Je réside près de ROCHEFORT en Charente -maritime. Homme d’une cinquantaine BCBG, de 1,82 et 82kg avec des yeux verts marrons. Je croque la vie par les deux bouts de la chandelle, je papillonne et picore surtout parmi les femmes mariées. Je vais vous raconter ma relation de soumission avec une magnifique femme.
En avril 2010, je fis connaissance de VIOLL… 36 ans, épouse d’un militaire sans enfant. Elle était responsable d’un secrétariat d’un service de la Région. J’ai passé avec elle un après midi fou. En fait, elle me donna l’impression de me connaitre parfaitement. Avant son départ, nous échangeâmes nos numéros de téléphone et email.
Elle m’avait complètement retourné. J’avais peur de tomber amoureux. Plusieurs fois par jour, j’attendais son appel. Je devenais comme un lion en cage. Enfin au bout de 10 jours, elle m’envoya un mail.
Enfin, un mail arriva!
Voici, le message que je reçus :
«
Bonjour, j’ai remarqué que tu avais un penchant pour la soumission et cela me plaît. (Je ne savais même pas qu’au fond de moi j’avais cette tendance.) Donc, si tu désires me revoir, lis bien ce texte. Je n’aime pas les hommes, égoïstes, fiers de leur sexe, orgueilleux, idiots comme toi, sans droiture. J’aime les hommes ayant de la prestance, intelligents, généreux, disponibles et surtout prêts à me servir sans retenue. Tu es une CARPETTE plutôt une LOPETTE. Aussi, tu me serviras de SOUS-MERDE. Si tu veux me revoir, sache qu’il y a des obligations! Tu ne me parleras que lorsque je te le permettrai, tu me vouvoieras, tu seras toujours derrière moi lorsque nous sommes avec des gens. Tu seras toujours qu’une chose pour moi, as tu compris CONNARD ?
Il n’y aura jamais de pénétration entre nous, tu feras abstinence! Je te trairai quand je le voudrais espèce de grosse vache! Donc si tu désires me contacter par téléphone, par s.m.s ou par mail, il faudra toujours au début de chaque écrit ou appel me dire un mot très nul comme toi « PISTACHE »! Après je te donnerai la permission de correspondre GROS CON.Si tu acceptes toutes ces conditions, appelle moi à 22h30! Je serais plus tranquille à la maison.
«
J’étais ébahi, je tombais des nues, moi en homme soumis! moi qui, jusqu’à présent, adorais fesser les femmes et parfois les attacher aux pieds du lit. Cependant, le plus surprenant était que j’avais une érection. Je voulais continuer car j’étais excité par cette situation de soumission.
Début de ma soumission!
A 22h30,
je décidai de l’appeler. En fait, je venais de tomber dans ses griffes! Je lui dis que j’avais reçu son mail. Elle me dit :
-PEDALE !
Ensuite, elle mit fin à l’appel.
J’étais étonné de sa réaction mais je compris de suite qu’il manquait le mot magique « PISTACHE ». Je la rappelai et dit :
-PISTACHE
Elle me demanda d’attendre et au bout d’une minute, elle reprit la conversation en me disant:
-tu vois! Ce n’était pas si dur! Tu comprends maintenant? espèce de LARVE! Je vais te rendre la vie plus belle.
Bizarre, plus elle m’insultait, plus je m’accrochais à elle!
Une semaine avant notre rencontre, elle m’adressa un mail. Elle y détaillait ce que je devais acheter pour mon apprentissage à la soumission : des menottes, une cravache, des gants chirurgicaux, une crème pour faciliter l’introduction anale, un gode ceinture, un gode moyen avec pour introduction lorsque je suis assis, un plug transparent avec une queue de chien, une laisse pour le chien que je suis et cinq petites culottes de fille à ma taille.
Tout son texte était ponctué d’insultes très excitantes qui me faisaient bander comme un cerf. Elle précisa aussi que le jour de notre rencontre, je devais laisser la porte d’entrée entrouverte, les 5 culottes sur le lit avec une lettre de soumission totale. Ensuite, je devais l’attendre dans le salon, tout nu avec la laisse autour du coup, le plug dans mon anus et les ustensiles près de moi.
Début de mon apprentissage à la soumission
J’attendais le coeur battant fort, avec une érection tellement forte que je ne pensais plus à la situation dans laquelle j’étais. En effet, j’étais, nu, seul chez moi, le cul prêt à servir et heureux de faire plaisir à ma Maîtresse.
Mon coeur se mit à battre, encore plus fort, lorsque j’entendis la porte s’ouvrir. Elle rentra dans la chambre puis je l’entendis faire des compliments pour les culottes et elle parut enchantée de ma lettre de soumission. Elle dit tout fort de la chambre :
-enfin je vais voir ma LOPETTE!
Elle arriva derrière moi. Il m’est impossible de vous décrire à quel point j’étais excité. Elle me dit :
-eh! SOUS-MERDE! Sache que maintenant, tu auras toujours le cul tourné vers la porte pour mes visites pour me montrer que tu es un esclave soumis comme une CARPETTE! Tu comprends CUL A BITES?
-oui VIOLL..
Je reçus un coup de pieds sur les fesses :
-non et non je suis ta maîtresse VIOLL.
Elle se présenta devant moi et me demanda de baisser les yeux. Je ne voyais que ses chaussures blanches à talons et ses chevilles!
-allez! lèche les chaussures et plein de baisers sur ma cheville!
Ensuite, elle se moqua de moi. Elle trouvait que je « triquais » bien pour une PEDALE. Après, elle me tira par la laisse et me demanda de faire le tour du salon, en prenant la laisse dans la bouche comme les chiens savants. Enfin, elle m’apprit à parler chien : 1 aboiement pour dire oui et 2 aboiements pour demander quelque chose. Il m’était interdit de dire NON.
Acceptation totale de ma soumission!
Elle s’assit sur ma croupe et me tapota.
-HUM….quel beau cul! tu as un cul de pute! Ainsi, tu seras ma salope! Un de ces jours, je ferais une tournante et ta craquette(mon anus) servira aux godes de ces dames ou aux queues de ces messieurs!
Sans même rendre compte, j’ai dit :
-oui maîtresse VIOL !
Ensuite, elle me demanda d’essayer les culottes. Elle était ravie!
-plus tard, tu achèteras des bas et des collants et tu deviendras ma pute! Je te ferais prendre par des hommes.
Ensuite, nous nous sommes revus plusieurs fois. J’étais heureux d’avoir accepté la soumission et d’être devenu son esclave. En fait, j’avais atteint le stade de la soumission cérébrale, qui pour moi, d’après mon expérience, est la situation la plus importante, afin de tout accepter, coups de pieds, de poings, gifles, humiliation devant d’autres personnes etc…
Ce lâcher prise, elle avait su l’accepter par ses mots et ses insultes, J’avais, toujours, le sexe raide à chaque parole. Ainsi, j’étais prêt à tout pour elle, rien pour moi! Quelle joie de m’entendre appeler, LOPETTE, SOUS-MERDE, LARVE, LECHE CUL, PUTE! Parfois, elle me sifflait pour m’appeler, lorsque nous nous promenions en ville. J’étais devenu son valet, sa chose son objet.
Le contrat de soumission
Un jour de juin 2010, elle vint avec un cadeau et un contrat de soumission, que je devais lire et parapher en deux exemplaires. voici le contenu de ce contrat de soumission.
Il était précisé que ce pacte nous lier sous la forme d’un couple gynarchique, que je lui appartenait complètement, corps et âme. Elle avait tous les droits sur moi, droit de vie et de mort, que j’étais sa lopette. Ainsi, elle pouvait faire ce quelle désirait de moi, me vendre me prêter, ou me louer. Tout lui était permis sur moi : Gifles, coups de pieds, de poings, cravache, fessées, martinet, introduction anale supplice de la bougie, même me laisser toute la journée attaché pendant qu’elle se promène. Elle pouvait se servir de moi comme cendrier, crachoir, WC ambulant… Le seul droit que j’avais était de me taire, ne rien demander, et attendre ma pitance et la nourriture quelle voulait bien cracher dans mon plat.
De plus, il était précisé dans ce contrat de soumission que je devais faire abstinence et que je pouvais jouir, seulement, lorsqu’elle voudrait bien me traire. Si ce contrat de soumission n’était pas paraphé, il y aurait arrêt complet des visites. Je m’empressai, donc, de signer car je voulais lui appartenir pour toujours.
En ce qui concernait le cadeau, il s’agissait d’une grande gamelle de chien en inox.
Toujours sous son influence, mon âme et mon corps était a sa disposition et je ne vivais que pour elle. Le plus remarquable, c’était qu’elle mesurait 1.60m et ne pesait pas plus que 55kg avait un corps juvénile et des petits seins. Elle s’habillait, souvent, en jeune fille. Cependant, elle était plus forte que moi et me dirigeait comme un enfant. J’avais l’appréhension de ses réaction parfois lorsqu’elle me donnait des raclées assez poussées qui me laissaient pantois au sol.
Eduqué pour son plaisir!
Mais je ne vivais que pour son bonheur. Elle m’avait éduqué pour son plaisir!
Parfois lorsqu’elle lisait un livre dans le fauteuil, elle me demandait de me mettre à genoux en face d’elle. Ensuite, elle écartait ses cuisses et me demandait ce que je voyais.
-Je vois vos cuisses.
La première fois, je reçus une gifle tellement forte que j’ai pleuré de douleur.
-ah! pardon vos cuisses merveilleuses et votre culotte…
Je devais lui faire les louanges de sa culotte.
-Ho! quelle belle culotte qui protège le sexe et le postérieur de ma très belle maîtresse! Toi qui sait garder les odeurs de cyprine et du fondement du beau cul royal! Toi belle culotte, quelle joie j’aurais quand je pourrais te sentir et te lécher! En attendant, je sais que tu es supérieure à moi et j’attends tes ordres.
Ces odes, je devais souvent lui dire dans les toilettes, en la regardant sortir de son anus royal de beaux boudins de crotte. Je devais, aussi, clamer que son caca était, supérieur à moi. C’était pour cela que ma divine altesse m’appelait SOUS-MERDE. Il en allait, de même, pour son urine chaud et odorante, un régal pour ma bouche.
Je devais ensuite les sentir puis lui lécher son sexe pour le nettoyer. Enfin, je devais manger le papier toilette qui avait servi à nettoyer son auguste cul. Sinon pendant la journée, on était parfois tranquille devant la télévision ou on lisait des livres. Je dois rappeler, ici, que son mari était souvent, en mission, en Afrique. Cependant, je devais toujours être prêt à répondre à ses moindres désirs.
Des journées plus torrides!
Parfois, il y avait des journées plus torrides. Une journée torride se passait souvent en plusieurs étapes. Au début, j’étais, toujours nu, devant la porte d’entrée avec la laisse autour du cou, un plug dans l’anus. Ensuite, je devais faire le ménage, la vaisselle et parfois je nettoyais avec la langue la lunette des WC. Je recevais de sacrées dérouillées pour n’importe quelle bêtise, des coups de poing, des coups de pieds.
Elle me crachait dans la bouche. Ma langue lui servait de mouchoir. Elle me promenait avec la laisse. Je devais me comporter comme un chien et ainsi, je devais aboyer.
Après un lavement, elle aimait mettre des doigts ou sa main dans le cul. Dans le même temps, elle me criait :
-tu es à moi! tu m’appartiens!
Souvent, j’étais menotté sur un meuble, le cul prêt à subir son god ceinture et lorsqu’elle était énervée par un collègue de travail, elle me faisait le supplice de la bougie. J’avais le sexe tout raide et cela l’excitait encore plus. A la fin, je devais me mettre à 4 pattes. Elle se mettait debout ses cuisses entre ma tête puis elle serrait fortement pour étouffer. Ensuite, elle se penchait pour me traire comme une vache tout en m’abreuvant d’insultes. Elle me disait qu’elle avait un droit de cuissage ainsi que le droit de vie sur moi.
Des moments plus calmes et tendres
Ensuite, elle ajoutait qu’elle était plus forte que moi et que je n’étais qu’une lavette. Elle était ma supérieure et moi, son simple subalterne, un con, une pédale, une lopette, sa pute. En général à ce moment précis, je giclais mon sperme sur le sol en criant de joie. Je pense que je ne pouvais plus me retenir car j’étais étranglé et je dépendais de sa force de toutes. De plus elle me trayait la queue.
Pour finir, je léchais mon sperme. Quant à elle, elle était assise devant moi et elle se caressait comme une folle son sexe à travers sa culotte. Elle me demandait de la regarder. Pour finir, elle avait une jouissance infinie, avec beaucoup de pertes liquides, que je devais lécher, soit au rebord du fauteuil ou sur le sol.
Ensuite, il y avait une période plus calme, pendant laquelle, je profitais de sa tendresse.
Elle me caressait la tête, les cheveux. On prenait le café, elle sur le fauteuil et moi à ses pieds. En guise de sucre, j’avais droit un crachat. Une fois, j’ai du faire mon café avec de l’eau des cuvettes des WC. Parfois à table pour le déjeuner, elle était assise sur une chaise et moi au sol avec ma gamelle en inox remplie de la nourriture qu’elle avait bien voulu cracher dedans. Le tout était accompagné d’un verre de son champagne de premier choix.
Elle me tirait doucement sur la laisse et me racontait tous ses déboires avec son mari ou les ennuis dans service. En me caressant la tête, elle m’appelait mon chien.
-Tu sais tu es merveilleux.
Elle me parlait de ses jouissances qui ressemblaient à une petite mort. Elle ajoutait qu’elle ne voulait plus de contact, de pénétration.
Permission de parler
Et moi, je lui demandais la permission de parler. Ainsi, je lui exprimais, aussi le bonheur que j’avais de la connaître. J’ajoutais que moi aussi mes jouissances étaient, infiniment, plus importantes qu’avant. En fait, j’avais l’impression de partir au delà de la vie, et que je l’aimais comme un fou de ce plaisir qu’elle me donnait. J’exprimais aussi le fait que j’étais heureux de vivre en perpétuel soumis même pendant les moments calmes. Ainsi, je connaissais ma place devant elle et que je la voyais toujours comme ma supérieure.
Je la remerciais de m’avoir ouvert les yeux sur la place des femmes. Ces dernières sont largement plus fortes que nous les hommes. Elles sont d’une race supérieure. J’ajoutais que j’étais entièrement satisfait d’être sa chose et que je ne lui réclamais rien, que mon bonheur était de la servir et que j’avais un immense amour pour ma maîtresse VIOLL…
Elle finissait par tirer sur la laisse ou par les cheveux et me disait MERCI avec un petit bisous sur les lèvres. Pour moi, ces instants sont gravés à jamais dans ma mémoire.
En fait, je le répète mais la soumission cérébrale est obligatoire car sans cela, il est impossible d’accepter les coups, les humiliations et d’admettre que la femme est d’une race supérieure!
Il est impossible de donner tout son amour à sa maîtresse jusqu’à lui donner votre vie,
Suite de mon éducation
Je n’ai pas du tout aimer la première fois qu’elle m’a introduit la main dans mon anus. Ainsi, pendant trois mois, elle a essayé plusieurs godes et des aliments comme des bananes, des courgette, des carottes, et même un concombre. Enfin de compte, cela a été plus facile que je ne le pensais. L’anus a un muscle facile à dilater. Malgré la douleur, j’étais heureux de lui offrir mon anus. La difficulté, ce n’était pas ses doigts mais de passer les phalanges de sa main. Heureusement, elle avait une petite main. A la fin, elle était ravie car elle pourrait me prêter à des hommes ou des femmes.
5 mois après notre première rencontre, elle me demanda de me préparer, cul nu en direction de la porte entrouverte, laisse au cou, sans plug mais avec des ustensiles près de moi. Toujours très excité lorsque j’entendis la porte s’ouvrir puis je l’entendis venir vers moi en discutant avec un homme. La présence de cet homme me mit mal a l’aise. Elle vint me chuchoter à l’oreille :
-tu es ma pédale! Tu est à moi! Sache que tu m’appartiens et je fais ce je veux de toi! Tu es ma pute, ma grosse salope! Fais plaisir à ta maîtresse, sache que tu m’appartiens et lui n’est qu’un amusement.
Alors, je repris confiance car je savais qu’elle me protégeait. Elle se leva et fit les présentations.
-voici ma SOUS-MERDE, une PEDALE qui a un garage à bites! Voici Véronique une lopette qui adore s’habiller en fille. Regarde espèce de pute.
J’ai vu devant moi un garçon torse nu sans poil, avec une culotte tanga, des bas et chaussures talons aiguilles. Il me faisait bander comme un fou! VIOLL le remarqua.
-tu vois salope que tu aimes les bites et la sienne est belle.
Soirée à trois pour le plus grand plaisir de ma Maîtresse
Elle me tira sur la laisse et me demanda de faire un tour du salon en aboyant, la laisse dans la bouche. Ensuite, j’ai du montrer que j’étais un chien savant. Elle me demanda de me mettre à genoux devant le garçon. Ensuite, elle lui claqua le cul en lui parlant comme à une fille puis elle lui a sorti sa queue en me la présentant. Elle était longue mais pas trop épaisse et me demanda de lui faire pleins de bisous sur son gland et ses bourses.
Je fus surpris par la bonne odeur de son sexe et de la consistance du gland. Ensuite, j’ai du continuer à baiser ses cuisses et ses pieds pour montrer ma docilité. Ma maîtresse, pendant ce temps là, prit la camera et filma toute la scène. Elle dit qu’elle était au « nirvana » et que surement, elle allait jouir sans se toucher. Cela me fit très plaisir. Je voulais me surpasser pour elle.. Après, il se retourna et me montra son petit cul bien ferme.
VIOLL… me demanda aussi de faire pleins de bises sur son postérieur. J’étais un peu réticent. Aussi, elle m’appuya la tête contre son cul. Je trouvai l’odeur agréable et sans ordre de ma maîtresse, je commençai à lécher sa raie du cul. Ensuite, j’enfonçai ma tête pour sentir et faire pénétrer ma langue profondément dans son trou de cul. VIOLL.. était surprise et enchantée, plutôt excitée de voir sa pédale bouffait le cul d’un inconnu.
Elle devint devenue folle puis elle me cria :
-bouffe lui le cul pédale! grosse salope goûte son trou à caca!
Fin de l’éducation
Elle avait l’autre main dans son sexe et se frottait très fort. Ensuite, il se retourna. Je dûs prendre son sexe en bouche, le plus profondément possible malgré sa longueur. Le garçon était content. Il disait que je bouffais sa queue aussi bien qu’une pute. Je voulais gober le maxi pour faire plaisir à ma maîtresse qui me dit :
-ça y est tu es prête à servir pour les tournantes.
C’est aller très très vite sans m’apercevoir. Il pointait son dard vers ma craquette et l’enfonça très facilement même moi j’étais étonné mais je vous assure quel bonheur de faire plaisir comme cela ma maîtresse et de recevoir un sexe tout chaud dans l’anus. VIOLL.. cria comme une folle et nous traita de tous les noms. Enfin, il a joui en dehors sur la cuisse de ma Maîtresse et celle-ci m’a demandé de nettoyer. En même temps, elle a eu une jouissance incomparable. Mais bon dieu que cela fut bon! Le fait de faire plaisir à mon amour, et de savoir qu’on me filmait et aussi qu’une autre personne était présente, tout cela m’a fait jouir dès qu’elle a commencé la traie.
Défouloir pour ma Maitresse!
Un jour, un an après notre première rencontre, elle me téléphona vers 19h45. Je la sentis furieuse, suite à une réunion de travail. Ma Maîtresse me demanda d’être présent en voiture avec tous les ustensiles ainsi que la laisse autour du cou et le plug à queue dans le cul. Le rendez vous devait avoir lieu à l’orée d’une forêt qui se trouvait entre MARENNES et LA TREMBLADE après le pont de la SEUDRE direction RONCE.
J’arrivai au parking et j’attendis, angoissé, son appel. Il n’y avait personne dans les environs. Cela me calma un peu. Elle arriva, enfin, et elle se dirigea vers moi, en me demandant de baisser la vitre de l’auto. Ensuite, elle m’adressa un coup de poing et une gifle. Avant que je dise quelque chose, elle m’obligea à ouvrir la bouche et elle me mit sa culotte portée dans la journée. J’étais heureux de recevoir ses coups mais je les sentais bien forts. Heureusement grâce à sa corpulence, je pouvais accepter cela sans broncher.
Elle me dit qu’elle était énervée à cause de sa réunion. Le fait de me taper aidait la colère à passer doucement. Elle me demanda de me déshabiller et de sortir de la voiture. A genoux, je rejoignis la forêt. Elle me tirait par la laisse.
-Alors, mon cabot, allez aboie pour le plaisir de ta maîtresse!
J’aboyai jusqu’au premier chemin. On s’arrêta et elle prit une branche verte puis elle enleva les feuilles pour la rendre flexible et me donna des coups sur le cul et le dos. Elle cria sur ses collègues. J’ai joui de douleur mais surtout de savoir qu’elle avait besoin de moi pour passer ses nerfs. Elle s’aperçut de ma jouissance et elle continua plus fort et en me donnant des coups de pieds. En fait, je ne je devais jouir que sur son ordre!
Je reçus des coups de pieds sur les cotes, le cul, des gifles. Elle me demanda de me mettre à genoux puis elle me donna plusieurs coups de poing. Ensuite, elle m’obligea à ouvrir la bouche pour cracher tout son venin. Après un dernier coup de poing et une gifle, je suis tombé sur le sable.
Fin de ma soumission à cette magnifique dominatrice
Enfin, elle s’est assise sur ma figure et ma dit que j’étais un idiot, un abruti que je méritais ma punition. Elle se leva et me laissa respirer. Devant moi, elle se mit à pleurer. Personne était présent pendant ce tabassage. Le lendemain, elle me soigna et j’eus pour la première et dernière fois la possibilité de la voir toute nue, mon dieu qu’elle était belle.
Au mois de septembre 2012, son mari fut muté dans l’est de la France. C’est avec un très grand déchirement que j’ai vu partir ma maîtresse VIOLL… elle aussi je suis sûr qu’elle était triste. On a passé le dernier après-midi dans la tendresse. Elle me demanda de plus avoir de contact pour que son mari n’ai aucun soupçon.
Quelques temps plus tard, j’eus envie de retrouver une Maîtresse car cette relation de soumission me manquait. J‘ai cherché et répondu à des annonces. Mais quel gâchis! Ce n’était pas vraiment des maîtresses. Elles ne voulaient que de l’argent.