! Puisque tu es à genoux, restes-y!
— Merci, madame!
— Je pense que tu as parfaitement compris ce que j’attendais de toi. Je pense que nous ne nous sommes pas trompés et que cela nous promet de belles perspectives. Tu aimes souffrir, tu vas être servi. Tout ce que tu as vécu aujourd’hui n’est que le début…

mardi 10 février 2015

Dominatrices Gynarchiques!

-Tu feras tout ce que l'ont te dit Maintenant, compris esclave?
-oui, Maitresse Sandra!!
-Tu l'as trouve ou?
-Ils nous en faut d'autres!

http://femdom.dating







dimanche 1 février 2015

Face sitting de Dominatrice sur mari soumis

Maitresse assise sur ton visage et hop vidange en moins d'une minute LOL
Tu vois ma lope soumise, c'est plus la peine de retirer ta cage LOLOL

mercredi 28 janvier 2015

Maitresse Dominatrice ; Les regles de la maison

Mets toi nu et a genoux, un larbin ne doit jamais se tenir au dessus du vagin de sa Maitresse.
Voila c'est mieux. Nous te punirons plus tard pour cet ecart, en attendant tu vas venir nettoyer la cuisine.....

mardi 20 janvier 2015

dimanche 18 janvier 2015

Maitresse A Voisine Dominatrice

Quelques que temps après mon inscription sur Slave Selection ma permis de faire une belle rencontre.
En début de soirée je reçoit une alerte d’un message reçu sur mon profil slave Selection, je me connecte pour lire un message Maitresse A.. Madame me  demande de lui donner mon numéros de téléphone le lui donne instantanément.
Le lendemain matin 9H10 je suis au café avec plusieurs collègues, mon téléphone sonne numéros caché, je décroche, c’est Maitresse A elle me demande si je peux parler librement je suis obliger de lui répondre que je suis au travail. D’une voie posé elle me demande si je peux être libre de parler librement et si oui dans combien de temps. Je me suis un peut éloigné de mes collègues et lui indique que cela est possible dans 5 minute.  mon coeur bat très fort, je court prendre ma veste et de sortir du bureau pour pouvoir être certain d’être tranquille.
5 minutes mon téléphone sonne très rapidement je réponds aux questions précise qui s’enchaine, la voie est pausé calme sereine, un bruit de font est présent car Maitresse A roule en direction de son travail. il est 9H35 le bruit de font cesse elle me demande si je suis disponible ce midi pour la rencontrer. Elle me propose un lieu de RDV qui est a 15 minutes en scooter de mon travail, le RDV est prit pour 12H30. Nous raccrochons je suis un peut KO debout j’ai du mal a imaginer que je vais rencontrer Maitresse A....lire la suite...

http://slave-selection.fr


jeudi 15 janvier 2015

La sublime Maîtresse et son jeune esclave

Étudiant de 21 ans, nouvellement arrivé à Paris, j’avais une obsession de plus en plus intense, rencontrer et servir une femme dominatrice. J’ai parcouru tous les soirs « Femdom dating » pendant 3 mois sans oser répondre à une annonce. Un soir j’ai décidé qu’il était temps que je me lance. Certaines femmes m’ont répondu que j’étais trop jeune et sans expérience , d’autres m’ont laissé sans réponse. Le miracle s’est produit un 2 décembre, une très élégante femme de 49 ans était d’accord pour « m’essayer ». L’idée d’éduquer, façonner un novice la séduisait. Elle n’avait aucun tabou mais était prête à me dresser progressivement pour que j’apprenne Très élégante, très souriante, elle avait une autorité naturelle et indiscutable. Elle était brune aux yeux bleus, les cheveux mi longs, grande, avec des formes généreuses (1m72, 76 kg). Divorcée, elle vivait seule dans un très beau pavillon situé à Boulogne Billancourt. Elle ne travaillait pas, sa fille de 22 ans ne vivait plus chez elle. Elle occupait ses journées à voir ses amis ou prendre soins d’elle.
Très vite elle a défini mon rôle de sa belle voix douce et sensuelle. J’étais là pour lui rendre la vie la plus agréable possible. Je devais être à la fois une « boniche », un masseur, un chauffeur, un esclave sexuel, un souffre douleur… Un jouet utile prêt à répondre à n’importe quelle exigence aussi humiliante, perverse ou sadique soit-elle. Avec un novice elle pouvait façonner un esclave exactement comme elle le souhaitait.


femdom.dating

mercredi 7 janvier 2015

Couple FEMDOM FLR MARI SOUMIS

Dans un couple FLR, vous n’avez pas à être une « Dominatrice en cuir et fouet » ou tout autre Femme pour votre compagnon. Soyez juste vous-même et entraînez votre compagnon a être le genre d’hommes que vous désirez. L’avantage d’avoir un soumis est qu’il est le meilleur des deux mondes pour une femme. Il peut être masculin parfois, et peut être une gentille petite soumise d’autres fois.
Vous pouvez dresser votre homme à être exactement comme vous le souhaitez. Si vous le desirez tres masculin, alors il suffit de le dresser ainsi.  Il agira en homme la plupart du temps, et peu suspecteront qu’il est un mâle aussi soumis. Cela rajoute souvent à l’excitation de savoir que sur un ordre il tombera a genoux et fera tout ce que lui ordonnera sa femme (en privé bien sur). Vous pouvez aussi le feminiser. Ce qui est amusant dans la féminisation d’un homme est de le faire sur un homme très masculin. Vous pouvez le vêtir de lingerie féminine, le maquiller alors que vous portez votre god ceinture, et le prendre ainsi. Il deviendra alors totalement soumis devant vos yeux et vous pouvez faire ce que vous voulez, il ne pourra résister. Vous avez juste besoin d’entraîner votre homme à agir en homme la journée, mais à être doux et humble envers les femmes et docile envers vous.
Ne lui faites porter des dessous féminins que si vous le désirez. Autorisez-le à s’habiller comme un homme dans la vie quotidienne et à faire des choses masculines s’il le désire. Le sport, la pêche, ou tout autre loisir. Faites-le aller à la gym et travailler son corps. A la maison il devra toujours être prêt à porter le tablier, la lingerie, et à vous servir en tout. Vous le contrôlez totalement et si jamais vous décidez de le féminiser totalement, vous pouvez. C’est tout à fait comme vous voulez.
Pas mal de femmes désirent que leur homme soit toujours très féminin. Elles ne veulent plus voir un seul trait du macho ou de masculinité sur lui, alors elles le dressent en conséquence.  Elles veulent un homme masculin parfois et une servante soumise d’autres fois. Personne n’a tort ou raison. Cela dépend totalement de vos besoins et désirs. Alors dressez votre compagnon a être comme vous le désirez. Après tout, vous êtes celle qui vit avec lui.