vendredi 30 août 2013

Comment je suis devenu la lopette de ma femme

Auteur : Soubrette Lulu


Marié depuis 15 ans avec mon épouse, nous vivions une vie de couple des plus classiques, jusqu’au
jour où tout a basculé…

Entré dans la routine, nos rapports sexuels ont commencé à devenir de plus en plus espacés !
J’ai commencé à surfer sur le net et consulter des sites de domination.
Je n’avais aucune envie d’être le soumis de ma femme, mais fantasmer sur le sujet me plaisait bien.
Je prenais un plaisir régulier en me masturbant devant des vidéos de Dominatrices avec leur soumis.
Il devenait fréquent que lorsque mon épouse voulait un rapport, je n’arrive plus à la satisfaire le fait
de mettre masturbé, juste avant, devant une vidéo.

Un jour mon épouse m’annonce qu’elle doit partir en déplacement professionnel.
Je profite de l’occasion pour contacter une dominatrice afin d’assouvir mon envie de soumission.
Je donne donc rendez chez moi à cette Dominatrice, le dimanche soir suite au départ du
déplacement de mon épouse.

Pour être certain de profiter pleinement de ma soirée je pose un RTT le lundi pour pouvoir me
reposer le lendemain
En bonne professionnelle, La dominatrice applique tous mes souhaits demandés par mail.
Une fois passé le seuil de la porte, elle m’ordonne le lui embrasser ses pieds, ensuite elle m’introduit
un énorme plug gonflable qu’elle gonfle fort, puis me réalise un bondage complet avec du
cellophane, sauf pour ma tête et mon sexe.
Me voilà donc prisonnier par terre devant le canapé à ses pieds gainés de nylon bien odorants
qu’elle m’oblige à sentir, lécher, sucer…

Je suis au paradis, excité que je ne l’ai jamais était, quand soudain, j’entends la voix de mon épouse
dire à la Dominatrice, c’est bon vous pouvez y aller, je vais prendre le relais…..
Mon sang se glace et je suis incapable de dire un mot, et là tout commence !

CHAPITRE I

Elle s’installe dans le fauteuil et m’ordonne sèchement :
- Nettoie mes escarpins avec ta langue petite merde puisque tu aimes ça.
Dans ma position je n’ai pas trop le choix et me dit que je m’expliquerai avec elle après, mais
pendant que je m’applique à la tache elle reprend la parole :

- Cela fait des mois que je me suis aperçue que tu effaçais toujours l’historique de l’ordinateur
tous les jours, j’ai donc installé un logiciel pour enregistrer ce que tu consultes, et oh qu’elle
surprise ! J’ai eu dans un premier temps du dégoût, mais je me suis demandé jusqu’au ou tu
serais capable d’aller.

J’ai donc inventé ce déplacement et lorsque j’ai vu ta demande à cette Dominatrice, je me suis
dit qu’il ne me restait 2 solutions, soit je divorce, soit je fais de toi mon esclave !
Mon sang se glace une deuxième fois, est-elle sérieuse ?
J’ai essayé de lui répondre, mais elle m’en empêche en enfonçant son talon au plus profond de ma
gorge en me disant :

- Je ne t’ai pas autorisé à parler petite lopette,  ce soir je ne veux pas entendre  un mot, sinon
c’est le divorce direct, contente toi juste d’obéir à mes ordres.

Puis elle déchaussa son escarpin pour le retourner au-dessus de ma bouche et mon nez,  pris un bout
de cellophane du rouleau restait au sol pour attacher fermement l’escarpin sur mon vissage et me
dit :

- Lèche l’intérieur avec ta langue, met bien ta salive pour la nettoyer et surtout ne t’arrête pas
sans que je t’y autorise.
Elle a bien préparé son coup, car ce sont ses escarpins  qu’elle a depuis plus de 10 ans,  elle me disait
toujours qu’elle n’arrivait pas à s’en séparer !

L’odeur est très forte et le goût est horrible, sans parler des morceaux de crasse mélangé à la sueur
qui se détache à chaque coup de langue.
Pendant ce temps elle commence à me masturber avec ses 2 pieds gainés de ses collants.
Elle m’amène au bord de l’orgasme puis s’arrête, et répète l’opération pendant plus d’une heure !
Au bout d’un moment l’irritation lié au collants, commence à me faire souffrir le martyre, cette fois
elle continue jusqu’à l’orgasme, qui ne me donne pas de plaisir, tellement la douleur est devenu
forte !

Elle détache son escarpin de mon vissage et me dit :
- Ça va, tu as bien nettoyé l’intérieur, mais maintenant lèche moi cette semence qui à salit mes
divins pieds, je ne veux plus en voir une goutte !
Au vu du ton autoritaire qu’elle prend, je n’ose rien dire et me met à lécher avec dégout ma proche
semence, sur ses pieds, mélangé à sa sueur.

Je m’applique à la tâche en me disant que je suis en train de faire un cauchemar et que je vais me
réveiller, puis reprend la parole :

- Pas terrible, mais crois-moi, tu vas finir de les nettoyer mes collants.
Elle se lève retire ses collants pour en faire une boule en prenant soins de terminer par le côté
des pieds ou il reste encore quelque goutte de ma semence, et sans que j’ai le temps de réagir me
l’enfourne dans la bouche !

Elle prend ensuite un rouleau de ruban adhésif, qu’elle sort de je ne sais ou, et fait plusieurs tour de
ma tête afin que je puisse plus recracher  la boule de ses collants !
Ma salive commence à se mélanger à la sueur de ses pieds, et le goût est encore plus horrible que de
les lécher !

Elle prend ensuite le deuxième escarpin, non nettoyé, aussi odorant que le premier pour le plaquer
sur mon nez,  prend le rouleau de cellophane et enveloppe complément ma tête,  alors que je
commence à suffoquer, elle perce 2 petits trous de chaque côté pour que je puisse respirer !
Mais je suis obligé de respirer lentement afin de laisser passer l’air par les petits trous, ce qui
augmente l’intensité de l’odeur dégagé pas sa chaussure !

Avec le cellophane sur les oreilles il me devient difficile d’entendre, mais elle s’approche de mon
oreille est me dit :

- Je te laisse toute la nuit pour réfléchir à ma proposition, on divorce ou tu deviens ma petite
lopette à tout faire.  Bonne nuit

Soudain je sens le plug gonflable qui prend du volume ! Elle est en train de le gonfler,  je commence à
gémir de  douleur, mais la boule de son collants étouffe le son,  elle ne s’arrête pas avant de ne plus
savoir appuyer sur la poire ! Puis elle part se coucher !
Ma nuit va être très longue et je ne risque pas de dormir………………..


CHAPITRE II

Au petit matin, je n’en peux plus, je suis engourdi de partout et mes entrailles me font tellement
souffrir !

Arrivée à côté de moi elle me dit :

- J’espère que la nuit t’a porté conseil et que tu as fait ton choix,  mais juste pour ton info, toute
la scène d’hier soir a été filmée depuis le début avec ta Dominatrice…

J’avais positionné une caméra dans le coin de la pièce.
Alors une fois que j’aurai enlevé ma chaussure et mes collants ta bouche, tu as 2 solutions :

• Tu choisis le divorce, mais tous tes collègues, amis et familles auront la vidéo
• Tu décides de devenir ma lopette, et la seule phrase que tu as le droit dire sera : "oui "

Mon sang se glace une nouvelle fois, mais une fois la boule, de ses collants, retirée de ma bouche je
m’empresse de dire la langue engourdie : oui Maitresse faites de moi votre chose et transformez moi
en petite lopette.

Le sourire aux lèvres  elle se positionne au-dessus de mon visage et me dit :

- Ouvre bien grand la bouche ma petite lopette, pour te récompenser de ton choix je vais
t’offrir le champagne doré du matin de ta Maîtresse.

Mais je te préviens, s’il y a une goutte au sol, ta première punition sera de 20 coups de
Cravaches sur tes fesses.

Sans prendre le temps de réfléchir, j’ouvre la bouche, car je vois le jet commence à tomber, le goût
et l’odeur son très fort, malgré les hauts de cœur, je fais tout mon possible pour avaler au plus vite
pour éviter la punition, mais la quantité est telle, qu’au bout d’un moment je n’arrive plus à suivre et
ça déborde de ma bouche ! Ravie elle s’empresse de me dire :

- Tu viens de gagner ta première punition Lopette.

Mais avant tu vas me nettoyer avec ta langue, car  j’ai une surprise pour toi.
Pendant que je m’applique à la nettoyer, elle ramasse le collant en boule précédemment retiré de
ma bouche le déroule et l’entoure autour de mon pénis.

Puis commence une lente masturbation tout en prenant la poire du plug gonflable pour forcer
encore plus dessous !

Je n’en peux plus, entre l’irritation de mon pénis de la veille + mes entrailles écartelés, la douleur
devient insupportable et je me mets à hurler dans son vagin !

Elle se met à ricaner et me dit :

- Applique-toi bien ma lopette car tant que tu ne m’auras pas fait jouir avec ta langue je
n’arrêterai pas…
Je m’applique à tourner autour de son bouton tout en continuant de hurler jusqu’à ce qu’elle se
raidisse pour inonde ma bouche de sa jouissance.
Mais à peine elle a repris ses esprits, elle reprend mon pénis dans sa main et me dit :

- Comme elle est minuscule ! elle ne risque plus de me servir, je vais la mettre en lieu sûr.
Je sens que ma verge entrer dans un étui froid, mais malgré sa taille réduite par la douleur, elle a un
peu de mal à entrer, puis après avoir ententu un « clic » elle me dit :
connaitre la cause de notre divorce et tu pourras de suite faire ta valise et partir.
Maitresse faites de moi votre chose et transformez moi en petite lopette. »

- Pas facile de te mettre une cage de Morgane mini, mais maintenant qu’elle est bien
enfermée, elle n’est pas prête d’en sortir, comme tu es devenue une lopette, tu n’as plus le
droit de me pénétrer avec ce petit oiseaux et surtout plus le droit de te masturber devant tes
vidéos…

Elle finit enfin par me libérer du cellophane ! C’est avec toutes les peines du monde que je réussi à
m’assoir dans le fauteuil et là je reçois une gifle magistrale !

- Aux pieds!  une lopette ne s’assoit pas dans le fauteuil !
Vas à la salle de bain te doucher je vais te préparer tes affaires.

Et téléphone à ton boulot pour dire que tu poses une journée aujourd’hui.
Je lui annonce timidement que j’avais déjà posé un RTT, puis je passe d’abord aux toilettes pour me
soulager de cette longue nuit, puis prends une bonne douche.

A la sortie de la douche elle m’attend avec son petit sourire :
- Maintenant que tu es une lopette, il va falloir changer ta garde-robe, mais pour aujourd’hui
c’est bon j’ai ce qu’il te faut.

Elle s’avance vers moi pour m’entourer d’un joli corset en dentelle, mais il me semble bien petit pour
moi ! A plusieurs reprise elle me demande de vider mes poumons et en profites à chaque fois pour
bien tirer sur les ficelles,  je n’en crois pas mes yeux elle a réussi à rejoindre les 2 bouts !
Je suis tellement serré que je peux à peine respirer et bouger.
Elle complète ensuite ma tenue par des bas, string, perruque, maquillage, robe de soubrette et pour
finir une paire d’escarpin avec des talons de 15 cm fermés par des lanières à cadenas !

Finalement tout cet attirail est encore plus contraignant que ma nuit passée enveloppé dans du
cellophane !

Elle me regarde toute radieuse pour me dire :

- Ta nouvelle vis de lopette ne fait que commencé, à partir de maintenant ton activité se
résume à : boulot, taches ménagères, me servir, me donner du plaisir et s’il te reste un peu de
temps dormir.

J’ai toujours rêvé d’être servir comme un Princesse, mon rêve est en train de se réaliser.
Regarde toi dans la glace comme tu fais une belle petite lopette, alors qu’est ce l’on dit à sa
Maitresse pour ça ?

Je suis au bord des larmes et me dis que le jeu a assez duré, je lui dis que j’ai compris à leçon et qu’il
est temps d’arrêter tout ça.

A peine ma phrase terminé, je reçois une belle gifle, elle passe derrière moi, me met un bâillon boule
dans la bouche qu’elle sert très fort et ferme par un cadenas derrière mon coup !

- Tu n’as pas bien compris ma lopette, ce n’est pas un jeu, tu as accepté de devenir ma lopette
alors maintenant tu vas l’assumer.

Elle m’entraine dans le salon et m’ordonne de me mettre à 4 pattes.

- Ta punition de 20 coups de cravache est passée à 50, puisque tu n’as pas l’air de comprendre,
et surtout ne bouge pas si tu ne veux pas qu’elle augmente encore !

Je n’ose pas bougé mais au bout des 50 coups je m’écroule au sol.

Avec une voie radieuse elle me dit :

- J’espère que cette fois tu as compris, je t’ai mis la liste de tes taches de la journée dans la
cuisine, moi je pars mettre tes anciens vêtements à la déchetterie et t’en acheter de nouveau.

Lorsque je serais rentrée tu as intérêts que tout soit bien réalisé si tu ne veux pas que tes
fesses chauffes de nouveau.
Voilà comment, en à peine 2 jours, je suis passé du fantasme à la réalité sans m’y attendre, et ce
n’est que le commencement de ma nouvelle vie.
Mais malgré tout ce que je viens de subir, sans savoir pourquoi, je ressens une immense joie
m’envahir !!!

A SUIVRE

Soubrette Lulu.

jeudi 29 août 2013

LE NIRVANA D'UN COUPLE GYNARCHIQUE

ce texte vous est offert par valetlechecul
LE NIRVANA  D'UN COUPLE GYNARCHIQUE

PRESENTATION

Je réside près de ROCHEFORT en Charente -maritime. Homme d'une cinquantaine BCBG, de 1,82 et 82kg avec des yeux verts marrons. Je croque la vie par la deux bouts de la chandelle, je papillonne et picore surtout la gente féminine mariée.
En avril 2010 je fait connaissance de VIOLL... 36 ans, épouse d'un militaire sans enfant. Elle est responsable d'un secrétariat d'un service de la Région.J'ai passé avec elle un après midi fou, elle me donnait l'impression de me connaitre au bouts de ces doigts. A son départ on échange nos n° de téléphone et email.Elle m'avait rendu complètement retourné, j'avais peur de tomber amoureux. Plusieurs fois par jour j'attendais son contact, je devenais comme un lion en cage. enfin au bout de 10 jours, elle m'adressa un mail .
DEBUT DE LA DESCENTE AUX PLAISIRS:

Elle m'écrivait " Bonjour, j'ai remarqué que tu avais un penchant pour la soumission et cela me plaît ( je ne savait même pas au fond de moi avoir cette tendance) Donc si tu désires me revoir, lit bien ce texte. Je n'aime pas les hommes, égoïste, fier de leur sexe, orgueilleux,idiot comme toi, sans droiture. J'aime les hommes ayant de la prestance, intelligent,généreux,disponible et surtout prêt a me servir sans retenue. Tu est une CARPETTE plutôt une LOPETTE, tu me serviras de SOUS-MERDE. Si tu veux me revoir, sache qu'il y a des obligations : Tu ne me parleras que lorsque je te le permettrai, tu me vouvoieras,tu seras toujours derrière moi lorsque nous sommes avec des gens. Tu seras toujours qu'une chose pour moi, as tu compris CONNARD ?
Il n'y aura jamais de pénétration entre nous, tu feras abstinence, je te trairai quand je le voudrais espèce de grosse vache. Donc si tu désire me contacter soit par téléphone, par s.m.s ou par mail, il faudra toujours au début de chaque écrit ou appel me dire un mot très nul comme toi "PISTACHE" après je te donnerai la permission de correspondre GROS CON".
Si OK appelle moi a 22h30 je serais plus tranquille à la maison.
J'étais ébahi, je tombais des nues,cette femme si douce, moi soumis! qui adorait fessées les femmes et parfois les attacher aux pieds du lit.Mais le plus surprenant et que j'avais une érection raide. Je voulais continuer par l'excitation de la situation.
A 22h30 je l'appel,(je venais de tomber dans ces griffes)je lui dit que j'avais reçu son mail, elle me dit PEDALE et coupa l'appel.J'étais étonné de sa réaction et je compris de suite qu'il manquai le mot magique "PISTACHE". Je la rappelle "PISTACHE"elle me demande d'attendre et au bout d'une minute elle reprend la conversation en me disant," tu vois ce n'ai pas dur tu comprend maintenant? espèce de LARVE je vais te rendre la vie plus belle. Bizarre plus elle m'insulte plus je m'accroche a elle.


DEBUT DE MA SOUMISSION
Une semaine avant notre rencontre, elle m'adresse une mail en me demandant d'acheter pour mon apprentissage; 
des menottes, une cravache, des gants chirurgicaux, une crème pour faciliter l'introduction anale, un god ceinture, et un god moyen avec pour introduction lorsque je suis assis, un plug transparent avec une queue de chien, une laisse pour le chien que je suis et cinq petites culottes de fille a ma taille.
Tout ce texte ponctué d'insultes très excitantes qui me faisait bander comme un cerf. Elle précisa aussi que le jour de notre rencontre, de laisser la porte d'entrée entrouverte, les 5 culottes sur le lit avec une lettre de soumission totale et de l'attendre dans le salon, tout nu avec la laisse autour du coup le plug dans mon anus et les ustensiles près de moi. 
J'attendais le coeur battant fort, j'avais une érection forte, je ne pensait plus a cette tenue nue seule chez moi le cul prêt a servir, j'étais en si peu de temps heureux de faire plaisir a ma maîtresse.
Mon coeur a battu encore plus fort lorsque j'ai entendu la porte s'ouvrir.Elle rentra dans la chambre j'ai entendu des compliments pour les culottes et parue enchantée de ma lettre de soumission.Elle dit tout fort de la chambre enfin je vais voir ma LOPETTE,elle arrive derrière moi, il m'est impossible de vous décrire a quel point j'étais excité, elle me dit eh! SOUS-MERDE . Sache que maintenant tu auras toujours le cul tournée vers la porte pour mes visites pour me montrer que tu est un esclave soumis comme une CARPETTE., tu comprend CUL A BITES? oui VIOLL.. 
j'ai reçu un coup de pieds sur les fesses "non et non je suis ta maîtresse VIOLL. 
elle se présente devant moi et me demande de baisser les yeux. 
Je ne voyais que ces chaussures blanches a talons et ces chevilles " aller lèche les chaussures et plein de baisers sur ma cheville. 
En se moquant de moi elle trouve que je trique bien pour une PEDALE , elle me tire sur la laisse et me demande de faire le tour du salon, en prenant la laisse dans la bouche comme les chiens savants et elle m'a appris a parler chien 1 aboiement pour dire oui et 2 aboiements pour demander quelques choses, interdit le NON. Elle s'assied sur ma croupe et les tapotes 
HUM....quel beau cul tu as un cul de pute, tu seras ma salope un de ces jours je ferais une tournante et ta craquette(mon anus) servira aux gods de ces dames ou aux queues de ces messieurs et sans le remarquer j'ai dit oui maîtresse VIOLL...Ensuite elle me demande d'essayer les culottes, elle était ravie, plus tard tu acheras des bas et des collants tu deviendra ma pute je te ferais prendre par des hommes. 
LE LACHER PRISE
Plusieurs rencontres on eu lieu. J'étais heureux d'être devenu son esclave, heureux pour elle, prêt a donner plus chaque fois, j'avais atteint le  stade de la soumission cérébrale, qui pour moi (d' après mon expérience)est la situation la plus importante, afin de tout accepter, coups de pieds, de poing,gifles, humiliation (insultes, WC ambulant, moquerie devant du monde etc...). Ce lâcher prise elle avait su l'accepter par ces mots, ces insultes, j'avais toujours le sexe raide a chaque paroles et écrits,j'étais prêt atout pour elle, rien pour moi,, que son plaisir et quelle joie de m'entendre appeler, LOPETTE, SOUS-MERDE,LARVE, LECHE CUL, PUTE, et parfois elle me siffler dehors en ville pour m'appeler. J'étais devenu son valet, sa chose son objet. Un jour de juin 2010 elle vient avec un cadeau et un contrat, que je devais lire et parapher en deux exemplaires. voici le contenu : 
PACTE D'APPARTENANCE
Il était précisé que ce pacte nous lier sous la forme d'un couple gynarchique, que je lui appartenait complètement, corps et âme, elle avait tout les droits sur moi, droit de vie et de mort, que j'étais sa lopette, quelle pouvait faire ce quelle désirait de moi me vendre me prêter, ou me louer. Tout lui sera permis sur moi Gifles, coups de pieds de poings, cravache, fessées, martinet, introduction anale supplice de la bougie,même laisser toute la journée attaché pendant qu'elle se promène. Quelle se servira de moi comme cendrier, crachoir, WC ambulant. et le seul droit que j'avais " et de me taire, ne rien demander, et attendre ma pitance par la nourriture quelle voulait bien cracher dans mon plat. Aussi il était précisé que je dois faire abstinence et seulement je pourrais jouir lorsqu'elle voudra bien me traire.Si non paraphe arrêt complet des visites. Je me suis empressé de signer je voulais lui appartenir pour toujours. En ce qui concerne du cadeau pour ce pacte c'était un grande gamelle de chien en inox.

MA VIE GYNARCHIQUE
Toujours sous son influence, mon âme te mon corps était a sa disposition et je ne vivais que pour elle. Le plus remarquable c'est que elle mesurait 1.60m et ne pesait pas plus que 55kg avait un corps juvénile, petits seins et s'habillais souvent en jeune fille, mais pourtant elle était plus forte que moi et me dirigeait comme un enfant, j'avais l'appréhension de ces réaction parfois lorsqu'elle me donnait des raclées assez poussée qui me laissait pantois au sol.
Mais je ne vivais que pour son bonheur.Elle m'avait éduquer pour son plaisir et parfois lorsqu'elle lisait un livre dans le fauteuil, elle me demandait de me mettre a genoux en face d'elle elle écartait ses cuisses et me demandais ce que je voyais : "Je vois vos cuisses (une gifle très forte) la première fois j'ai pleuré de douleur, " ah! pardon vos cuisses merveilleuses et votre culotte, je devais lui faire les louanges de sa culotte" Ho! belle culotte qui protège le sexe et le postérieur de ma très belle maîtresse, toi qui s'est garder les odeurs de cyprine et du fondement du beau cul royal, toi belle culotte, quelle joie j'aurais quand je pourrais te sentir et te lécher, en attendant je sait que tu est supérieur a moi et j'attend tes ordres. Ces odes je devais souvent lui dire dans les toilettes en la regardant sortir de son anus royal de beaux boudins de crotte et de clamer que son caca et aussi supérieur a moi et c'est pour cela que ma divine altesse m'appelle SOUS-MERDE, de même pour son urine chaud et odorant un régal pour ma bouche. 
Je devais ensuite les sentir lui lécher son sexe pour le nettoyer et manger le papier toilette qui avait servi a nettoyer son auguste cul ( on n'ai pas trop attiré par le scato, lécher et manger les papiers toilettes ok). 
Sinon ma journée de couple(Mari souvent en mission en Afrique) était parfois tranquille devant la TV ou lire des livres, mais je la servais toujours ces moindres désirs. Mais parfois des journées plus torride elle se passait souvent en 3 étapes, début toujours nu devant la porte d'entrée avec la laisse autour du cou, plug dans l'anus,gifles,insultes,faire le ménage, la vaisselle et parfois je nettoyais avec la langue la lunette des WC. Ensuite pendant l'excitation je recevait de sacrée dérouillée pour n'importe quelle bêtise. 
Des coups de poing des coups de pieds, crachat dans la bouche, ma langue lui servait de mouchoir, tour en laisse, je devais me comporter comme un chien en aboiement, (après lavement) doigts ou main dans le cul et pendant cette action elle me criait tu est a moi, tu m'appartient) coup de cravache menotté sur un meuble le cul prêt a subir son god ceinture et lorsqu'elle était énervée par un collègue de travail elle me faisait le supplice de la bougie.
J'avais le sexe tout roide et cela l'excitai encore plus. a la fin je devais me mettre a 4 pattes elle se mettait debout ces cuisses entre ma tête elle serrai fortement a étouffer, et se penchait pour me traire comme une vache et me disait des insultes qu'elle avait un droit de cuissage ainsi que le droit de vie sur moi, qu'elle était plus forte que moi et que je n'étais qu'une lavette et qu'elle est ma supérieur et moi son simple subalterne, un con,une pédale, une lopette, sa pute et toujours a ce moment le fait d'être étranglé que je dépende de sa force de toutes ces insultes et du traiyage de ma queue je gicler mon sperme sur le sol en criant de joie.
Pour finir je lécher mon sperme et elle assise devant moi elle se caressait comme une folle son sexe a travers sa culotte  et me demandait de la regarder, enfin elle avait une jouissance infini avec beaucoup de pertes liquides que je devais lécher soit au rebord du fauteuil ou sur le sol. 
Ensuite vient la période la plus calme, ou je profite de sa tendresse. 
Elle me caresse la tête, les cheveux,on prend le café elle sur le fauteuil et moi a ces pieds, en guise de sucre j'ai un crachat  et une fois j'ai du faire mon café avec de l'eau des cuvettes des WC. Ou parfois a table pour le déjeuner elle assise sur une chaise et moi au sol avec ma gamelle en inox rempli de la nourriture qu'elle a bien voulu cracher dedans accompagné d'un verre de son champagne de premier choix. 
Elle me tire doucement sur la laisse et me raconte tous ces déboires avec son mari ou les ennuis dans service.En me caressant la tête elle m'appelle mon chien tu sait tu es merveilleux. Elle me parle de ces jouissances qui ressemble a une petite mort, que est magnifique elle ne veut plus de contact des pénétrations elle préfère cela tellement c'est très fort. 
Et moi je lui demande la permission de parler "PISTACHE" et lui exprime aussi le bonheur que j'ai de la connaître, que moi aussi mes jouissances sont infiniment plus importantes qu'avant, j'ail'impression de partir au delà de la vie, ce sont des jouissances internes vraiment la valeur d'un volcan et que je l'aime comme un fou de se plaisir qu'elle me donne. J'exprime aussi que je suis heureux de vivre en perpétuel soumis même pendant les moments calmes ,je connais ma place devant elle je la voit toujours comme ma supérieur. 
je la remercie de m'avoir su ouvrir les yeux devant les femmes, qui sont largement plus forte que nous les hommes, elles sont d'une race supérieur. QUE que je suis entièrement satisfait d'être sa chose. Que je ne lui réclamait rien, que mon bonheur est de la servir.que j'ai un immense amour pour ma maîtresse VIOLL... 
elle me tire sur la laisse ou par les cheveux et me dit MERCI avec un petit bisous sur les lèvres. Pour moi ces instants sont gravés a jamais.
UN COUPLE GYNARCHIQUE REUSSI :
  • soumission cérébrale obligatoire, sana cela impossible d'accepter les coups, les  l'humiliation 
  • Admettre que la femme est d'une race supérieur,
  • Donner tout son amour a sa maîtresse jusqu'à lui donner votre vie,
  • Après excitation savoir garder sa place dans le couple, vous êtes toujours de race inférieur,
  • accepter les situation contraire a vos principes (soumission,bi sexsualité,introduction annale,
  • avoir confiance dans sa maîtresse elle est là comme votre mère elle vous couve et vous garde.


EXPERIENCES TRES FORTE :
la première fois qu'elle m'a introduit la main dans mon anus. Au bout de 3 mois après des essais de god et d'aliment comme des bananes, courgette, carotte,et enfin un concombre. Enfin de compte cela a été plus facile que je ne le pensait, l'anus a un muscle facile a dilater.  malgré la douleur je suis heureux de lui offrir mon anus. La difficulté ce n'est pas doigts mais de passer les phalanges de sa main (heureusement qu'elle aune petite main) elle est ravie car elle pourra me prêter a des hommes ou femmes avec god ceinture.

5 mois après notre connaissance elle me demande me préparer, nu cul en direction de la porte entrouverte, , laisse au cou, sans plug et ustensile près de moi. Toujours très excité lorsque  j'entends la porte s'ouvrir; je l'entend venir vers moi en discutant avec un homme. Je me suis trouver mal a l'aise, elle venue de suite et ma chuchoter à l'oreille , "tu est ma pédale" tu est a moi, tu m'appartient et fait ce je veux de toi, tu est ma pute ma grosse salope, fait plaisir a ta maîtresse, sache que tu m'appartient et lui n'est qu'un amusement. Alors j'ai repris confiance de savoir qu'elle me protégeait. Elle se leva et fit les présentations " voici ma SOUS-MERDE, une PEDALE qui un garage a bites et voici Véronique une lopette qui adore s'habiller en fille. 
Regarde le espèce de pute. J'ai vu devant moi un garçon torse nu sans poil, avec une culotte tanga, des bas et chaussures talons aiguille.Il me faisait bander comme un fou VIOLL le remarqua, tu vois salope que tu aimes les bites et la sienne est belle. 
elle me tire sur la laisse et me demande de faire un tour du salon en aboyant  et la laisse dans la bouche,ensuite j'ai du monter que j'étais un chien savant. elle me demande de me mettre a genoux devant le garçon, elle lui claqua le cul en lui parlant comme une fille et lui a sorti sa queue en me la présentant, elle était longue mais pas trop épaisse et me demanda de lui faire pleins de bisous sur son gland et ces bourses.J'étais surpris de la bonne odeur de son sexe et de la consistance du gland , j'ai du continuer a baiser ces cuisses et ces pieds pour montrer ma docilité; 
Ma maîtresse pendant ce temps là a pris la camera et filmer toute la scène, elle disait qu'elle était au "nirvana" que surement elle allait joui sans se toucher et cela ma fait très plaisir, je voulais me surpasser pour elle.. 
Après il se retourne et me montre son petit cul bien ferme et VIOLL... me demande aussi de faire pleins de bises sur son postérieur, j'étais un peu réticent, elle m'appuya la t^te contre son cul, et j'ai trouvé l'odeur agréable et sans ordre de ma maîtresse j'ai commencé a lécher sa raie du cul et enfoncé ma tête pour sentir et faire pénétrer ma langue profondément dans son trou de cul. VIOLL.. était surprise et enchantée, plutôt excitée de voir sa pédale bouffait le cul d'un inconnu, elle était devenue folle, elle me criait bouffe lui le cul pédale, grosse salope goûte son trou a caca, elle avait l'autre main dans son sexe et se frottait très fort. Ensuite il se retourna j'ai du prendre son sexe en bouche le plus profond malgré sa longueur, le garçon était content,"il disait que je bouffait sa queue aussi bien qu'un pute. 
Je voulais gober le maxi pour faire plaisir a ma maîtresse et elle en folie complète me dit ça y est tu est prête a servir pour les tournantes.C'est aller très très vite sans m'apercevoir il, pointait son dard vers ma craquette et l'enfonça très facilement même moi j'étais étonné mais je vous assure quel bonheur de faire plaisir comme cela ma maîtresse et de recevoir un sexe tout chaud dans l'anus. VIOLL.. criait comme une folle nous traitait de tous les noms. Enfin il a joui en dehors sur la cuisse de ma Maîtresse et celle ci ma demandé de nettoyer en même temps elle a eu une jouissance incomparable.Mais bon dieu que cela fut bon, le fait de faire plaisir a mon amour, et de savoir qu'on me filmait et aussi qu'une autre personne était présente tout cela m'a fait jouir dès quelle là commencer la traie. 

la dernière très importante s'est passer 1 an après notre connaissance. elle me téléphone vers 19h45 en juin 2011, je la sentais furieuse suite a une réunion de travail et me demanda d'être présent en voiture avec tous les ustensiles ainsi que la laisse autour du cou et le plug a queue dans le cul Le rendez vous avait lieu à l'orée d'une forêt qui se trouve entre MARENNES et LA TREMBLADE après le pont de la SEUDRE direction RONCE. 
J'arrive au parking et attend , angoissé de cet appel. Personne dans les environs cela me calme. elle arrive enfin se dirige vers moi me demande de baisse la vitre de l'auto et m'adresse un coup de poing et une gifle, avant que je dise quelque chose elle m'oblige d'ouvrir la bouche et me met sa culotte portée dans la journée.heureux de recevoir ces coups mais je les sentais bien forts, heureusement que par sa corpulence  j'ai pu accepter cela sans broncher.
Elle me dit qu'elle était énervée de sa réunion et le fait de me taper la colère passait doucement. Elle me demande de me déshabiller et de sortir de la voiture. a genoux je rejoint la forêt elle en me tirant par la laisse, " lors mon cabot, aller aboie pour plaisir a ta maîtresse,j'ai aboyé jusquau premier chemin. on s'arrêta et elle pris une branche verte enleva les feuilles pour la rendre flexible et me donna des coups sur le cul et le dos , en criant sur ces collègues j'ai joui de douleur mais surtout de savoir qu'elle avait besoin de moi pour passer ces nerfs. Elle s'est aperçu de ma jouissance et a continuer plus fort et en me donnant des coups de pieds " je devais jouir que sur son ordre" je recevais des coups de pieds sur les cotes, le cul, des gifles en m'insultant, elle m'a demandé de me mettre a genoux et m'a donné plusieurs coups de poing, elle m'obligea d'ouvrir la bouche pour cracher tout son venin, un dernier coup de poing et une gifle je suis tombé sur le sable. 
Elle s'est assise sur ma figure et me dit que j'étais un idiot, un abruti que je méritais ma punition. Elle leva me laissa respirer et devant moi elle se mit a pleurer.Personne était présent pendant ce tabassage. Le lendemain elle m'a soignée et j'ai eu pour la première et dernière fois la possibilité de la voir toute nue, mon dieu quelle est belle.

TOUTE A UNE FIN
au mois de septembre 2012, son mari est muté dans l'est de la France. C'est avec un très grand déchirement que j'ai vu partir ma maîtresse VIOLL... 
elle aussi je suis sûr était triste.On a passé le dernier après-midi dans la tendresse. Elle me demanda plus de contact pour ne pas que son mari est des soupçons.

Quelques temps plus tard j'avais envie de retrouver pas le même amour mais les coups me manquaient. J 'ai cherché et trouver des annonces. Mais quel gâchis , elle ne sont pas maîtresse au fond d'elle, elle ne veule que de l'argent. Les coups je les sentais, elle ne save pas que même un soumis il faut en premier le rendre soumis cérébral pour accepter leur médiocrité, une maîtresse ne crie pas, elle parle normalement en douceur..


mercredi 28 août 2013

L'école des hommes

                                                                     
                   
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L'école des hommes
 
J'arrivais dans ce petit square au pied 
d'un immeuble bourgeois 
par un bel après midi d'été.
Avec un peu d'appréhension je composais 
le code de l'interphone. 
11h20, j'étais un peu en avance. 
Comme convenu, 
je m'étais soigneusement lavé, rasé de près 
et m'était vêtu 
d'un pantalon en toile noir et d'une chemise blanche 
avec le bouton du col ouvert.
Je partais m'assoir sur un banc pour attendre l'heure prévue.
Qu'est ce qui m'avait pris de contacter cette femme ?
C'était il y a maintenant 1 bon mois. Lors d'une journée d'ennuie, 
je me repassais mes 25 dernières années conjugale, la passion des débuts, 
les plaisirs qui s'ensuivent, l'arrivée des enfants, 
la vie qui défile avec celle que l'on aime, 
les enfants qui partent, le vide qui s'installe et la prémonition q
u'il faut changer les choses pour repartir 
de plus belle dans cette nouvelle vie.
Profession libérale, je ne travaillais plus qu'à mi temps, ma femme continuant 
son temps plein « parce qu'elle avait toujours voulu garder son indépendance » 
et surtout parce que son travail lui plaisait.
Divaguant sur le web, j'étais tombé sur cette annonce : 
«  Vous rêvez d'apprendre à servir les femmes 
pour mieux satisfaire la votre et ainsi vous retrouver 
dans une relation de couple 
épanouissante pour chacun ? 
Vous sentez instinctivement que votre place est aux pieds 
de votre compagne ? 
Envoyez photos et lettre de motivation. Je suis sélective  
donc ne soyez pas surpris d'être refusé. Annonce non vénale. »

Alors je m'étais dit : pourquoi pas, cela ne coute rien d'essayer.
Mine de rien, je me trouvais maintenant un rien ridicule, 
me demandant avec appréhension 
ce qui allait se passer. Brusque retour à la réalité.
11h28, il est temps d'aller sonner.
11H30 précise je compose fébrilement le code.
Silence.

Dois je recommencer ? Me suis je trompé de code ?

Une voix se fait enfin entendre. Un oui, sur un ton bienveillant et décidé, m'interroge 
finalement.
Panique.
« Bonjour Madame, je me présente, Grégoire, je viens vous voir comme convenu la semaine 
dernière. »
Ca commence bien me dis je, tu parles comme un lycéen devant la femme du proviseur.
« Dernier étage, porte droite en sortant de l'ascenseur » me répondit une voix 
avec une pointe d'amusement.

Arrivé devant la porte je sonne. Une belle femme d'une quarantaine d'année m'ouvre. 
Elle est vêtue d'une robe sombre à boutons sanglée d'une large ceinture à grosse boucle 
mettant en valeur une taille svelte. A ses pieds, des ballerines assorties à sa tenue. 
Le maquillage est discret.
« Entre ».
Je m'exécute.
« Suis moi dans le salon ».
Je la suis.
« Installe toi dans le fauteuil ».

Je m'enfonce confortablement dans ce large fauteuil et parcours du regard ce nouvel 
environnement. Trois grandes fenêtres donnent sur une petite terrasse fleurie dotée 
d'une vue superbe sur toute la ville. Dans cet espace cosy, trône en face de moi 
un canapé profond sur lequel s'allonge la maitresse de maison.

Elle me regarde. 

J'attends.

Un ange passe.

Son regard me sonde.
Silence géné de ma part. Qu'est ce que je fais là ?

« Bien, dit elle.
Comme tu le sais, tu es venus ici librement pour apprendre à servir les femmes, 
ou plus exactement ta femme. Es tu toujours d'accord avec cela ? »
« Oui. »
 « Oui Madame. N'oublie pas que je suis devenue ta préceptrice et que tu dois maintenir 
la distance nécessaire entre nous. »

Je baisse les yeux.
« Oui Madame. »
« Très bien. C'est toujours mieux quand les choses sont dites clairement.
Donc tu vas commencer par te tenir correctement s'il te plait. Quand tu es assis, 
tu dois toujours avoir le dos droit. Ce canapé n'est pas fait pour que tu te vautres. 
Tu dois être physiquement toujours prêt à répondre à mes désirs. »

Je me redresse, posant mes fesses au bord de l'assise du canapé, le dos bien droit.
Elle me scanne alors du regard. Je l'a voit passer en revue chaque détail de ma personne.

Elle me désigne un meuble bar dans le salon et me demande de lui servir un verre 
de porto accompagné d'olive.
Je m'exécute en silence et retourne m'assoir sur le fauteuil.
Elle se redresse. Sa jupe remontant légèrement laisse apercevoir une dentelle noire.
Elle me dévisage en souriant.
« Tu aimes ce que tu as vu ? »
« Oui Madame. »
« Dommage pour toi car tu n'en jouieras pas. Du moins pour l'instant car je n'ai pas 
l'accord de ta femme. »
Je tressaille. Ma femme. Que dirait elle si elle savait ?
Elle sourit. 
« Je suis ici pour t'apprendre à servir. Pas pour te donner du plaisir. Du moins pas 
directement. »

Elle déguste son apéritif en me questionnant sur ma vie passée, mes passions, mes désirs, 
mes fantasmes et mes frustrations.
Elle me demande enfin de la resservir et d'aller en cuisine lui préparer une salade composée, 
de mettre la table dans le salon avec deux couverts.
Je m’exécute.
Elle me demande de la servir et de veiller à toujours lui proposer du pain quand elle 
prendrait sa dernière bouchée de celui ci, ainsi qu'à ce que ses verres de rosé et d'eau 
soit toujours correctement remplis.
Je passe donc le repas préoccupé ainsi.

A la fin de celui ci, elle me demande de débarrasser la table, lui préparer un café, lui 
servir dans le salon et d'aller faire la vaisselle.
J'obéis en la maudissant de ne pas avoir de lave vaisselle. Ah si finalement il y en a un 
et il est à moitié plein.
Je mets donc les assiettes, les plats, les verres et les couverts dedans, 
je fouille un peu et fini par tomber sur le produit lave vaisselle. Je mets la dose 
et j'appuie sur le bouton « marche ». Le lave vaisselle se lance.
Je reviens le sourire aux lèvres.

Mine consternée et autoritaire de la maitresse de maison.
« Je t'ai demandé de faire la vaisselle, pas de mettre dans le lave vaisselle et le lancer ».
« Mais enfin, il m'a semblé plus simple de faire ainsi ».
« Ne discute pas.  Tu m'as désobéi. C'est contraire à nos accords.  Donc tu vas aller arrêter 
ce lave vaisselle de suite et tu vas faire toute la vaisselle qu'il contient à la main.... 
Exécution ! ».
« Mais.... »
« Pas de mais, sinon soit tu t'en vas et on en reste là, soit on continue à discuter et 
tu tâteras de ma cravache pour apprendre à vouloir remettre en cause mes décisions 
avant d'aller finalement faire cette vaisselle que je t'ai demandé. »

Je reste debout devant elle bouche bée : une cravache en cuir courte est rangée derrière 
le dossier du canapé. Elle me le met sous le nez en l'agitant.
Bizarrement je sens une énorme érection commencer à envahir mon pantalon.
« Alors quel est ton choix ? »
« Je vais aller faire la vaisselle »
« Bonne décision Grégoire ».

Pendant que je fais la vaisselle, un opéra empli l'espace. Une fois ma tache 
exécutée non sans mal, je reviens dans le salon.
La maitresse de maison est allongée sur le canapé, écoutant rêveusement son opéra.
Elle m'aperçoit.
« Tu as nettoyé la cuisine après avoir fait la vaisselle ?
« Euh non »
« Alors qu'attends tu ? »
Sa main glisse derrière le dossier du canapé.
« J'y vais Madame ».
Sourire satisfait de celle ci.

L'opéra arrive à sa fin. J'attaque le lessivage du sol. Une musique jazz ambiance cool 
commence à se faire entendre.
J'ai enfin fini et je retourne au salon. Les volets ont été positionnés de sorte à 
créer une légère pénombre. 
« La cuisine est propre ? »
« Oui Madame ».
« Bien. J'aime quand les taches domestiques sont faites, cela me libère l'esprit de 
ces contingences.
Comme tu m'as été agréable, j'ai envie que tu m'en donnes plus encore. Déshabille toi. »

Je m'exécute. Je remarque alors la petite boite sur la table basse qu'elle ouvre. 
Il contient une sorte de longue cage de forme cylindrique fermée par un petit cadenas.
Mon érection est monumentale. Elle la voit.
« Tu n'es pas la pour bander mais pour me servir. Débande de suite »
« Mais je ne peux pas Madame »
« Oh si tu vas pouvoir fais moi confiance »
Elle se lève et prend sa cravache. Elle me tourne autour et vient derrière pour me caresser 
les fesses avec. Elle glisse le carré en cuir de la cravache dans mon sillon fessier. 
Je frémis.
« Intéressant » dit elle.
 Elle quitte mes fesse et tourne autour de moi en laissant sa cravache parcourir mon bassin. 
La cravache arrive à mes testicules, remonte le long de la hampe, se dirige vers ma poitrine 
en égratignant mon frein au passage.
Re frémissement. Je lache un gémissement.
« Vraiment intéressant » sourie-t-elle.

Je bande plus fort que jamais.
« Normalement je devrais te cravacher jusqu'à ce que tu débandes et au delà pour t'apprendre 
à désobéir mais pour l'instant je vais rester soft ».
Elle m'empoigne alors le sexe et me dirige sans ménagement jusqu'à la salle de bain.
En déambulant dans l'appartement mon sexe dans sa main, je sens mon plaisir monté de plus en 
plus fort.
Elle le sent et s'arrête net. Elle me regarde droit dans les yeux et m'oblige à me mettre à 
genoux en me tirant les testicules.
Douleur fulgurante et inattendue. Je laisse sortir un petit cri de douleur. Le plaisir 
montant redescend un peu.
« Je t'ai dit que tu n'étais pas là pour jouir mais pour obéir. Mets toi à quatre patte 
et avance devant moi dans le couloir comme un bon chien obéissant. »
Un coup de pied aux fesses accompagne ces paroles.
J'obéis.

En suivant ces ordres, j'arrive à la salle de bain ou un jet d'eau glacé bien orienté 
met fin à mon érection rapidement.
Elle m'ordonne de me sécher et me pose alors directement la cage de chasteté.
Ceci fait elle se recule un peu pour mieux me voir, nue devant elle, le regard un peu perdu, 
un peu soumis à sa volonté, avec mon sexe en cage et la clé de la libération dans sa main.
Instinctivement je cache mon sexe avec mes mains. Le contact de la cage me trouble. 
Je réalise que mon sexe ne m'appartient plus.
Je retire mes mains, remets mes mains. 
Elle observe la scène avec un air de satisfaction intense. Ces yeux brillent de contentement.
Elle m'ordonne de la suivre, nous retournons au salon ou elle se rallonge sur le canapé 
en me demandant de desservir le café, faire cette vaisselle et revenir la voir.
Je fais ce qu'elle me demande sans rien dire. La cage qui emprisonne mon sexe me fait 
une sensation étrange. Elle me rappelle insidieusement que je ne suis plus tout à fait moi. 
Je pense à ma femme et me dit que nous ne sommes plus d'un coup tout à fait nous.

Quand je reviens de la cuisine, la maitresse de maison est toujours sur son canapé, 
la cravache bien en évidence sur la table basse à portée de main.
Elle me sourit, me félicite pour mon obéissance et me dit qu'elle a envie de faire une 
petite sieste mais qu'avant il me faudra la relaxer agréablement.
Elle remonte alors sa robe et écarte largement ses cuisses. Une culotte en dentelle 
noire laisse deviner une toison fournie qui dépasse de celle ci.
« Vient t'agenouiller entre mes cuisses et lèche moi »
« Avec plaisir Madame » répondis je en m'agenouillant.
« Ton plaisir on s'en moque Grégoire, vient me lécher et épargne moi tes commentaires 
déplacé s'il te plait ».

Je viens entre ses cuisses, découvre un joli string et commence à respirer cette intimité 
offerte. Mon nez frole le tissus. Quelques poils sortant de la dentelle viennent me rappeler 
qu'il y a autre chose sous celle ci. J'écarte le triangle de dentelle pour en découvrir un 
autre déjà gonflé et brillant de désir. 
Ma langue commence à gouter les grandes levres. Un tressaillement du bassin m'indique que 
ma maitresse de maison goute à cette pratique. Un alanguissement général de son corps
 m'encourage à aller plus loin.

Je retire le string, elle s'ouvre complètement et me regarde avec un air de satisfaction 
prononcé.
Je replonge dans son sexe.Sa main qui vient se poser sur ma nuque pour me plaquer fermement 
contres son sexe ouvert. 
Ma langue la pénètre pour gouter sa cyprine. Petite acidité sous la langue. Je m'enfonce 
plus profondément en elle. Un spasme et une main autoritaire me maintienne 
dans cette position. La cyprine est de plus en plus abondante. 
J'en ai sur le nez et les lèvres, dans la bouche. 
Je ne respire plus que l'odeur de cette femme.
Je ne goûte plus que le désir de cette femme. 
Je n'entends plus que son souffle, je ne touche plus que son corps et ne peux plus voir 
dans ma position que son bas ventre qui parfois se contracte.
Je sens mon sexe qui voudrait bien s'épanouir mais qui est limité à l'espace restreint de 
cette cage.
Une gène intense et une immense frustration m'envahissent. Je veux la prendre de toutes 
mes forces pour la faire hurler mais pour cela je n'ai que ma langue. Alors je m'abandonne 
à sa main, m'applique à comprendre ses consignes. Je durci ma langue et la pénètre 
au plus loin que je peux. 

La pression sur ma nuque se relâche. Je recule un peu ma bouche. La main me replaque 
aussitôt un peu plus haut sur le clitoris. Je commence à le lécher par de petits cercles 
léger mais la pression de la main se fait plus forte.
Je lèche alors goulument ce clitoris, élargissant le plus possible ma langue, pendant 
que mon menton pénètre son sexe par des va-et-vient de mâchoire régulier.
La femme râle, des spasmes commencent à se déclencher dans son bassin qui commence à durcir 
de plus en plus souvent et longuement.
Finalement, elle explose dans un cri. Elle me repousse la tête enfin et me laisse agenouillé 
à ses cotés pendant qu'elle reprend son souffle.
Enfin elle me dit d'aller prendre une douche.

Je me dirige donc vers la salle de bain pendant qu'elle s'endort sur le canapé, les cuisses 
encore écartées, le sexe luisant de tout le plaisir qu'elle a eu.

Quand je reviens 15 mn après, je l'a retrouve assise sur le canapé. Elle me demande de 
m'approcher et me retire la cage.
Instantanément je me remets à bander.
Elle rit, me met une petite claque douloureuse sur mon gland turgescent et me demande de me 
rhabiller et de rentrer chez moi attendre ma femme sans me branler d'ici là.

En chemin, je repense à cette folle journée et je bande comme à 20 ans. Je me rends compte 
que je ne connais rien de cette femme si ce n'est un mail ladyvine@monmail.com et un numéro 
d'interphone.

J'ai une heure à attendre avant que ma femme ne rentre. Que vais je bien pouvoir faire pour 
résister à cette envie folle de me branler et d'enfin prendre mon plaisir?.
C'est alors que je décide de préparer un bon petit plat à ma femme et de me jeter dans les 
taches domestiques.

Quand ma femme rentre, l'entrée est propre, cela sent bon dans la cuisine, j'ai dressé le 
couvert dans le salon et préparé une jolie table.
Elle est toute surprise et me demande ce qui lui vaut cet accueil si spécial. Que fête-t-on ?
« Rien lui dis je, c'est juste que ce soir j'avais envie d'un peu de changement».
En disant cela je lui prends la main et la pose sur ma braguette alourdie de toutes ces 
tensions de la journée pour la diriger vers la chambre.
« Attends me dit elle ». 
Docilement je lache sa main et reste à ses cotés.
Elle commence à vouloir enlever ses chaussures. D'instinct je me jette à ses pieds pour 
les lui enlever et y déposer un baiser.
Elle apprécie le geste, troublée.
« Je ne sais pas ce qui t'es arrivé aujourd'hui mais c'est bien la première fois que 
tu fais cela. Voyons si tu es aussi attentionné au lit. »
Elle se penche sur moi, me redresse et m’amène dans la chambre nuptiale. 

----- A suivre ------ 
 
 

mardi 27 août 2013

Mon esclavage

Cette contribution vous est offerte par :
LIENSERRE

(histoire créée à partir de vécus réels auprès d’une admirable maitresse à qui je dédie ces lignes)

Episode 4 (suite)

Le Réveil

Je me réveillais de longues heures plus tard, du moins c’est ce que je ressentais. J’avais bien
récupéré. Je m’étirais avec plaisir. Une belle érection matinale me donna envie de me lever pour aller aux toilettes. Bing, ma tête heurta le haut de la cage et me rappela ou je me trouvais. J’étais dans l’obscurité, sans contrainte mais enfermé dans cette cage. Quelle heure pouvait-il être ? Quel jour étions-nous déjà ? Dimanche! Oui nous étions dimanche, la fin du week-end chez Maîtresse Frédérique ! Non ! Chez Laura maintenant! Oui ça y était je retrouvais mes esprits

et ne pouvais oublier les événements de la veille où après une journée de dressage et de service chez Maitresse Frédérique celle-ci m’avait « prêté »pour la nuit à Maitresse Laura. Je me remémorais le trajet dans le coffre de sa voiture, encagoulé, menotté et enfermé dans un sac.

L’arrivée dans son donjon situé dans sa maison et surtout comment celle-ci m’avais épuisé en jouant sans cesse entre perverse frustration et douces tortures pour mâter sa proie. Je portais encore les traces des bondages stricts qu’elle m’avait  imposés pendant ces épreuves.  Ces souvenirs étaient autant excitants qu’humiliants.

Le temps passait. Je réfléchissais en pensant aux jours précédents et à la soumission totale dont j’avais fait preuve, quelque fois obligé mais souvent consentant. Le silence qui régnait ici était entrecoupé de légers bruits provenant de l’appartement, comme une preuve qu’un monde « normal » existait encore hors de cette  cage. J’avais envie de me lever, d’arrêter le jeu. Je l’expliquerais à Laura. Stop c’est fini ! J’arrête ! J’attends qu’elle m’ouvre et je lui dis ! Pensaisje. Et mes habits ? Zut, chez Maîtresse Frédérique ! Pris dans une nouvelle somnolence mon esprit avait du mal à réfléchir à ma stratégie, quand la porte d’entrée au donjon se fît entendre.

La voix assurée, cajolante et ferme de Laura me rappela au monde des vivants ! Le rideau fût tiré et je découvris en clignant les yeux les belles jambes fuselées et gainées de Nylon noir de Laura. Elle était habillée, fraîche et maquillée déjà. Elle portait un haut de fin latex bleu sombre dont la coupe soulignait ses épaules et moulait son buste. Ses seins étaient pressés vers le haut et formaient un décolleté magique. Elle se baissa vers sa proie, émue de cette vision magnifique.

« Alors mon prisonnier a-t-il bien dormi ? »

Fort de mes dernières résolutions je répondis :

« Oui, oui, je suis bien reposé merci. »

« Hum quel est ce ton arrogant ? Dés le réveil tu mérites déjà une punition ! »

Ha non ça ne va pas commencer pensais-je, mais dans ma cage je préférais rester coi !
« Alors ? »

« Alors quoi? » répondis-je

« Ha…très bien, je vois que l’on se rebelle. Bien je vois que des mesures s’imposent ! »

« Heu ! Pardonnez-moi, Maîtresse. Heu, je dormais encore un peu. J’avais oublié Maîtresse, je regrette »

« Hum, oui, il est temps. Oui tu vas regretter.. » Elle se retourna dans la pièce et ouvrit un tiroir.

Elle revînt et me jeta deux paquets.

« Enfile cela sur tes mains! »

C’étaient des gants. Plus exactement des moufles. El latex très épais et il n’y avait aucun doigt ni même de pouce.

« Passe bien tes doigts dans chaque emplacement !

Regrettant mon manque de diplomatie, je fis ce qu’elle attendait. Je découvris alors  que les moufles étaient doublées. Il y avait un vrai gant à l’intérieur qui bloquait mes doigts. Laura me demanda alors de passer les mains hors de la cage et fixa une lanière autour des poignets pour m’empêcher de retirer ces mitaines ! Ensuite Laura ouvrit la grille du fond et je dus sortir à reculons engageant d’abord mes pieds par l’ouverture. Laura me stoppa appuyant son talon sur ma jambe, m’obligeant à m’aplatir sur le sol, elle s’assit alors sur mes cuisses et fixa à chaque cheville des bracelets de cuir accrochés à une barre métallique qui m’obligea à écarter les
jambes. Empêtré dans ces attaches je dus ramper maladroitement pour m’extirper de la cage et Laura me flagellait alors avec sa cravache au fur et à mesure de ma reptation. Ma résolution à déclarer mon indépendance s’effritait en même temps que les coups de cravache m’incitaient à activer ma sortie. Malgré ce traitement mon érection était encore triomphante. Laura ne manqua pas de le remarquer et me fis ramper vers le placard des toilettes.
Elle m’y propulsa d’un dernier coup sur les fesses. Laura me tira enfin les mains dans le dos et attacha les mitaines ensemble.

« Maintenant vides-toi sale chien ! Et pas une goutte ne doit tomber au sol sinon tu nettoies avec ta langue ! Allez lèves-toi et vise juste. »

L’exercice était périlleux, je dus me concentrer pour viser la lunette ouverte, mais même en m’appliquant il était inévitable que je cochonne en partie le travail.

Laura était ravie ! Et me força à genoux pour nettoyer mes débordements!
Ecœuré par le traitement, j’en avais les larmes aux yeux, j’étais brisé avant même que d’avoir pu mettre mon plan à exécution.


Entretien matinal

Sa cravache se glissa sous mes fesses pour me relever.
« Bien, bien, tu vas être sage maintenant ! » reprît-elle de sa voix cajolante. En même temps que sa main me caressait.
Le cycle infernal, humiliation, punition récompense recommençait ! J’étais en son pouvoir.
Total. Je baissais la tête, vaincu et elle m’attira de nouveau vers le donjon.
Elle défît les attaches aux pieds et me présenta une combinaison de latex. C’était un catsuit particulier les jambes avaient des pieds intégrés, par contre une large ouverture aux fesses et au pubis laissait ces parties bien exposées. A cause de mes moufles elle m’aida à l’enfiler. Pour faciliter, Laura imprégnait l’intérieur d’une  huile visqueuse. Je glissais alors plus facilement..

La combinaison était étroite, elle me serra au ventre et au torse. Elle détacha mes mains et sous la menace de sa cravache je dus glisser mes bras dans les gaines élastiques du vêtement que Laura continuait à lubrifier. Laura ferma un zip dans le dos m’emprisonnant dans cette gangue caoutchouteuse. Laura me passa alors une cagoule et ma tête fût engloutie à son tour. Heureusement les yeux et la bouche étaient ouverts. Laura se déclara ravi,

« Tu es très beau ainsi recouvert de ce Latex, bien moulant et comme tu le vois les autres parties intéressantes sont bien accessibles. »

« Pour punir ou récompenser » ajouta-t-elle ironiquement.

Elle tournait autour de moi sa cravache effleurant mon corps.

« Mains dans le dos ! »

Sans réfléchir j’obéis à son ordre. Laura en profita pour me ligaturer les bras l’un sur l’autre dans le dos, mes mains tenues à plat dans les gants s’appliquant sur chaque coude opposé
« Bien. Je vais ajouter les chaînes que tout prisonnier doit porter » Elle me plaça alors un collier au cou auquel elle accrocha des chaînes. Laura enroula des chaînes autour du torse et de mes bras croisés. Je sentais leur poids sans pourtant être trop contraint. Mais ensuite Maîtresse commença à relier les tours entres eux à de petits esses métalliques qu’elle crochetait aux maillons. Les chaînes se resserrèrent progressivement pour finalement créer un réseau de plus en plus tendu. Quand elle s’arrêta je sentais une contrainte uniforme et lourde autour de mon buste. Je devais respirer à petite goulée d’air et le poids me déséquilibrait.

« Comment se sent mon prisonnier de latex.. ? « 

« Serré maîtresse ! » répondis-je faiblement.

« C’est tout ? »

« Mais comme j’ai gardé accès à des choses intéressantes… »  Commença-t-elle à dire en agrippant de sa main mon sexe semi érigé elle me poussa alors vers un lourd tréteau assez bas dont le dessus était un épais rembourrage arrondi. Je butais devant.

« Ecarte les jambes esclave ! Sur la pointe des pieds allez! Penche-toi bien ! » Un coup de cravache m’encouragea. »

Maîtrisant assez mal mon équilibre, mon ventre buta sur le rembourrage. Debout les jambes écartées je me tenais sur la pointe des pieds et j’exhibais mon derrière avec angoisse alors que mes bijoux familiaux pendaient en dessous bien vulnérables eux aussi.

Laura me lia les chevilles  à chaque pied du tréteau avec une bande de latex. La bande montait du talon jusqu’au-dessus de la cheville bloquant totalement l’articulation. Une large ceinture vînt alors sur mes reins pour me fixer le ventre sur le rembourrage. J’étais bloqué.

“Hum voilà comment j’aime voir ton petit cul…bien rond, bien tendu, tout à moi. »

Dit-elle en y passant sa douce main. Puis une claque s’abattit, et une autre, Laura se mit à

l’œuvre et administra une magistrale fessée. Les coups alternaient, puis s’acharnaient au même ndroit. Elle arrêtait pour caresser en minaudant, décrivant la couleur rose pâle, puis rose foncé,

expliquant que le rouge serait sûrement plus harmonieux.

Je commençais à gémir et les larmes perlaient à mes yeux. Je n’imaginais pas comment une simple fessée pouvait être si dure à supporter. De temps en temps une main plus douce se glissait entre mes fesses, caressait les bourses puis s’emparait de ma hampe qui se redressait peu à peu sous le traitement et malgré la douleur…J’avais peur et ne voulais rien dire, mais je gémissais à chaque coup. Au bout d’un moment je commençais à la supplier d’arrêter.

« AAAhh  pitié s’il vous plait, je ferais tout ce que vous voulez Maîtresse..

Maîtresse s’arrêta en riant de plaisir « Mais oui tu feras tout ce que je veux.. Bien sûr… c’est bien mon intention… hummm j’adore te voir dans cet état. Bien nous allons arrêter. J’ai une dernière chose à vérifier avant te préparer pour rejoindre nos amies » fit-elle mystérieuse.

Maîtresse me libéra du tréteau et m’amena à genoux devant un fauteuil ou elle prit  place, ses jolies jambes gainées bien écartées me laissant apercevoir un string de satin noir et visiblement bien humide.

« Es-tu un bon amant avec ta langue ? » fut tout ce qu’elle déclara. Elle retira sa culotte avant de me saisir la tête et de me plonger entre ses cuisses.

« Montre-moi ce que tu sais faire ! »

Je fus immédiatement envahi de la liqueur intime de Laura. La séance de fessée l’avait visiblement procuré un réel plaisir. Je pris ce test comme une magnifique récompense et j’oubliais immédiatement le feu de mon derrière pour me consacrer au plaisir de celle qui me dominait si perversement. Ma langue pointait sur son bouton, l’entourait en cercles rapides puis le titillait se faisant plus dure, elle explorait ensuite son intimité mais je compris vite que Laura préférait surtout que je m’occupe de son bouton turgescent. Mon visage s’imprégnait de son plaisir, je donnais tout ce que je savais faire et Laura partit dans des grands cris de jouissances…

« Salooooope, ouiiiii, oui, ouiiii tu es une vraie salope, tu es ma saloope. Ouii.. Encore,

encore....oui »

Maîtresse éjacula littéralement sur mon visage… « Lààà , ne bouge plus. ». Elle referma ses

cuisses autour de mon visage et resta un long moment immobile. Je respirais faiblement,

presque autant anéanti que ma perverse Maîtresse, Mon sexe était douloureux tellement il

bandait, sans qu’aucune caresse ne vienne le soulager, mon postérieur me rappelait à sa cuisante

condition.


Engagement et respect des conventions


Après un délicieux moment d’abandon, Maîtresse reprit les rennes sur son esclave. Elle me poussa de ses pieds.

« HA, tu m’as fait du bien, MA micheline » Que Laura m’appelle SA micheline m’emplit d’une

intense émotion.

« Tu mérites de devenir Ma Micheline… le veux-tu ? »

J’oubliais tout et ne vivais que du souvenir de ces dix dernières minutes et Oui j’avais

définitivement envie de devenir SA Micheline.

« Oh Oui Maîtresse »

« Ma Micheline qui fera tout ce que je veux ? »

« Oui Maîtresse »

« Bien si tu es sûr, il faudra le dire à Maîtresse Frédérique, quel es ton engagement avec elle ? »

« Heu.. Aucun Maîtresse, juste ce week end que nous avions convenus » Lui déclarais-je en me

souvenant que de toute façon nous étions déjà Dimanche.

« Juste ce week end ?” Fit-elle étonnée. Très bien

« Oui Maîtresse, Merci maîtrrr…. »

Furent mes derniers mots car elle venait de me placer sa culotte trempée dans la bouche.

« Tais-toi. Laisse-moi réfléchir. » Elle me regardait avec un grand sourire aux lèvres, l’air

songeuse. Elle posa son pied sur ma bouche pour mieux enfoncer ce bâillon odorant et amer.

« Hum…je dois vérifier avec elle » Dit-elle en se levant.

« Lève-toi ! Suis-moi. » Elle me poussa face à une grande croix de bois fixée au mur et accrocha

mon collier à un anneau. Je l’entendis alors redescendre à l’étage. Laura avait laissé la trappe

ouverte et je l’entendis discuter sans comprendre ce qui était dit. Je n’arrivais pas à tourner la

tête pour mieux écouter, et la cagoule amortissait les sons.

Elle devait avoir appelé Maîtresse Frédérique.

La discussion durait. Je restais prostré debout contre la croix, bien incapable de me décrocher, les chaines mordaient à travers le latex et devenaient douloureuses. Je tentais des petits mouvements pour me décontracter et je recrachais doucement la culotte en tentant malgré tout de la garder par peur d’une punition supplémentaire.

Le loin murmure de la discussion s’arrêta, mais je restais seul…le temps fila et j’étais de plus en plus inconfortable. Je perdis la culotte qui chuta à mes pieds..Tant pis pensais-je, j’avais soif, mes bras s’ankylosaient, j’avais faim aussi, je devenais assez misérable et pensais de nouveau que tout devrait s’arrêter.

Les pas de Laura retentirent finalement sur les marches qui menaient à son antre où j’étais

prisonnier. Sans pouvoir tourner la tête je ne la vis pas mais la sentis s’approcher. Elle se pressa

sur moi, ses mains s’immisçant entre mes jambes pour me réveiller de ma torpeur.

Elle murmura à mon oreille, d’une voix extraordinairement câline.

« Ma petite Micheline…j’ai discuté avec ta maîtresse, il me semble que tu as un peu vite oublié

tes déclarations… Tu t’es engagé à devenir son esclave en réel, n’est-ce pas ? Hein ? »

Ses mains s’agrippèrent plus sèchement à ma hampe qui se raidissait de nouveau. Je balbutiais

ma réponse.

« Mais, heu,  nous avons juste parlé du weekend à passer  Maitresse, il n’y a pas d’autre engagement. »

« Mon Amie Maîtresse Frédérique, me dit bien qu’il n’y a pas eu d’engagement sur le temps.

Mais justement cela n’a jamais voulu dire juste le week-end ! »

« Mais……. oui, c’est vrai, mais je dois bien rentrer pour travailler demain… »

« Peut-être, peut-être, nous verrons cela… » Ses mains se resserraient d’avantage, je gémissais

« Bon, mais Maîtresse Frédérique a apprécié t’avoir comme serviteur et moi ce matin, c’était

bien….donc nous pardonnons cette incompréhension. »

« Merci Maitresse, gémissais-je sous la pression constante de ses mains

« Et nous avons décidé que tu devais tenir tes engagement et être correctement dressé comme

esclave de latex, ce que tu voulais, je te rappelle ! »

Je n’osais pas répondre, j’appréhendais la suite.

« Bref, je vais te ramener chez elle et nous nous allons décider que faire de toi. Avant cela je

vais suivre les recommandations de Maitresse Frédérique…, je vais te préparer et tu auras le loisir de bien réfléchir à ta condition de prisonnier de latex. »

Elle me relâcha et je pus souffler.

Laura me décrocha de la croix et me fixa le collier à un câble qui pendait du plafond. Le câble

était relié à un petit treuil qu’elle utilisa pour me tirer en hauteur ? Je dus décoller les talons. Alors elle me libéra des chaines. Ce fût un réel soulagement malgré ma position semi pendu par le collier. Je pus malgré tout me soulager les bras.

Laura farfouilla dans une penderie amena devant moi un nouveau costume qui semblait lourd et impressionnant. Elle fît descendre le treuil pour que je puisse poser mes pieds, et présenta une jambe, je dus y glisser mon pied, puis le deuxième. Pour ce faire je m’accrochais comme je pouvais au  câble qui me retenait prisonnier. Je sentais l’épaisseur du caoutchouc et son étreinte enveloppante, mais il était bien talqué et glissait sur le latex qui me couvrait déjà. Laura le fit progresser.  Les coutures intérieures étaient  collées et  consolidées. Les jambes furent rapidement enveloppées, le latex lourd m’empoignait plus fortement que la première
combinaison. Laura travaillait méthodiquement et avec perfectionnisme. Arrivée à mi-cuisse

Laura me montra ce qui était fixé à l’intérieur, un plug noir et  menaçant.  Elle enduisit copieusement d’un gel gras, le bout proéminent.

« Ecarte ! » Ordonna-t-elle impérativement

Obligé, j’exécutais l’ordre et sentis immédiatement le bout arrondi se presser sur ma rondelle lisse et épilée de la veille. Je me rendis compte que les traitements successifs que j’avais subi avec mes geôlières phalliques du Samedi m’avaient rendu bien vulnérable et je fus étonné que ce plug s’enfoui finalement assez facilement.

Satisfaite Laura ricana en se moquant « Voilà un petit cul bien gourmand on dirait ! » et elle déroula le latex autour des hanches et sur le ventre, bloquant l’érection qu’elle avait déclenché dans une sorte de poche intégrée sur le devant. Je gémis quand elle prit le caoutchouc dans ses deux mains et tira avec force devant et derrière afin de remonter l’ensemble. Le latex s’étira et repoussa le gode plus profondément. Laura ôta alors les gants et me présenta les manches à enfiler. Elle tira vers l’arrière pour m’emboiter totalement dans l’épaisse combinaison et  referma l’ensemble en tirant sur un ZIP dans le dos. La combinaison se fermait au cou.

J’entendis un clic. Un cadenas verrouillait le zip. Laura me repassa les gants qu’elle fixa aux poignets.
Cette fois je n’avais plus d’entraves mais la combinaison dans laquelle elle venait de
m’enfermer me maintenait dans un étau si ferme que chaque mouvement demandait un véritable effort.

« Tu as oublié quelque chose on dirait ! » dit-elle en ramassant sa petite culotte que j’avais laissé tomber tout à l’heure. Elle la retourna prenant soin de sortir le gousset odorant et trempé pour le glisser dans le trou de ma cagoule et m’envelopper le nez et les lèvres par en dessous.

Le parfum fort et enivrant m’envahit. Si je fus étonné que Maitresse ne m’enfouisse pas sa lingerie dans la bouche je compris bien vite que ce n’était que pour y placer un objet bien plus encombrant. Je la vis se diriger vers une étagère qui portait un grand nombre de cagoules et de bâillons aussi étranges que menaçant. Son choix se porta sur un caoutchouc noir qu’elle m’exhiba en triomphe. Une cagoule épaisse et fermée. Elle plaça sa main à l’intérieur et me présenta son choix en la faisant tourner devant mes yeux !

« Regarde, le latex est très épais et il se serre d’abord par ce zip  derrière, mais il y  a cette doublure qui se referme avec ce laçage. Comme c’est une petit taille je t’assure que cette deuxième cagoule vas t’enfermer dans un cocon si serré que tu ne pourras même pas bouger les mâchoires… D’ autant que là devant, tu vois, il y a une fixation autour de la bouche et je vais te donner une petite queue à sucer. Regarde ce beau phallus, tout en latex, il est court mais il t’emplira entièrement la bouche et il y a un tube pour respirer ici, et aussi… une pompe pour gonfler là ! » 

Elle me pressa alors le gode dans la bouche et s’assura que je gobais l’intrus tout en respirant aisément. Ensuite elle étira la cagoule par-dessus tout. Comme elle l’avait annoncé, elle était juste mais la première cagoule qui me couvrait déjà facilita malheureusement son ouvrage. Je fus englouti et avant même qu’elle étire le zip la pression était totale sur mon visage. Laura ne se contenta pas de simplement tirer la fermeture. Une fois la cagoule en place, elle ajusta au mieux la base du bâillon autour de mes lèvres le fixant aux attaches clipsées et se mit à resserrer le laçage doublant la fermeture à l’arrière du crâne.

Ma tête était totalement encapsulée dans ces deux couches de latex. La deuxième cagoule n’ayant aucune ouverture sauf celle qui maintenait le bâillon gode en place, j’étais aveuglé.

Enseveli dans une compression uniforme et continuelle. Le gout du latex qui m’emplissait la bouche se mélangeait au parfum suave et sauvage que Laura avait imprimé sur le gousset de sa culotte, plaquée définitivement sur mon visage. Je goutais sa saveur, et peinait à déglutir ce qui me fît produire quelques « Gloups » qui amusèrent fortement Laura.

« Alors micheline, ton statut esclave de latex est-il conforme à tes espérances ? »

Je ne pus que produire un faible « mmoommmuuimmmffaitfff fff» comme réponse, mais c’était un  mmfff de trop car cela décida Maîtresse Laura à imprimer quelques pressions à la poire qui pendait du bâillon. Aussitôt le gode gonfla dans la bouche et appuya sur les joues et la langue.

La pression de la cagoule maintenait les mâchoires et je sentis un blocage complet qui me fit paniquer un instant. Je gesticulais faiblement tant j’étais engoncé dans tous ces latex !

« Ho, ho… SI ! SI ! Tu vas t’habituer. Ne t’inquiètes pas, reste calme’.

« …. » Ma réponse cette fois fut inaudible.

« Bien, calme toi c’est presque fini !  »

Aussitôt une autre pression se fit sentir. Maitresse venait de connecter une deuxième poire sur l’embout extérieur qui garnissait la poche dans laquelle elle m’avait enfoui ma hampe arrogante.

La pression douce en premier lieu, devint vite forte et contraignante et je sentais comme si la main de maitresse  s’agrippait à mes parties les plus  sensibles et maintenait  une poigne implacable autour, comme une serre m’agrippant par en dessous.

« Voilà c’est terminé, tu es pris de partout maintenant »

« ….. » grommèles-je dans le bâillon gonflé.


Marchandise à transporter

Après s’être assurée de ma docilité, Laura me décrocha du treuil et m’attira à travers la pièce.
Elle me conduisit lentement dans sa maison. Nous entrâmes dans une pièce et je sentis alors un air plus frais. Je pensais que nous étions au garage alors. J’avançais en aveugle tiré par Laura,

je butais sur une marche.

« Monte ton pied ici » M’indiqua Laura. Je levais une jambe pour enjamber un rebord assez bas, mon pied explora l’intérieur, il y avait de la mousse au fond, je dus passer mon autre jambe
Laura me poussa sur les épaules et me força à m’asseoir. Je sentais une mousse assez molle

s’écraser sous mon derrière.

« Parfais, c’est exactement la dimension, Allonge toi maintenant !”

Je me retrouvais allongé sur le dos sur cette mousse qui se déformait progressivement autour de mon corps. Je sentais une pression plus forte aux hanches et aux épaules.J’avais l’impression de m’être allongé dans une coque étroite.

Maîtresse Laura farfouilla entre mes jambes. Je sentis des petites pressions.

« Bien te voila connecté, voyons voir si ça fonctionne ! »

Aussitôt le plug se mit à vivre. Une impulsion me fouilla et je tressautais en reflex.

« Bien, mon plug électrique est connecté, la batterie est neuve, tu es prêt pour le transport ! »

Elle augmenta le volume et les impulsions s’intensifièrent, provoquant une sensation 
d’intrusion, de va et vient à l’intérieur. J’avais l’impression que le plug grossissait et circulait dans mes entrailles. Je cherchais à me relever mais Maîtresse appuya sur mes épaules m’en empêcha en appuyant son talon sur mon ventre.

Je la sentis bloquer de la mousse entre mes jambes, puis par-dessus. Elle continua autour de

mon corps et au-dessus. Après avoir dégagé le tuyau qui s’échappait de mon bâillon, en s’assurant que ma respiration était libre elle referma ce qui devait être un couvercle par-dessus toute cette mousse qu’elle avait accumulé, m’enfonçant à l’intérieur et m’obligeant à l’immobilité.. Avant la fermeture complète j’entendis Maitresse m’expliquer:

« C’est surement plus confortable que le coffre de ma voiture, n’est-ce pas, c’est mon coffre de transport  ? Sois- sage, amuse-toi avec tes jouets et on va venir te chercher d’ici une heure ou deux pour  te ramener  chez Maitresse Frédérique…esclave de latex… » Et elle referma entièrement le couvercle, je sentis qu’elle forçait à cause de la mousse et j’entendis des clics de fermeture.

Enfermé !

Une heure ou deux ! Avait-elle dit ! Enfermé dans ce coffre et comme si la double couche de latex qui m’encapsulait étroitement ne suffisait pas, la mousse était écrasée par le couvercle et bloquait le moindre mouvement ! La pression constante au sexe comme si la main de maitresse me tenait en permanence ! Et ce plug qui me fouillait sans cesse ! Je goutais la queue de latex et respirais âprement à travers le petit tuyau et je perdais pieds, m’enfonçant peu à peu dans l’univers confiné du latex entretenant l’humidité odorante du gousset de la petite culotte de Maitresse, agissant comme une drogue qu’elle avait choisie pour assurer ma dépendance et mon

asservissement.

A Suivre…


mercredi 21 août 2013


Slave Selection c’est quoi ?

Slave Selection est un site de rencontre pour ceux qui veulent trouver un partenaire “gynarchique” ou “femdom”.

Chez Slave Selection, on entend par “Gynarchie”, le simple fait de donner toute liberté à la Femme dans le couple, qui peut agir librement et comme elle le souhaite.
L’homme sans aucune contrainte, doit volontairement abandonner toute conduite macho, et se contrôler afin d’être en accord avec les règles imposées par sa compagne.


Finies les disputes, seule la Femme à la responsabilité de décider, le mari doit rester humble, la décision finale et le dernier mot revenant de droit à sa Femme. Le couple gagne en cohésion et en stabilité.

La Femme prend logiquement le contrôle total de la sexualité du couple. L’homme doit abandonner ses désirs et fantasmes pour vivre ceux de sa partenaire. Il devient plus affectueux, plus à l’écoute des désirs de sa Femme, et cela pour le plus grand bien du couple.

Cette situation est sexuellement très excitante pour l’homme et particulièrement épanouissante pour la Femme. L’homme va fantasmer de vivre les situations les plus torrides et la Femme va jouer avec les fantasmes de son homme. Servir un simple thé à son épouse peut alors devenir un acte extrêmement érotique.
Si l’homme sait faire preuve d’une totale dévotion et patience, la Femme se libère de plus en plus et très souvent ses désirs érotiques dépassent totalement ceux de son homme (pour son plus grand plaisir).

Une Femme qui a déjà goûté à ce genre de relation, ne désire plus revenir en arrière. Le service Slave Selection (qui rappelons-le est gratuit pour les Femmes) prend alors tout son sens. Trouver un homme Gynarchique qui correspond totalement aux besoins de la Dame.

slave henri

http://slave-selection.fr/