chapitre 2 : La punition
Elle ne souhaitait pas que je vive avec elle. Elle souhaitait seulement que je sois à sa disposition dès qu’elle le souhaitait.
Pour cela j’étais équipé d’un téléphone portable dédié et lorsqu’elle m’envoyait un sms, j”avais au maximum 20 minutes pour me présenter.
Jusque là tout s’était toujours bien passé. J’arrivais dans les délais et jamais je n’avais eu à être blamé. Tout se passait très ien. Je satisfaisais ses envies et jamais je n’avais eu à être puni.
Bien sûr, de temps à autre, elle se servait de sa cravache ou de ses gants latex pour me fesser, mais je ne prenais pas ça pour une brimade. Elle en avait envie et je devais la satisfaire.
Parfois elle se mettait nue et utiliser sa ceinture gode sur moi.Je sentais dans ses cas là les va et vient lui procurer du fait de sa nudité un certain plaisir perceptible par son souffle changeant. Je répugnait cette pratique mais là encore ca n’etait que l aboutissement d’un de ses désir et je me laissais faire. Je sentais même en retour un certained “compassion” puisque parfois elle me masturber en même temps pour me soulager.
Il n’était pas question d’humiliation entre nous. Elle me dominait, m’ordonnait et j obéissais
Jamais donc jamais je n’avais ete reellement puni. Pourtant une fois j avais eu peur car étais arrivé en retard. Mais pas chance elle avait du s’absenter et étais arrivé après moi..
Pourtant cette fois là je ne pouvais y échapper. Je m’étais pour la première fois malencontreusement écarté de mon portable et n’avais pas vu son message, qui comme à l’accoutumé me disait “je t”attend esclave”.
Ca n’est qu’au second sms “esclave tu es en retard, c est inadmissible” que je me suis aperçu de mon erreur. Je ne pouvais y échapper.
Arrivé devant chez elle, je me demandais quelle serait sa réaction.
Lorsqu’elle m’ouvrit, elle ne laissait rien transparaître. Son regard était fixe.
“entre” me dit elle
“Je suis désolé maitresse, je m’excuse, je vous promet que je ne fauterai plus” lui répondis-je
Elle tourna les talons , me laissa dan sle couloir et entra dans sa pièce. Je restais là seul, me demandant si j’éviterais tout punition, si ma maitresse aurait compris.
De l’intérieur de sa pièce elle me cria : “esclave vient”
J’entrai. Elle était dans la pénombre.
“déshabille toi, je veux te voir nu”
Je m’exécutais. Elle sortit de son coin sombre. Elle s’était habillée de sa tenue de latex, avec un long gant.
Son regard était fixe mais ne semblait pas dur, ce qui me rassurait.
“Esclave, tu étais en retard. Baises moi les pieds pour t’excuser”
Je m’empressais de me mettre à 4 pattes pour lui baiser les pieds me disant que dans le fond ma maitresse était très bonne et tolérante. Elle semblait satisfaite
Elle passa derrière moi , et fit passer son pied entre mes fesses, lentement , tatonnant mon anus avec son orteil.
“relève toi” ordonna t ‘elle
Elle me pris la main, l’attacha à un anneau au plafond et fit de même avec l’autre. Une fois que je fus attaché son regard changea radicalement. Elle alla chercher sa cravache
“tu pensais échapper à une punition larbin? Tu as fauté et c ‘est inacceptable”. Elle alternait coups de cravache et fessées.
“Tu es mon eclave, ma petite salope, mon larbin”
Elle me pressait les testicules jusqu’à me couper le souffle sous un regard de braises. Puis relachait et repartait à user de sa cravache sur mes fesses, parties intimes. Elle m’injuriait, me traitait de tous les noms.
Je souffrais le martyre. Je la suppliais d’arrêter; mais rien n’y faisait.
Lorsque mes fesses furent totalement rouges, elle me détacha et le ton de sa voix devint plus doux.
“mon esclave, comprends tu pourquoi tout cela s’est passé”
Son regard semblait apaisé et je commençais à me détendre
“oui maitresse” répondis-je “désormais je serai vigilant”
“C’est bien mon exclave. Vient t’allonger sur la table afin de reprendre tes esprits” .Cette table était un tout nouveau meuble dans sa pièce . Nous nous ne étions servi une fois pour une scéance de face sittig mais rien de plus En toute confiance je m allongeai sur le dos. Elle était près de moi et me tenait la main. Je me sentais mieux et me disait que ce mauvais moment était passé.
Je ne réagis pas vraiment lorsqu’elle m’attacha une main puis la seconde et là encore un efois son regard changea. Il était devenu tellement froid qu’il me glaçait. Elle s”écarta et elle revint habillé de sa ceinture gode et tenant le lubrifiant.
Alors que, devinant ce qui allait se passer, je tentais de la supplier, elle m’écarta brusquement les jambes et toujours avec ce même regard commença à m’insérer un doigt puis 2 et enfin 3.
Elle me regardait fixement, et sans sourciller commença à me défoncer. Son regard était presque aussi pénétrant que le gode . Pas un mot, rien ne sortait de sa bouche. Elle me regardait souffrir
Enfin au bout d un certain temps qui m’avait semblé interminable des premiers sons sortirent
“petite salope, tu n aimes pas mais pourtant c est ce qui t”arrivera régulièrement pour toute erreur”
“Voila ce que je fais à une petite pute. Tu es un moins que rien. Tu es à ma merci”
Elle continuait ses va et vient, toujours plus rapidement, plus profondément. Dieu qu il était gros et long ce gode. Je n’arrivais même plus à faire sortir un son de ma bouche
“Salope, maintenant tu va bander, et je continuerai à te défoncer tant que tu ne te seras pas purgé. Tu vas apprendre à savoir me satisfaire même dans la douleur”
Il me semblait impossible d’y parvenir. Elle me détacha une main et m’ordonna de me masturber tout en continuant son mouvement incessant. Dans son regard passait une lueur de plaisir à voir ma détresse. La douleur liée aux va et vient etait trop forte.
J’avais l’impression que cela durait depuis des heures. J’avais mal. Pourtant au bout d’un moment le sperme coula sur mon ventre, sans plaisir, presque dans un état second.
“essuies avec ta main et lèche là”
J’aurais tout fait pour que ca cesse au plus vite. Lorsque ma poitrine fut nette; elle se retira, s approcha de mon visage, me giffla et tourna les talons en me criant
“détaches toi tout seul petite salope et va t’en . Que cela ne se reproduise plus” et elle disparut dans la pénombre.
Je n’eu qu’une hate. Partir au plus vite. Je n’arrivais plus à marcher mais plus rien ne pouvait m’empêcher de fuir.
Jamais plus je me suis séparé de mon portable
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire