mercredi 8 mai 2019

HISTOIRE D’UN HOMME SOUMIS, ESCLAVE DE SES PASSIONS

Interpelé par une Dame sur le site  slave-selection  , me demandant mon téléphone, mon courriel et mon adresse postale, l’homme soumis que j’étais n’hésita pas à fournir à la Dame ce qu’Elle demandait. Intrigué, je l’étais car jusqu’à présent, personne ne m’avait demandé ces éléments. La Dame se présenta après quelques jours par courriel pour me demander de me présenter. Elle s’appelait Artémis[1], en référence à la Déesse grecque. J’avais donc la tâche de présenter mes compétences sans faire de l’ombre à Dame Artémis. Soumis, esclave de mes passions, à 58 ans, je répondis précisément à ses interrogations. Comment suis-je devenu soumis ? En fait, je suis né soumis. Je reconnais la supériorité Féminine dans toutes les valeurs qui sont les miennes, à savoir : la solidarité, l’entraide…. Aussi loin que je m’en souvienne, cette reconnaissance de la supériorité féminine est née lorsque la conscience que j’avais du monde est née. Mon entourage était Féminin, les soins, la nourriture, la protection… et ce fut cela jusqu’à mon adolescence. Comment aujourd’hui, ne pas reconnaître la gynarchie comme un pouvoir en voie de développement mais non officiellement reconnu ?

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http://dominamag.com/recits/histoire-homme-soumis-esclave-de-ses-passions/

samedi 4 mai 2019

PRÊT À DEVENIR SON ESCLAVE BDSM!




Nous avions rendez-vous au Port de plaisance d’Arcachon. J’avais rencontré Estelle sur le site de rencontres « slave-selection », nous avions été boire un verre ensemble du côté des Abbesses à Paris. Je lui avais immédiatement trouvé beaucoup de charme : de longs cheveux châtains, un chignon, un port de tête bien droit, de jolis yeux couleur noisette, quelques petites tâches de rousseur sur les joues, et une robe légère en tissu coloré qui lui donnait un charme quelque peu ancien. Je vis immédiatement qu’elle avait reçu une bonne éducation : elle était cultivée, savait bien manier les mots et était capable d’un humour très fin qui incluait l’auto-dérision. Ses parents étaient originaires de Bordeaux, des viticulteurs, mais elle était partie faire ses études à Paris, dans le droit. Elle se vouait à une carrière d’avocate. En fait, elle se fichait un peu de la justice mais, intellectuellement, cela lui était facilement accessible. Aussi, elle avait opté pour cette voie, sûrement pour être sûre de pouvoir échapper rapidement à l’emprise de sa sphère familiale, trop traditionnelle. Les mœurs d’Estelle étaient beaucoup plus libérales que les leurs. Elle avait beaucoup voyagé à Londres et à Berlin et avait expérimenté bien des choses, sur le plan sexuel notamment, mais elle ne voulut pas entrer dans les détails.

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http://dominamag.com/recits/pret-a-devenir-son-esclave/

mercredi 1 mai 2019

PRÊT À DEVENIR SON ESCLAVE !

Nous avions rendez-vous au Port de plaisance d’Arcachon. J’avais rencontré Estelle sur le site de rencontres « slave-selection », nous avions été boire un verre ensemble du côté des Abbesses à Paris. Je lui avais immédiatement trouvé beaucoup de charme : de longs cheveux châtains, un chignon, un port de tête bien droit, de jolis yeux couleur noisette, quelques petites tâches de rousseur sur les joues, et une robe légère en tissu coloré qui lui donnait un charme quelque peu ancien. Je vis immédiatement qu’elle avait reçu une bonne éducation : elle était cultivée, savait bien manier les mots et était capable d’un humour très fin qui incluait l’auto-dérision.https://drive.google.com/uc?export=view&id=1v7kGQCDgNPuHt00re_xgEFKuBht-Qxqr

Ses parents étaient originaires de Bordeaux, des viticulteurs, mais elle était partie faire ses études à Paris, dans le droit. Elle se vouait à une carrière d’avocate. En fait, elle se fichait un peu de...


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