lundi 16 septembre 2013

Maîtresse Honorée et Respectée Récit du Haras

Récit offert par : prisable

CHAPITRE 1 : L’arrivée

Me voici à l’adresse que vous m’avez indiqué : « Arras Dévotion de l’obéissance », j’aperçois quelques chevaux dans un enclos, et plus loin ce qui ressemble à une aire d’entraînement.
Je m’approche d’une petite maison qui s’apparente à l’accueil, le long de cette maisonnette une dizaine de box, qui sentent la nature et la campagne.
Je passe le seuil de la porte, et je vois en premier lieu, accroché aux murs, multitude d’objets, dont j’en reconnais certains : selles, mors, rênes, cravaches, et bombes.
Assis là en face de moi un lad et une palefrenière, c’est tout d’abord leurs tenue qui me surprends.
Le lad est juste vêtu d’un pantalon de cow-boy, qui ne cache que le sexe et le devant des cuisses, et une chemise courte ouverte.
La palefrenière, à un haut très court laissant voir son ventre, un boxer en dentelle rouge et de longues cuissardes.
 « Bonjour je viens ici de la part de  Maîtresse Tatiana »
Je vois des sourires, et  ils me disent que j’étais effectivement attendu, la palefrenière se dirige alors vers moi, et me déshabille  entièrement, et entame un examen, comme on le ferait avec un cheval.
Une badine à la main elle ausculte mes dents, me fais penché en avant, me soupèse les bourses, et tire la queue.
Puis le lad me mets un mors, et tend les rênes à la palefrenière, qui me conduit dehors, suivi du lad.
Nous nous arrêtons à un box, où il y a un magnifique cheval gris perle, la palefrenière me fais entré et me dirige vers le cheval, qui à l’air si doux.
Elle me fait caresser sa robe soyeuse, sa croupe, et sa longue queue, puis dirige ma main vers son sexe et me dis « Ta Maîtresse veux que tu montres autant de vigueur en son honneur », puis nous sortons.
Elle demande au lad de m’accompagner dans mon box pour la nuit.
Une fois à l’intérieur, je dois me mettre à quatre pattes, et le lad me brosse avec une brosse rêches et dur, la sensation est très désagréable, cela me griffe, et je sens que le lad prend un malin plaisir à me brosser, alors je pense à vous, et je sais que si je suis là c’est pour mon bien et vous plaire, Ma Maîtresse Vénérée, et malgré l’insolite de la situation, mon sexe grandi et grandi encore.
Le lad s’en aperçois et viens me touché le sexe « bien continu en ce sens Ta Maîtresse sera heureuse…   … passe une bonne nuit car demain une belle journée de dressage t’attends » 
Je me retrouve seul dans mon box, à même la paille, avec une écuelle d’eau, et une gamelle de nourritures, je suis un peu dépité, mais heureux de cette nouvelle expérience.
La nuit se passe tant bien que mal, surtout que j’ai du faire mes besoins dans un coin du box, mais je n’ai cessé de penser à vous Ma Maîtresse Honorée et cela m’a beaucoup aidé.
Au petit matin, le box s’ouvre, le lad est là devant la porte « aller il est temps de rejoindre la palefrenière, pour ton dressage »… !!!


CHAPITRE 2 : La Découverte

Au petit matin, le box s’ouvre, le lad est là devant la porte « aller il est temps de rejoindre la palefrenière, pour ton dressage »… 
… un détail me choque, car par rapport à hier, le sexe du Lad est apparent, fier et tendu, et c’est la première fois que je vois une autre sexe d’homme que le mien, sans bien sûr parlé de la formidable expérience que j’ai vécu avec vous, Ma Maîtresse Vénérée, mais celui-ci était artificiel, là il est bien réel rosacé, il me semble plus long que le mien et peut-être moins épais.
Le lad me met les mores, et me tire  en dehors du box, la palefrenière est là à m’attendre, sa tenue est sensiblement similaire à la veille, sauf qu’elle non plus n’a plus de culotte, une légère toison brune sur le haut de son pubis laisse clairement voir ses lèvres, presque marron et si longue.
C’est elle qui prend les rênes en mains et m’emmène, en premier lieu dans le box du cheval gris perle, le lad me suit, j’ai honte car je sens son regard insistant sur ma croupe.
Le lad se place derrière le cheval et lui caresse la croupe, la palefrenière me dirige sous le cheval pour qu’une fois de plus je constate, de mes mains, sa virilité.
« Tu te souviens de mes instructions d’hier, pour que Ta Maîtresse soit honorée… ».
Puis nous sortons, pour aller dans un enclos, des chevaux gambadent dans l’enclos voisin, les mâles font preuves de la même virilité que le cheval gris perle, je me dis qu’ils doivent se sentir bien ici.
La palefrenière remplace les rênes par une longue corde, et d’un coup sec de cravache sur mes fesses, elle me dit « aller au trot… Hop ! Hop ! Hop ! ».
Je m’exécute, et je commence le tour de l’enclos à un rythme soutenu. Je me sens vraiment honteux, mais je le fais pour vous, car c’est ce que vous désirez pour moi, et j’aime vous obéir.
Au bout de quelques minutes, un nouveau coup de cravache plus cinglant, « Plus vite !!! »
Je suis un peu épuisé, mais un autre coup violent, me pousse à redoubler d’efforts…
Après un temps, qui m’as semblé interminable, je sens la corde se tendre, je comprends que je dois stopper.
Le lad vient m’essuyer le dos et la croupe, et vient me sécher les testicules et la verge en prenant tout son temps, ce qui a le don de provoquer une érection.
La palefrenière s’avance vers moi, et monte sur mon dos, je sens la moiteur chaude de son sexe sur mon dos, et d’un coup de cravache elle me fait avancer, et je fais le tour de l’enclos, réduit avec humiliation à un animal.
Une fois le tour terminé, elle se relève, et je sens sa cyprine me couler sur le dos, le lad me relève à mon tour, et viens me mettre une barre d’écartement aux chevilles.
Puis il m’attache à la barrière de l’enclos, je suis penché en avant, et j’ai une vu sur les chevaux  de l’enclos voisin.
La palefrenière se place à coté de moi, et vient soupeser mes bourses, et évaluer ma queue, c’est fort agréable, en fermant les yeux je m’imagine que c’est vous,Ma Maîtresse Adorée, qui manipuler mes organes durs et gonflés.
Je ne m’aperçois pas que le lad est passé derrière moi, ce qui me sort de ma lithargie, c’est cette dureté qui vient de se mettre entre mes fesses, en un instant je sais ce que je vais subir, et je dis « Ho non pas ça ! »
Deux coups sévères de cravache, me ramènent à la raison, et surtout les mots qui les accompagnent, « Tu sais que Ta Maîtresse te veux digne en toutes circonstances, alors plus de gémissements !!! »
Pendant qu’elle continue à me caresser les parties, le lad se fraye un chemin dans mon anus, avec une infinie douceur.
Petit à petit, la honte,  fait place à du plaisir, je sens ces mains qui me caressent, pendant que le lad me saillit.
Dans un râle, il envois sa semence au fond de moi, puis se retire doucement, je sens le sperme en moi, qui coule doucement sur mes cuisses.
Une fois détaché, le lad me mène pour me laver, à l’aide d’un jet, puis la palefrenière me ramène dans mon box…
« Je dirais à Ta Maîtresse que tu as été digne, elle voudra te voir dans son bureau rapidement… »


CHAPITRE 3 : La Récompense

Une fois détaché, le lad me mène pour me laver, à l’aide d’un jet, puis la palefrenière me ramène dans mon box…
« Je dirais à Ta Maîtresse que tu as été digne, elle voudra te voir dans son bureau rapidement… »…
… je passe le reste de la journée dans mon box, anxieux et pressé de vous voir, la seule distraction (si on peur apparenté cela à une distraction), c’est quand le lad est venu changer ma paille, et remplir mes écuelles, et venir par la même vérifié ma vigueur…
Une prise en main délicate, m’a effectivement redonné vigueur, plus je grandissais, plus son sexe s’érigeait, je le sentais car il c’était mis devant moi et penché pour me tripoter, son sexe venait de plus en plus me caresser le visage.
Après cette inspection il est reparti le vit dressé, et refermant la porte derrière lui.
La palefrenière est enfin venue ma chercher, elle était plus présentable, elle avait revêtu son sexe d’un string en dentelles noires, ne cachant que peu son intimité.
Elle me mis une laisse et un collier, et m’emmena  vers une bâtisse, suivit par le lad, qui lui aussi avait son sexe caché.
Après avoir frappé à la porte nous entrons dans un beau bureau, je suis emmené, toujours à quatre pattes, sur un tapis rouge devant le bureau, je reste tête baissée, et je vous entends.
« Merci, soumise petitecowgirl, et soumis petitlad, allez vous mettre au fond de la pièce, j’attends votre rapport ! »
Et là j’ose relevé à peine la tête, et je vois sous le bureau, vos jambes sublimes ornées, d’un magnifique collant,  vos pied son admirables dans ces jolies bottines noires, et je discerne par transparence votre joli sexe blond, dont j’ai eu l’immense honneur de goûter.
C’est la palefrenière qui prend la parole : « Maîtresse, Vôtre soumis, c’est bien comporté, même si il a fallu le recadré à une ou deux reprises, il est prêt pour ce que vous avez demandé »  
« Bien soumis petitout, tu as mérité une récompense et un peu de repos !!! »
Vous vous dirigez vers un canapé, et la palefrenière m’emmène vers vous.
Elle vous retire délicatement votre collant, et me place le visage sur vos fesses.
« Ceci est ta récompense, traite le avec douceur et  finesse »
Je commence à vous lécher doucement votre raie culière, et je descends inlassablement vers votre anus ainsi offert en récompense.
J’en fais le tour avec une immense précaution, et j’ose glisser ma langue dans cette charmante rondelle rose.
Je suis si heureux, que ma langue se régale de ce moment, je sens votre fessier bougé, et je redouble d’ardeur, et je m’enfoui bien plus profond en vous.
Au bout de longues minutes époustouflantes, vous demandé au lad, de me préparer, et à la palefrenière de vous remettre.
Vous décidez par vous-même de constatez mes progrès.
Vous m’emmenez pour un petit dressage, et une promenade pour me monter…   
Nous sommes dans un pré, vous me faite faire quelques exercices, j’entends le fouet parfois claquer, mais sans me toucher, je suis heureux et si bien avec vous, là dans cette nature, en vous prouvant ma motivation et ma dévotion.
Puis montée sur moi, nous allons faire une longue et belle ballade, pleine de  plaisirs partagés

CHAPITRE 4 : L’intruse

Puis montée sur moi, nous allons faire une longue et belle ballade, pleine de  plaisirs partagés…

… vous me ramenez au lad pour qu’il me nettoie et me brosse.
« Tu dois avoir faim après cette ballade !!! »
 Alors que je suis à quatre pattes nu, le lad commençant à me passer une éponge sur le corps,  je vois la palefrenière s’allonger devant moi les cuisses largement ouvertes.
« Vas y soumis petitout, broute moi cette belle toison ! »
Je plonge mon nez et ma bouche dans cette toison brune, pour me rassasier de cette chatte, odorante et épicée,  offerte.
Le lad a remplacé son éponge par une brosse rêche, la douleur se fait plus présente, et moi je continue à butiner la palefrenière.
Vous semblez prendre du plaisir à nous voir ainsi.
Puis le lad me ramène dans mon box, en partant je vous entends me dire : « ta soif sera étanché bientôt »
Je suis là dans mon box, et j’attends la prochaine épreuve, et je repense à cette belle ballade lorsque je vous sentais sur moi, un moment magique… et cette belle récompense que j’ai en image dans ma tête…
Puis la porte du box s’ouvre, et surprise, je vois une femme en laisse, accompagnée dans le box, par la palefrenière.
Sans rien dire elle se met à genoux, et ne bouge plus.
Je la dévisage, c’est une jeune femme avec une chevelure rousse mi long, aux seins lourds avec de larges aréoles, et de jolis tétons durs, elle a un petit ventre qui souligne une jolie toison rousse, et je distingue une belle croupe rebondie.
Mon premier sentiment, est une pointe de jalousie, de voir une soumise traitée comme moi, mais je me ravise, car je sais que Ma Maîtresse Vénérée, n’aimerait pas du tout ce genre de sentiments.
Je n’ose pas lui parler, car je suis impressionné de voir mon reflet au féminin.
C’est elle qui me demande :
 « J’ai une envie pressante de faire pipi, comment fait on ? »
Elle a une voix légèrement cassée mais néanmoins douce.
Je lui réponds, qu’ici il faut faire ses besoins à même la paille, que le lad vient changer chaque jour.
Elle se tourne et se met accroupie, je vois désormais son dos légèrement musclé, sa colonne forme un arc de cercle dans cette position, et je vois bien plus nettement sa croupe, deux belles fesses rebondie et ferment.
Et là je vois couler son jet d’urine, outre que cette situation est très embarrassante, elle est emprunt d’érotisme, j’ai presque envie d’aller toucher ce jet, qui devient d’une sensualité pure.

La nuit arrive, et comme un accord, nous nous blottissons, pour avoir chaud… 
CHAPITRE 5 : La Ballade

La nuit arrive, et comme un accord, nous nous blottissons, pour avoir chaud… 

… Durant la nuit, je pense à vous Ma Maîtresse, et comme à chaque fois, je sens mon vit s’agrandir,  cet effet fait bouger ma compagne, et elle se colle un peu plus à moi, ce qui stimule encore plus ma verge, je me rendors caler entre ses fesses.

Au matin nous sommes réveillés par le lad, aujourd’hui et pour unique vêtement, il porte des bottes montantes au dessus du mollet, une ceinture où il y a d’accroché un fouet roulé sur lui-même, et des gants entrés dans sa ceinture.
Il nous mène dans un pré pour faire nos besoins, pendant qu’il va s’activer à changer la paille.
Je ne peu décrocher le regard de ma compagne, tant l’insolite de la situation est excitante, elle est à quatre pattes et un jet ininterrompu sort de sa vulve, moi j’ai du mal à me soulager la honte est trop importante pour que quoi que se soit sorte de moi.
Ma compagne s’approche de moi, et me susurre, ne soit pas timide, et la Maîtresse n’apprécierait pas ce manque de motivation, elle me prend la verge entre les mains, et me titille le méat urétral, et quelques secondes plus tard, un jet sort enfin de ma verge.
Puis nous nous dégourdissons les membres, avant d’être conduit dans une grange.

Nous sommes lavés et brossés, puis le lad nous appuis tous deux contre une balustrade, les jambes écartées et la croupe haute, et là tour à tour il nous pénètre l’anus avec son sexe, je sens une douleur, mais bien moins vive que la dernière fois.
Il nous explique que c’est pour nous assouplir le rectum, et ensuite je sens qu’il entre un corps étranger dans mon anus.
Je comprends ce qui m’arrive en voyant ma compagne, nous sommes affublés, d’un plug prolongé par une queue de cheval.
Ils nous met des harnais, et nous somme attelés à une carriole, et conduit devant la bâtisse où se trouve votre bureau.

Vous apparaissez, belle et très classe dans votre tenue de cavalière, un collant qui ne cache que très peu votre intimité, un corset cuir lacé dans le dos, et des bottines à hauts talons, et votre cravache en main.
Vous procédez à notre inspection, puis en nous touchant le sexe, vous froncer les yeux, et nous recevons chacun un coup puissant sur les cuisses.
« Soumise petiterouge, tu sais que je te veux plus humide, et toi soumis petitout, ta virilité n’est pas digne de ta Maîtresse, rendez vous plus présentable devant moi !!! »
Je sens la main de ma compagne, venir caresser ma verge, et j’en déduis que je dois l’imiter.
Je caresse fébrilement son sexe, et je m’aventure plus en profondeur, je sens que sa chatte se réchauffe et deviens bien humide, pendant ce temps son va et vient, et mes doigts mouillés, me font durcir.
Vous nous regardez, et un coup de fouet claque, nous arrêtons de suite nos attouchements.
Vous nous reprenez en main…
« Voila qui est mieux, nous allons pouvoir partir »

Nous partons au trot, et vous nous guider dans des sentiers forestiers, nous nous sentons biens et unis avec Notre Maîtresse, pendant cette ballade.
Au bout d’un long moment de cette fusion intense, vous nous faite arrêter, vous nous décrochez de la carriole, puis vous allez vous asseoir sur un tronc juché sur le sol.
« Mes soumis offrez à votre Maîtresse une belle saillie »

Face à vous la soumise se met à quatre pattes, et écarte largement ses jambes, je me place derrière elle, et doucement j’enfonce mon vit dans son con.
Je vous vois en face et vous écartez les cuisses, je distingue nettement votre sexe bond en transparence, et je ne pense qu’à venir une fois de plus me délecter de votre vulve si goûteuse.
Je pense que la soumise est dans les mêmes dispositions que moi, car sa croupe s’accélère à la vue de votre sexe offert.
Je sens son fourreau chaud et trempé, et je redouble d’effort pour la saillir, je sens ses seins ballotter  au rythme de notre coït, et dans un râle commun, nous jouissons en ayant les yeux fixés sur votre entrejambes.
Sans un mot sur ce qui vient de se passé, nous vous entendons : « maintenant ramenez moi »

Sur le chemin du retour, nous sommes plus légers, et notre vigilance est moins accrue, et nous faisons passé la carriole sur un nid de poule.
Le choc et tel que vous manquez de chavirer, mais la carriole reste debout.
Dans le choc la roue est endommagée, mais peu encore roulé jusqu’au haras.
De retour nous sommes ramenés dans notre box, vous passez nous voir :

« Mes soumis vous serez punis pour votre défaillance inqualifiable !!! »
Et à l’unisson nous répondons : oui Maîtresse nous le méritons, et vous remercions pour la pénitence à venir…           


CHAPITRE 6 : La Punition   

Et à l’unisson nous répondons : oui Maîtresse nous le méritons, et vous remercions pour la pénitence à venir

Au bout d’une heure ou deux, la palefrenière vient nous chercher, elle est vêtue de cuissardes, et un fouet en main.
Elle nous passe à tous deux un collier et une laisse, et nous la suivons à quatre pattes.
Nous sommes emmenés, dans le Donjon, et mis au centre de la pièce, surprise ! Outre le lad et la palefrenière, sur un banc à l’écart, il y a cinq personnes assises qui nous observant.
Vous arrivez, dans votre bel ensemble orné de lacet rouge sur le devant, des bas assortis à celui-ci. La palefrenière nous amènent devant vous, pour vous baiser les pieds, et nous vous demandons de bien vouloir nous donner notre punition méritée.
La palefrenière m’emmène vers la crois de saint André, et m’attache dos vers la salle, le lad lui accompagne la soumise à deux mètre de moi, pour voir ma pénitence.
Vous vous approchez, de la scène, et vous commencer à me cravacher, d’abord doucement, pour me faire bien comprendre ce qui va m’arrivé, et de plus en plus les coups se font appuyés.
C’est atroce comme je souffre sous ce déluge de coups, mais je veux rester digne, pour ne pas augmenter votre colère.
Je sens que mes fesses me brûlent, et je me demande quand cette déferlante va cesser, j’ai du mal à énoncer le nombre de coups à hautes voix.
Au bout de vingt coups, la cravache vient me caresser la croupe endolorie.
Puis vous demander à la soumise de venir me soulager de sa langue.
Le contact de sa langue est douloureux, mais elle me fait du bien, je sens que la soumise s’applique à me lécher entièrement les fesses, s’initiant de temps à autre dans ma raie.
Cela commence à me faire du bien, et me soulager quelques peu.

Puis nous invertissons nos places, la soumise est fixée à la croix, et moi je me tiens à l’écart.
Puis vous commencer à la châtier de la même façon que pour moi.
Je vois petit à petit ses fesses se zébrées, et devenir violacée, j’entends entre deux chiffres qu’elle énonce à voix haute, des sanglots.
A un moment où la douleur se fait très intense, je vois un jet d’urine couler entre ses jambes.
Puis à son tour, sa punition finie.
Je suis, comme elle, contraint d’aller la soulager, je suis à genoux, baignant dans son urine, devant ses fesses meurtries.
Je dépose délicatement ma langue sur sa croupe,  connaissant la douleur vive qui est encore présente.
Et je parcours chaque parcelle de son fessier, et de sa raie, m’insinuant  dans son sillon pour profiter de son anus.

Nous sommes désormais détachés, la palefrenière vient nous poser un carcan, et nous laisse au milieu du donjon.
Vous ordonnez au lad et à la palefrenière, de nous rendre plus présentable devant les invités, ils s’exécutent promptement, et là surprise, c’est la palefrenière qui s’agenouille devant la soumise, et commence à lui butiner le sexe.
Le lad se met devant moi, et me prend en bouche, il est appliqué et doux, mon sexe devient dur et vigoureux.
Puis une fois leurs tâches finies, ils s’écartent, et vous demander aux convives de venir profiter de nous.
Des mains venues de partout, nous fouillent, nous explorent, nous pincent…
Puis il est temps de nous ramener dans notre box, vous nous faite mettre cage et ceinture de chasteté.
Nous sommes revenus dans le box, à genoux face à face, nous nous caressons doucement les fesses, pour nous soulager…                      

7CHAPIDRE 7 : La Réflexion

Nous sommes revenus dans le box, à genoux face à face, nous nous caressons doucement les fesses, pour nous soulager…

… Ce moment de réconfort mutuel ne dur pas très longtemps, vous venez en personne me sortir du box, et vous m’attelez.
Cela provoque en moi, comme à chaque fois que je suis en votre présence, une belle érection, mais elle est réprimée par ma cage de chasteté
Nous sommes dehors, et vous prenez le temps de m’examiner sous toutes les coutures, et vous me complimentez, sur mon allure de cheval de trait.
Je suis fier de vous plaire ainsi, et je vous en remercie humblement, en me baissant et en vous baisant les pieds.
« soumis petitout, je trouve ton comportement, en ce moment, et surtout depuis que la soumise petiterouge est présente, moins en adéquation avec ton statut de soumis. Pour cela je vais te laisser réfléchir cette nuit  à ta condition, et comment te tenir pour honorer ta Maîtresse !!! ».
Vous me conduisez dans un cachot situé dans les sous-sols du Donjon, les mur son gris et sombres, je suis enfermé dans une toute petite pièce, où je ne peux que me tenir debout.
En fermant la porte, je vous entends dire « bonne réflexion, et à demain mon soumis petitout »  

Durant la nuit, où je ne peux pas m’endormir, vu ma position, je ne fais que penser à vous, et à l’immense privilège que vous m’avez accordé en faisant de moi votre soumis. Et je comprends que je ne dois, ne serait-ce par reconnaissance, d’avoir d’yeux que pour vous, et de vous aimer sans concession pour ce magnifique cadeau que vous m’offrez chaque jour, en étant Ma Maîtresse.
Cette nuit est pleine de révélations, et je sais désormais que ma vie c’est vous, et est à vous, ce qui me rends fou de joies.

Au matin, c’est vous Ma Maîtresse Vénérée, qui venez m’ouvrir, lorsque je sors la lumière du jour me pique les yeux.
Vous prenez soin de me retirer ma cage de chasteté, et prenez en main mon sexe, il se dresse aussitôt heureux de pouvoir vous exprimer sans contrainte la fierté qu’il a d’être à vous.
Mon gland se mouille, et commence à perler de bonheur, un filament de plaisir se constitue au bout de ma verge, de votre doigt expert, vous venez le prélever, et vous me le monter…
« C’est le comportement que j’exige de toi devant ta Maîtresse, soumis et Mâle, ton sexe ne me trompe pas il exprime clairement ton dévouement pour moi !!! »

C’est le lad qui se charge de me ramener dans le box…          

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire