vendredi 7 février 2020

La mère de Fabienne… Quelle femme dominante!

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Je restai seul avec la mère de Fabienne, un peu sonné par la succession des événements. À la vérité, complètement meurtri. La dame me regarda, droit dans les yeux, l’air peiné pour moi.https://drive.google.com/uc?export=view&id=1GOSkHhEtQxS4UT54JQ6a94Fvka0SfYax

  • Jean-Louis, tu es un gentil garçon et je suis ravie que tu sortes avec ma fille. Tu dois être profondément blessé, donc il faut que je t’explique le cas de Fabienne. Je n’irai pas par quatre chemins : à l’âge de neuf ans, elle s’est fait violer par son père.

Elle dit cela sur un ton très doux, mais elle marqua une pause et je sentis une tristesse ainsi qu’une colère froide monter en elle.

  • Je m’appelle Patricia, mais je préfère que tu continues à m’appeler « Madame », tu comprendras plus tard. Oui, je sais, tu te demandes si j’ai divorcé… ce fut ma première réaction, mais j’ai décidé de le… guérir, d’en faire un homme, disons… normal. Il se tient à carreau à présent. Il est même devenu exemplaire, mes amies ont recours à ses services et ne tarissent pas d’éloges à son sujet.                                                                                                                                                  Toujours est-il que je le domine d’une certaine façon : je lui indique le comportement à tenir quand il semble partir à la dérive. Bref, ça, c’est mon problème et rassure-toi, il ne te fera rien, je l’ai… bien en main. Là, je lui ai ordonné de dormir et de ne pas nous déranger. Par contre, dis-moi ce que tu as fait à Fabienne pour qu’elle t’en veuille à ce point. Ne me raconte pas de salades, je connais ma fille, elle n’est pas violente.
    En échange, je peux t’aider à la convaincre de revenir à des sentiments plus normaux. En tout cas tenter de la calmer elle et, à toi, te donner des conseils de femme.

Sa voix douce me charmait. Je remarquai la beauté de son visage, la finesse de son corps. Elle était plus belle que Fabienne, c’était évident. Mais j’aimais Fabienne. Pour la retrouver, j’aurais vraiment fait n’importe quoi.

 

Confidence pour confidence

 

Je lui racontai toute la soirée, sans omettre un détail. Elle sourit avec beaucoup de douceur.

  • Jean-Louis, tu es vierge, non ?
    Ne réponds pas. Tu es vierge, c’est évident.
    Viens t’asseoir sur le canapé, exactement là où vous étiez. Où était Fabienne ?
    Ahaha, on dirait une reconstitution de crime ! Détends-toi.

Je lui montrai la place de sa fille. Elle me dit de me placer là où moi, j’étais… Je piquai un phare qui aurait pu guider les navires à mille kilomètres de là ! Je refusais, arguant que ce ne serait pas respectueux envers la mère de mon amour. Elle sembla vexée et amusée. Moi, je me sentais de plus en plus ballot.

  • Sers-moi un Scotch, il y en a dans le petit bar, près de l’escalier. Prends-en un aussi, ça va te détendre.

Je servis deux verres et lui tendis le sien. Elle le vida d’un trait puis, satisfaite, me regarda dans les yeux.

  • Bois le tien. Va chercher la bouteille. Rapporte-là.

Je remplis mon rôle de serveur, et je dois admettre que la tension s’effaça au troisième.

  • – Tu ne veux toujours pas te mettre à la place que tu occupais ? Bien.
    Alors mets-toi à la place de Fabienne.

Elle me poussa dans le canapé (je dis « dans » parce qu’il était très profond et confortable). Madame Patricia venait d’avaler son cinquième scotch…

jeudi 6 février 2020

Rituel lors du retour de mon épouse !

histoire complete

Je vais vous raconter le retour à la maison de mon épouse, ma Reine dominatrice, pour mon anniversaire.

Nous avions confié les enfants, Madame était allée faire du shopping et moi, je rangeais, nettoyais la maison et préparais le repas pour ce soir.
https://drive.google.com/uc?export=view&id=1ViEGC-JPa6MZFJChRAUDFzkC0M-BaTqE

Quand nous sommes seuls, j’aime préparer le retour de mon épouse, ma Reine dominatrice, comme il se doit.

Lorsque j’entends sa voiture, j’abandonne tout pour descendre l’attendre dans l’entrée, nu. Nous avons mis en place certains petits rituels. Lorsqu’elle entre, après que je lui ai ouvert la porte en entendant ses pas, je récupère, immédiatement, tout ce qui l’encombre. Ensuite, après avoir posé le tout, à genou, je la prends dans mes bras pour l’embrasser. J’aime l’embrasser dans cette position.

Elle s‘assoit et après lui avoir tendrement baisé les pieds, je la déchausse et lui mets ses tongs ou mules d’intérieur. Puis, après lui avoir servi un rafraichissement, et qu’elle soit bien installée, je commence par un massage de ses pieds et de ses jambes. Ce massage est complété par de nombreux baisers qu’elle aime me laisser lui faire. Une fois détendue, je range ses affaires et finis de préparer le repas pour la servir comme il se doit.

Voilà, un des petits rituels que nous avons.

Soirée spéciale pour mon anniversaire!

 

Pour mon anniversaire, ma femme m’a fait un magnifique cadeau. Elle sait combien j’aime lécher et adorer ses pieds, son abricot, son cul, mais elle n’apprécie pas le fait de ne pas être propre lorsqu’elle désire ces caresses. Elle sait cependant qu’en revanche, j’aime cela…

Ainsi, lorsqu’elle rentra ce jour-là, elle m’annonça d’emblée avoir très envie de se soulager. Je m’étais souvent proposé comme urinoir mais cela ne la tentait pas. Pour moi, tout ce qui vient d’elle sera de toute façon délicieux. Hormis la grosse commission qui ne m’inspire pas du tout. Et autant je peux lécher son cul avec passion au retour d’une journée de travail autant, une femme qui sent la m… ce n’est pas possible.

Je lui proposai donc de se soulager. Etant déjà à genou, je n’avais qu’à ouvrir la bouche et m’approcher pour lui faire comprendre. Au lieu de refuser, elle releva sa robe. Je découvris qu’elle n’avait pas de culotte. Sur le trajet du retour, sachant son envie pressante et voulant me faire plaisir, elle l’avait retiré avant de rentrer.

Aussi surpris qu’excité, je collai ma bouche à son entre-jambe et me tins prêt. Le liquide me parût chaud, mais je n’eus aucune difficulté à tout avaler, sans plaisir au goût je dois dire mais fier de moi de n’en avoir pas perdu une goutte et d’avoir fait cela pour elle. J’en profitai pour la rafraichir à cet endroit. S’estimant sans doute suffisamment rafraichie, elle me dit que maintenant qu’il fallait tirer la chasse.

Reine dominatrice

Massage des pieds pour ma Reine dominatrice

 

Aussi, elle ouvrit ma bouche, se pencha et fit couler sa salive dans ma bouche. J’étais aux anges ! Elle fit alors un demi-tour et me présenta ses fesses. J’adore ce moment où, légèrement inquiet de ce que je peux y trouver, mais désireux avant tout de m’appliquer au mieux dans cette caresse, je donne mes premiers coup de langues. Je me mis donc à lui rafraichir la raie avec tout mon amour.

Le parfum, je le connaissais déjà : un peu de transpiration et ce gout caractéristique que j’adore. Ce n’est qu’une fois correctement rafraichie, qu’elle s’assit pour que je la déchausse.

Excité comme j’étais, je me précipitai pour couvrir ses pieds de baisers et de furtifs coups de langues avant qu’elle ne s’impatiente. Ainsi, je ne lui en laissai pas le temps et lui mis ses mules de maison.

Pendant qu’elle sirotait son Spritz dans la méridienne et que je lui massais les pieds, elle porta l’un d’eux à ma bouche. Je lui embrassai tendrement la base des orteils, ce petit endroit miraculeux qu’elle adore que je masse et embrasse, sachant qu’elle n’aime pas que je les lui lèche s’ils n’ont pas été nettoyés. Mais cette fois elle insinua son pied dans ma bouche, à ma grande surprise. Je me mis à lui sucer, lécher ce pied d’abord tout doucement pour être sûr que c’est ce qu’elle voulait puis avec passion et une excitation croissante.

C’est à ce moment que je me suis rappelé que c’était mon anniversaire. Je jubilais tandis qu’elle faisait mine de rien en lisant son magasine et remuant ses orteils dans et sur ma bouche ! Je montai au paradis !

 

A ses pieds pendant son dîner !

 

Elle avait faim maintenant. Aussi, je mis la table mais elle me demanda de ne pas me servir. Elle me dit de m’allonger sous la table la tête sous ses pieds pour qu’elle dîne tranquillement. Enchanté, je la servis au mieux et me glissa sous ses pieds pour continuer leur adoration. Je ne vis pas le temps passer. Il s’était arrêté ou plutôt, il n’existait plus.

Pendant qu’elle prenait son dessert dans le salon, je rangeais la cuisine. J’avalais vite fait quelque chose lorsqu’elle m’appela. Immédiatement, je me présentai à genou, prêt à baiser ses pieds. Elle demanda de m’allonger sur la moquette épaisse. Je précise que j’étais nu et sans cage (elle ne veut pas m’en faire porter).

Elle vint me chevaucher la bouche pour que je la prépare, je la léchai avec application comme elle m’avait appris à le faire dans ce moment-là, celui où elle allait me prendre. En effet, suivant l’instant, elle va apprécier certaines caresses et moins d’autres. Là, j’étais en mode préparation à la pénétration. J’adore quand je sais ce qu’elle attend de moi et que je le fais avec tout mon amour. Une fois bien préparée, elle descendit sur mon sexe tendu pour elle et me fit trouver le chemin. J’y glissai au passage une peu de salive (et de sa mouille) pour le lubrifier. Elle s’empala. Je sais que je ne dois pas jouir mais dans cette position c’est un exercice que je maîtrise parfaitement.

 

Jouissance pour ma Reine dominatrice !

 

Je l’accompagnai et nous fîmes l’amour délicieusement. Elle approcha de la jouissance assez rapidement, sans doute le plaisir de m’avoir vu aussi heureux de tout ce qui venait de se passer. Comme à notre habitude, une fois qu’elle eut joui et récupéré ses esprits, je descendis la rafraichir à nouveau. J’adore ce moment ! Elle poussa, comme souvent, son clitoris sur mes lèvres, message reçu : je la léchai pour la faire jouir par ce biais, bien qu’elle soit plus vaginale que clitoridienne, ça qui ne tarda pas à arriver. Là aussi, il s’agit d’un de nos classiques…

Mais cette fois, elle se pencha en arrière, comme pour reprendre son souffle, ce qui m’empêcha de continuer ma caresse linguistique sur ses lèvres. Si je continuais à lécher, je lècherais son cul et je savais que je devais avoir son autorisation pour le faire. Doucement, elle descendit sa raie sur ma bouche, j’écartai ses joues et commençai à lécher son étoile, à sa façon d’appuyer sur ma bouche, je compris qu’elle souhaitait que j’approfondisse ma caresse, que je la prépare. Elle voulait me prendre par ce passage. Je la préparais de mon mieux en l’élargissant de ma langue et je sentis qu’elle appréciait, j’étais comme un fou !

 

Fin de cette merveilleuse soirée d’anniversaire !

 

Une fois qu’elle s’estima prête, elle vint s’empaler après que j’eus à nouveau lubrifié ma verge. Ensuite, elle commença à m’utiliser pour son plaisir. Cela dura un moment pendant lequel je me concentrais sur mes caresses pour la faire monter. Elle eut un nouvel orgasme qui mouilla mon bas ventre. J’adorerai pouvoir me lécher à cet endroit quand elle jouit et se frotte sur moi mais ça m’est impossible… Lorsqu’elle se frotte sur mon pubis pour atteindre l’orgasme lors de la pénétration, j’ai le sentiment qu’elle me marque de son essence et que personne ne peut plus s’approcher de mon sexe sans sentir la présence de mon épouse. Je lui appartiens. J’adore ce sentiment.

Enfin, elle s’allongea sur le ventre et je me mis à lui lécher l’anus encore ouvert pour lui apporter la tendresse nécessaire après ce type de pénétration, en quelque sorte pour réparer les dommages que mon sexe, un peu large, avait pu provoquer. A force du passage doux de ma langue, son étoile se refermait pour reprendre un aspect normal quoiqu’encore un peu rouge…

mardi 4 février 2020

Une sissy en devenir

Frustration de ne pas être une fille

Cela faisait maintenant vingt et un ans que je vivais avec cette frustration de ne pas être une fille. Cette frustration m’avait poursuivi toute ma vie, avec des moments très difficiles. J’ai découvert petit à petit l’univers de la domination féminine et le fait qu’un homme hétérosexuel pouvait devenir une « sissy ».https://drive.google.com/uc?export=view&id=1lvlMcYxqpvzL7us-sMZ2uXmvZHDCV-4E
En fait d’aussi longtemps que je m’en souvienne, quand j’étais seul à la maison, j’adorais enfiler, en secret, les vêtements de mes sœurs et utiliser leurs jouets. J’adorais la compagnie des filles. Déjà, j’aimais perdre contre elles quand nous jouions et qu’elles se moquaient de moi. En fait, je feignais d’être vexé, mais cela me comblait de bonheur. J’imaginais être leur copine. Bien sûr, cela n’arrivait pas souvent car mon père avait pour philosophie: « Les garçons avec les garçons, les filles avec les filles ».
Heureusement pour moi, les trois couples d’amis proches de mes parents n’avaient que des filles de mon âge. Ainsi, cela me permettait, quand elles venaient à la maison ou quand nous partions en vacances, de profiter de leur compagnie. C’était aussi l’époque où chez nous, les hommes étaient dans l’ensemble machos. Ils préféraient fréquenter les bistros pour jouer aux cartes et picoler, en prétextant la dureté de leur travail. Ainsi, ils laissaient à leurs épouses, les petites joies du ménage et de l’éducation des enfants.

 

Adolescence sans trop de problème mais toujours le fantasme d’être une « sissy »!

 

Je fus donc élevé entre mes deux sœurs, ma mère, ses amies et aussi une tante qui venait assez régulièrement qui était très coquette et que j’admirais.
Mon adolescence s’est passée sans problème. J’ai eu une scolarité moyenne, des copains et des copines comme tout le monde, bien que plutôt introverti. Cependant, j’avais, toujours, cette envie d’être une fille dans la tête, et je ne savais pas à l’époque, ce qu’était une « sissy ». La mixité du collège n’arrangea rien. Enfin à dix-neuf ans,  je partis pour l’armée, directement en Allemagne. Comme pour tout le monde à l’époque, on ne m’a pas demandé mon avis. De plus, c’était ma période anti militariste. J’y suis donc allé à contrecœur. Cette année fut riche en événements personnels : mon engagement et la rencontre avec Joëlle.
Cette semaine-là, semaine de mon anniversaire, nous étions en mission. Bref, nous jouions à la guéguerre dans les forêts alsaciennes. Nous avions donc décidé de fêter cet événement dignement, le samedi, en boîte, lendemain de la sainte Catherine. Cependant, je n’étais pas vraiment fana de ce genre de sortie, car je n’étais pas très à l’aise sur une piste de danse ni pour « draguer » les filles. Mais après une semaine passée dans la gadoue, replonger de cette façon dans la civilisation ne me déplaisait pas vraiment.  A ce moment-là, j’étais loin de me douter de l’expérience que j’allais vivre.

 

La rencontre qui va bouleverser ma vie!

 

Le jour venu, je me suis mis sur mon trente-et-un, pantalon à pinces, chaussures noires, chemise également à pinces pour mettre en valeur mon torse (être introverti n’empêche pas le narcissisme) et enfin un gros blouson pied-de-poule (à la mode à cette époque). Pour rappel, nous étions en hiver. Pour une fois, nous sommes arrivés suffisamment tôt pour avoir une table, de plus à côté de trois très jolies filles. Il est vrai que pour moi toutes les filles sont jolies.
Au fur et à mesure du déroulement de la soirée, le whisky coca aidant, la discussion avec ma voisine s‘engagea, pour être tout à fait honnête, surtout grâce à elle. Déjà sur la piste de danse, c’était elle qui était venue vers moi. Je me donnais des airs de pro du dancing mais je suis convaincu qu’elle n’était pas dupe de mon malaise.
A cette époque, il y avait encore des petites séries de slows, et bien sûr c’est encore elle qui a pris l’initiative de l’invitation. C’est encore elle qui s’est montrée plus pressante en se serrant bien contre moi et en me demandant, taquine, de me décoincer, de ne pas être si timide. Elle a même ajouté qu’elle n’avait pas l’intention de me manger! Moi bien sûr, je faisais le mec décontracté. Quand elle riait, j’étais au paradis.

 

Joelle prend les choses en main…

 

Puis elle me prit par la main pour me guider, parmi la foule vers la petite cour intérieure pour prendre l’air, fumer tranquillement une petite cigarette et parler dans le calme. J’étais conquis, et envoûté. La soirée bien avancée, elle me demanda si nous étions obligés de rentrer à la caserne. Je lui répondis, un peu vexé, qu’en tant qu’engagés, nous avions quartier libre jusqu’à lundi sept heures, heure du rassemblement.
Elle sourit :
— Alors viens avec moi!
Je n’en croyais pas mes oreilles.
— Chez toi ?
— Bien oui, tu as peur ?
— Euh… non, mais… mais c’est ma bagnole, je dois les ramener.
— T’es bête ou quoi ? Laisse-leur les clefs ! je te ramènerai demain.
J’étais tellement surpris que cette idée ne m’avait même pas effleuré l’esprit. Pourquoi moi ? Mais comment pouvais-je l’intéresser? J’étais de loin le moins beau de l’équipe, le moins rigolo et de plus encore, boutonneux.
Elle avait trente-deux ans j’en avais vingt et un, elle habitait Strasbourg.
Elle déposa ces copines. Une fois chez elle, elle me proposa un verre que j’acceptais, à la fois pour me donner du courage et surtout gagner du temps ne sachant pas trop comment m’y prendre sans être ridicule.

sissy

…et se transforme en femme dominatrice!

 

Elle me prit une nouvelle fois par la main, même situation, même effet et m’amena dans la salle de bain.
Nus sous la douche, nos corps couverts de mousse sublimaient nos caresses. J’étais littéralement envoûté, elle me semblait plus douce, plus grande. J’étais sous le charme. Pourtant arrivés dans le lit, l’émotion fut telle que je ne pus tenir ma promesse.
— Ne t’inquiète pas, ça peut arriver, je vais réparer tout ça.
Avec énormément de douceur et de patience, elle se mit à la tâche, mais sans succès. Petit à petit, je sentais bien que la situation commençait à l’agacer. Elle perdait patience. Ensuite, elle monta le ton, sans doute vexée pour finir par m’insulter, me gifler et en dirigeant l’index vers la porte :
— Dégage, je ne veux plus te voir.
Cette petite scène me déclencha immédiatement une érection que je ne pus dissimuler. Bien sûr elle, s’en aperçut et me tira violemment par le bras. Ensuite, elle me propulsa sur le lit puis elle sauta à cheval sur mon ventre. Un sourire moqueur embellissait encore son visage :
— Tiens, que se passe-t-il ?
— Bin oui, c’est revenu.
— Ce ne serait pas plutôt ma gifle qui t’aurait réveillé. T’es un petit maso toi ?
— Bin non… non : me défendais-je.

 

Sissy Giflé par cette magnifique femdom puis…

 

Là, elle fit mine de m’en remettre une.
-la vérité ! : me dit-elle, sévère.
La tête basse, en murmurant je lui dis que oui.
-Plus fort! : me dit-elle.
J’obtempérai. Elle se mit à rire, tout en me donnant une série de petites gifles puis ajouta :
— Nous allons bien nous amuser tous les deux!
Ensuite, elle me posa plein de questions sur mes fantasmes de masochiste. Ensuite, après encore quelques péripéties, nous réussîmes, enfin, à conclure cette soirée durant laquelle je n’avais pas brillé,  comme elle l’entendait. Pour quelqu’un qui ne voulait ne pas être ridicule, c’était gagné!
Le matin, je me réveillai ne sachant trop quel comportement tenir. Elle me mit vite à l’aise :
-Reste nu et va faire le café! Il est dans le placard du bas! Les tasses, tu les cherches et dépêche-toi j’arrive!

 

…Transformé en « sissy » pour mon plus grand bonheur!

 

 

Dix minutes après, elle apparut nue. Elle était décidément magnifique, le visage un peu rond un corps joliment potelé et superbement proportionné. Ses cheveux châtain foncé couvraient sa nuque. Elle avait des chiffons dans la main, qu’elle me jeta au visage.
-mets ça! : me dit-elle directive. Cela conviendra mieux à ta nature de sissy et vite.
A ma grande surprise, c’était une robe et un soutien-gorge. J’enfilai le tout immédiatement. Une bosse apparut au niveau de l’entrejambe :
— On dirait que ça te plaît ma petite salope de sissy ?… Réponds !
— Oui (la tête basse, en murmurant)
— Plus fort… et oui Joëlle (en levant la main)
— Oui Joëlle… je
— Tais-toi et va dans la salle de bain! Il y a du coton dans un tiroir, remplis moi ça.
En passant à côté d’elle, elle me mit une tape derrière la tête et me dit :
-File! petite « sissy »! c’est sûr on va bien s’amuser toutes les deux!

Entre-temps, elle avait invité sa copine Véro à déjeuner. Avant qu’elle ne prépare le repas, plutôt simple, elle me fit des recommandations pour la recevoir et me montra où elle plaçait tout ce qui était utile dans une maison.

Hypnotiseuse dominatrice

L’hypnotiseuse, domina de l’esprit, ne prenait plus le temps de caresser mes fesses ou de passer ailleurs, elle était désormais clairement orientée sur mon petit trou. Elle le lubrifiait, et elle enfonçait chacun de ses doigts un après l’autre pour faire entrer ce lubrifiant en moi. Je ne pestais pas, et pourtant, j’avais l’impression qu’on forçait avec douleur cet endroit si intime. Un doigt resta plus longuement en moi puis ressortit en tournant, avant de re-rentrer de façon rapide et faire quelques allers-retours. Ensuite, ce furent deux doigts et même trois qu’elle osa introduire en moi simultanément. Je me sentais rempli et pourtant, je ne le savais pas encore, mais ce n’était rien par rapport à ce qui allait suivre…!

Mon esprit divaguait aussi, je continuais de la lécher du mieux que je pouvais, et en même temps, je ressentais un certain plaisir à être ainsi pris.

 

Arrivée du soumis de cette magnifique domina

 

Je n’avais même plus entendu la porte s’ouvrir, mon esprit était accaparé et elle me fouillait et me dépucelait comme jamais je ne l’avais été. Elle avait saisi ce que je croyais être un plug, mais je sentais mon cul gonfler, s’ouvrir sous une pression exercée intérieurement. J’entendais Madame C. utilisait une petite pompe et à chaque pression qu’elle exerçait, elle mouillait un peu plus encore.

  • Alors le chien, on se fait remplir le cul par sa Maîtresse, et on commence à aimer ça ?

Je pris une respiration entre deux coups de léchouille et mes lèvres prononcèrent un « Oui Maîtresse, venu je ne sais où !

J’avais aperçu son comparse, soumis à Madame C. aussi, nu à nos côtés, et qui se branlait en nous matant. La situation devait l’exciter. « Ma » délicieuse rousse incendiaire retira le plug gonflable et introduit un objet froid pour obliger le sphincter de mon anus à se détendre. J’ai l’impression d’être déchiré et que ça va exploser malgré la lente progression. Je tentai de stopper l’action, et Madame C. appuya sur ma tête pour la plaquer à sa petite chatte qui dégoulinait de plaisir.https://drive.google.com/uc?export=view&id=1LE-8zLzCkrvADiMWVA8P-P_IK6lJT-ax

Elle me coinça les bras entre ses jambes, et pour que je ne peste plus, je pris 6 coups d’une force inouïe sur les fesses. J’apprendrais plus tard que c’était un paddle en bois ! J’en oubliai la dilatation, et je sentis le sang battre dans mes fesses après ces coups dissuasifs ! Mon esprit se perdit...lire la suite

dimanche 2 février 2020

Honorer une Dominatrice

Bonsoir aux Maîtresses de ces lieux et à tous les visiteurs et contributeurs,
Dominamag.com

Pour ce premier article je me présente rapidement, je me suis inscrit sur SLAVE SELECTION et sur le dominamag sous le pseudo Palmyra travestie car je fréquente les milieux des travesties et les milieux BDSM sous tous les costumes, costume d’homme soumis en pantalon cuir, travestie en cuissardes talons et jupe cuir et aussi dans la nudité comme l’exige le statut de soumis.

J’écrirai plusieurs articles sur la servitude que je pratique depuis plusieurs années et sur le fait que je suis prêt à tout accepter pour honorer une dominatrice. Mon profil sur SLAVE SELECTION en témoigne.  Cette servitude, j’y suis entré petit à petit d’abord en rendant quelques menus services et de plus en plus.  Ecrire sur la soumission, est une vieille habitude, à la demande d’une Maîtresse j’ai écrit sur son forum sous le pseudo latrine. Le premier article que j’avais écrit sur ce forum traitait de l’uro que j’aime et j’adore. Est-ce humiliant ? Non. Tout de qui est offert par la Maîtresse est noble, sain, pur, purifié. Interdit de prendre la douche avant de repartir du donjon. Aller dans la rue en portant l’odeur de la Maîtresse est un honneur, peu importe ce que pensent les passants.

Perdre son identité,  oui depuis dans le milieu BDSM, latrine est mon nom, mon prénom. Est-ce humiliant ? Non, c’est un honneur. La Maîtresse en question Maîtresse F  connaît beaucoup de monde dans le milieu SM, des créateurs, des photographes, des dominatrices de France et de plusieurs pays. Les présentations furent simples : latrine, même pas esclave latrine, tout simplement latrine. Maîtresse A de Floride qui a des difficultés avec la langue française a fait simple dans la traduction avec le pseudo de « pipi ». Est-ce humiliant ? Non c’est un honneur, accepter cet honneur c’est rendre la dominatrice heureuse. Le pseudo amuse les dominatrices, comment refuser le pseudo, accepter les pseudos les plus humiliants pour faire plaisir.

Accepter les modifications corporelles. Ces fouets qui marquent la peau de rouge, jaune, bleu, accepter les hématomes, mais cela devient une habitude. Ces marques qui restent présentes  sur la peau des jours durant, sur les fesses, sur les cuisses, sur la peau du dos,  sur la peau du thorax, de l’abdomen. Ces accessoires de plus en plus méchants. Ces pinces sur les seins, avec des ressorts qui les obligent à se refermer sur la peau, qui pénètrent dans la chair, accepter de les supporter de longs moments avec des poids qui les tirent vers le bas, accepter la modification des tétons. A force de les travailler, mes tétons ont un volume de deux centimètres à tel point qu’aujourd’hui je peux porter jusqu’à 5 pinces japonaises sur chaque sein. Accepter les pinces les plus méchantes, les pinces forceps qui serrent tellement que l’on peut y suspendre 1 kilo par sein.

Aujourd’hui, même dans ma vie vanille, n’importe qui peut remarquer mes seins pointer sous un t-shirt ou sous une chemise. Mais peu importe ce que peuvent penser les gens, c’est le résultat obtenu par les maîtresses à force de les travailler au poids et à la pince et j’en suis fier.

Accepter le travail des testicules, fermées dans une cage ou un parachute qui permet d’y suspendre plusieurs kilos, de sorte que les testicules descendent, s’éloignent du pénis.  A force de poids, la modification devient irréversible.

Je n’ai jamais été tatoué, mais si une Maîtresse l’exige, je l’accepterais. Bien que je préférerais le marquage au fer rouge. Le marquage au fer est un fantasme chez moi, sans doute parce que ma peau a été brûlée plusieurs fois à la bougie et à la cigarette. Ces brûlures imposées de longues minutes, le pire étant la cigarette tenue par une main insistante qui enfonce la douleur dans la chair et les marques restent plusieurs semaines. Accepter pour le plaisir de la Maîtresse. Le soumis qui accepte de plus en plus rend les dominatrices heureuses.

Le soumis doit se présenter propre, c’est à dire exclu la moindre pilosité. Accepter l’épilation à la cire chaude, le corps enduit de cette pâte qui colle à la peau en refroidissant pour rendre les poils prisonniers jusqu’à la racine et qui est arrachée sans ménagement. Parce que la maîtresse doit pouvoir jouer avec chaque partie du corps sans être gênée par les poils.

samedi 1 février 2020

Un homme soumis à sa Maîtresse Dominatrice

Je réside près de ROCHEFORT en Charente -maritime. Homme d’une cinquantaine BCBG, de 1,82 et 82kg avec des yeux verts marrons. Je croque la vie par les deux bouts de la chandelle, je papillonne et picore surtout parmi les femmes mariées. Je vais vous raconter ma relation de soumission avec une magnifique femme.

En avril 2010, je fis connaissance de VIOLL… 36 ans, épouse d’un militaire sans enfant. Elle était responsable d’un secrétariat d’un service de la Région. J’ai passé avec elle un après midi fou. En fait, elle me donna l’impression de me connaitre parfaitement. Avant son départ, nous échangeâmes nos numéros de téléphone et email.

Elle m’avait complètement retourné. J’avais peur de tomber amoureux. Plusieurs fois par jour, j’attendais son appel. Je devenais comme un lion en cage. Enfin au bout de 10 jours, elle m’envoya un mail.

Enfin, un mail arriva!

 

Voici, le message que je reçus :

« 
Bonjour, j’ai remarqué que tu avais un penchant pour la soumission et cela me plaît. (Je ne savais même pas qu’au fond de moi j’avais cette tendance.) Donc, si tu désires me revoir, lis bien ce texte. Je n’aime pas les hommes, égoïstes, fiers de leur sexe, orgueilleux, idiots comme toi, sans droiture. J’aime les hommes ayant de la prestance, intelligents, généreux, disponibles et surtout prêts à me servir sans retenue. Tu es une CARPETTE plutôt une LOPETTE. Aussi, tu me serviras de SOUS-MERDE. 

Si tu veux me revoir, sache qu’il y a des obligations! Tu ne me parleras que lorsque je te le permettrai, tu me vouvoieras, tu seras toujours derrière moi lorsque nous sommes avec des gens. Tu seras toujours qu’une chose pour moi, as tu compris CONNARD ?

Il n’y aura jamais de pénétration entre nous, tu feras abstinence! Je te trairai quand je le voudrais espèce de grosse vache! Donc si tu désires me contacter par téléphone, par s.m.s ou par mail, il faudra toujours au début de chaque écrit ou appel me dire un mot très nul comme toi « PISTACHE »! Après je te donnerai la permission de correspondre GROS CON.Si tu acceptes toutes ces conditions, appelle moi à 22h30! Je serais plus tranquille à la maison.

« 

J’étais ébahi, je tombais des nues, moi en homme soumis! moi qui, jusqu’à présent, adorais fesser les femmes et parfois les attacher aux pieds du lit. Cependant, le plus surprenant était que j’avais une érection. Je voulais continuer car j’étais excité par cette situation de soumission.

Début de ma soumission!

 

A 22h30

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je décidai de l’appeler. En fait, je venais de tomber dans ses griffes! Je lui dis que j’avais reçu son mail. Elle me dit :

-PEDALE !

Ensuite, elle mit fin à l’appel.

J’étais étonné de sa réaction mais je compris de suite qu’il manquait le mot magique « PISTACHE ». Je la rappelai et dit :

-PISTACHE

Elle me demanda d’attendre et au bout d’une minute, elle reprit la conversation en me disant:

-tu vois! Ce n’était pas si dur! Tu comprends maintenant? espèce de LARVE! Je vais te rendre la vie plus belle.

Bizarre, plus elle m’insultait, plus je m’accrochais à elle!

Une semaine avant notre rencontre, elle m’adressa un mail. Elle y détaillait ce que je devais acheter pour mon apprentissage à la soumission : des menottes, une cravache, des gants chirurgicaux, une crème pour faciliter l’introduction anale, un gode ceinture, un gode moyen avec pour introduction lorsque je suis assis, un plug transparent avec une queue de chien, une laisse pour le chien que je suis et cinq petites culottes de fille à ma taille.

Tout son texte était ponctué d’insultes très excitantes qui me faisaient bander comme un cerf. Elle précisa aussi que le jour de notre rencontre, je devais laisser la porte d’entrée entrouverte, les 5 culottes sur le lit avec une lettre de soumission totale. Ensuite, je devais l’attendre dans le salon, tout nu avec la laisse autour du coup, le plug dans mon anus et les ustensiles près de moi.

Début de mon apprentissage à la soumission

 

J’attendais le coeur battant fort, avec une érection tellement forte que je ne pensais plus à la situation dans laquelle j’étais. En effet, j’étais, nu, seul chez moi, le cul prêt à servir et heureux de faire plaisir à ma Maîtresse.

Mon coeur se mit à battre, encore plus fort, lorsque j’entendis la porte s’ouvrir. Elle rentra dans la chambre puis je l’entendis faire des compliments pour les culottes et elle parut enchantée de ma lettre de soumission. Elle dit tout fort de la chambre :

-enfin je vais voir ma LOPETTE!

Elle arriva derrière moi. Il m’est impossible de vous décrire à quel point j’étais excité. Elle me dit :

-eh! SOUS-MERDE! Sache que maintenant, tu auras toujours le cul tourné vers la porte pour mes visites pour me montrer que tu es un esclave soumis comme une CARPETTE! Tu comprends CUL A BITES?

-oui VIOLL..

Je reçus un coup de pieds sur les fesses :

-non et non je suis ta maîtresse VIOLL.

Elle se présenta devant moi et me demanda de baisser les yeux. Je ne voyais que ses chaussures blanches à talons et ses chevilles!

-allez! lèche les chaussures et plein de baisers sur ma cheville!

Ensuite, elle se moqua de moi. Elle trouvait que je « triquais » bien pour une PEDALE. Après, elle me tira par la laisse et me demanda de faire le tour du salon, en prenant la laisse dans la bouche comme les chiens savants. Enfin, elle m’apprit à parler chien : 1 aboiement pour dire oui et 2 aboiements pour demander quelque chose. Il m’était interdit de dire NON.

Acceptation totale de ma soumission!

 

Elle s’assit sur ma croupe et me tapota.

-HUM….quel beau cul! tu as un cul de pute! Ainsi, tu seras ma salope! Un de ces jours, je ferais une tournante et ta craquette(mon anus) servira aux godes de ces dames ou aux queues de ces messieurs!

Sans même rendre compte, j’ai dit :

-oui maîtresse VIOL !

Ensuite, elle me demanda d’essayer les culottes. Elle était ravie!

-plus tard, tu achèteras des bas et des collants et tu deviendras ma pute! Je te ferais prendre par des hommes.

Ensuite, nous nous sommes revus plusieurs fois. J’étais heureux d’avoir accepté la soumission et d’être devenu son esclave. En fait, j’avais atteint le stade de la soumission cérébrale, qui pour moi, d’après mon expérience, est la situation la plus importante, afin de tout accepter, coups de pieds, de poings, gifles, humiliation devant d’autres personnes etc…

Ce lâcher prise, elle avait su l’accepter par ses mots et ses insultes, J’avais, toujours, le sexe raide à chaque parole. Ainsi, j’étais prêt à tout pour elle, rien pour moi! Quelle joie de m’entendre appeler, LOPETTE, SOUS-MERDE, LARVE, LECHE CUL, PUTE! Parfois, elle me sifflait pour m’appeler, lorsque nous nous promenions en ville. J’étais devenu son valet, sa chose son objet.

Le contrat de soumission

 

Un jour de juin 2010, elle vint avec un cadeau et un contrat de soumission, que je devais lire et parapher en deux exemplaires. voici le contenu de ce contrat de soumission.

Il était précisé que ce pacte nous lier sous la forme d’un couple gynarchique, que je lui appartenait complètement, corps et âme. Elle avait tous les droits sur moi, droit de vie et de mort, que j’étais sa lopette. Ainsi, elle pouvait faire ce quelle désirait de moi, me vendre me prêter, ou me louer. Tout lui était permis sur moi : Gifles, coups de pieds, de poings, cravache, fessées, martinet, introduction anale supplice de la bougie, même me laisser toute la journée attaché pendant qu’elle se promène. Elle pouvait se servir de moi comme cendrier, crachoir, WC ambulant… Le seul droit que j’avais était de me taire, ne rien demander, et attendre ma pitance et la nourriture quelle voulait bien cracher dans mon plat.

De plus, il était précisé dans ce contrat de soumission que je devais faire abstinence et que je pouvais jouir, seulement, lorsqu’elle voudrait bien me traire. Si ce contrat de soumission n’était pas paraphé, il y aurait arrêt complet des visites. Je m’empressai, donc, de signer car je voulais lui appartenir pour toujours.

En ce qui concernait le cadeau, il s’agissait d’une grande gamelle de chien en inox.

Toujours sous son influence, mon âme et mon corps était a sa disposition et je ne vivais que pour elle. Le plus remarquable, c’était qu’elle mesurait 1.60m et ne pesait pas plus que 55kg avait un corps juvénile et des petits seins. Elle s’habillait, souvent, en jeune fille. Cependant, elle était plus forte que moi et me dirigeait comme un enfant. J’avais l’appréhension de ses réaction parfois lorsqu’elle me donnait des raclées assez poussées qui me laissaient pantois au sol.

Eduqué pour son plaisir!

 

Mais je ne vivais que pour son bonheur. Elle m’avait éduqué pour son plaisir!

Parfois lorsqu’elle lisait un livre dans le fauteuil, elle me demandait de me mettre à genoux en face d’elle. Ensuite, elle écartait ses cuisses et me demandait ce que je voyais.

-Je vois vos cuisses.

La première fois, je reçus une gifle tellement forte que j’ai pleuré de douleur.

-ah! pardon vos cuisses merveilleuses et votre culotte…

Je devais lui faire les louanges de sa culotte.

-Ho! quelle belle culotte qui protège le sexe et le postérieur de ma très belle maîtresse! Toi qui sait garder les odeurs de cyprine et du fondement du beau cul royal! Toi belle culotte, quelle joie j’aurais quand je pourrais te sentir et te lécher! En attendant, je sais que tu es supérieure à moi et j’attends tes ordres.

Ces odes, je devais souvent lui dire dans les toilettes, en la regardant sortir de son anus royal de beaux boudins de crotte. Je devais, aussi, clamer que son caca était, supérieur à moi. C’était pour cela que ma divine altesse m’appelait SOUS-MERDE. Il en allait, de même, pour son urine chaud et odorante, un régal pour ma bouche.

Je devais ensuite les sentir puis lui lécher son sexe pour le nettoyer. Enfin, je devais manger le papier toilette qui avait servi à nettoyer son auguste cul. Sinon pendant la journée, on était parfois tranquille devant la télévision ou on lisait des livres. Je dois rappeler, ici, que son mari était souvent, en mission, en Afrique. Cependant, je devais toujours être prêt à répondre à ses moindres désirs.

Des journées plus torrides!

 

Parfois, il y avait des journées plus torrides. Une journée torride se passait souvent en plusieurs étapes. Au début, j’étais, toujours nu, devant la porte d’entrée avec la laisse autour du cou, un plug dans l’anus. Ensuite, je devais faire le ménage, la vaisselle et parfois je nettoyais avec la langue la lunette des WC. Je recevais de sacrées dérouillées pour n’importe quelle bêtise, des coups de poing, des coups de pieds.

Elle me crachait dans la bouche. Ma langue lui servait de mouchoir. Elle me promenait avec la laisse. Je devais me comporter comme un chien et ainsi, je devais aboyer.

Après un lavement, elle aimait mettre des doigts ou sa main dans le cul. Dans le même temps, elle me criait :

-tu es à moi! tu m’appartiens!

Souvent, j’étais menotté sur un meuble, le cul prêt à subir son god ceinture et lorsqu’elle était énervée par un collègue de travail, elle me faisait le supplice de la bougie. J’avais le sexe tout raide et cela l’excitait encore plus. A la fin, je devais me mettre à 4 pattes. Elle se mettait debout ses cuisses entre ma tête puis elle serrait fortement pour étouffer. Ensuite, elle se penchait pour me traire comme une vache tout en m’abreuvant d’insultes. Elle me disait qu’elle avait un droit de cuissage ainsi que le droit de vie sur moi.

Des moments plus calmes et tendres

Ensuite, elle ajoutait qu’elle était plus forte que moi et que je n’étais qu’une lavette. Elle était ma supérieure et moi, son simple subalterne, un con, une pédale, une lopette, sa pute.  En général à ce moment précis, je giclais mon sperme sur le sol en criant de joie. Je pense que je ne pouvais plus me retenir car j’étais étranglé et je dépendais de sa force de toutes.  De plus elle me trayait la queue.

Pour finir, je léchais mon sperme. Quant à elle, elle était assise devant moi et elle se caressait comme une folle son sexe à travers sa culotte. Elle me demandait de la regarder. Pour finir, elle avait une jouissance infinie, avec beaucoup de pertes liquides, que je devais lécher, soit au rebord du fauteuil ou sur le sol.

Ensuite, il y avait une période plus calme, pendant laquelle, je profitais de sa tendresse.
Elle me caressait la tête, les cheveux. On prenait le café, elle sur le fauteuil et moi à ses pieds. En guise de sucre, j’avais droit un crachat. Une fois, j’ai du faire mon café avec de l’eau des cuvettes des WC. Parfois à table pour le déjeuner, elle était assise sur une chaise et moi au sol avec ma gamelle en inox remplie de la nourriture qu’elle avait bien voulu cracher dedans. Le tout était accompagné d’un verre de son champagne de premier choix.

Elle me tirait doucement sur la laisse et me racontait tous ses déboires avec son mari ou les ennuis dans service. En me caressant la tête, elle m’appelait mon chien.

-Tu sais tu es merveilleux.

Elle me parlait de ses jouissances qui ressemblaient à une petite mort. Elle ajoutait qu’elle ne voulait plus de contact, de pénétration.

Permission de parler

 

Et moi, je lui demandais la permission de parler. Ainsi, je lui exprimais, aussi le bonheur que j’avais de la connaître. J’ajoutais que moi aussi mes jouissances étaient, infiniment, plus importantes qu’avant. En fait, j’avais l’impression de partir au delà de la vie, et que je l’aimais comme un fou de ce plaisir qu’elle me donnait. J’exprimais aussi le fait que j’étais heureux de vivre en perpétuel soumis même pendant les moments calmes. Ainsi, je connaissais ma place devant elle et que je la voyais toujours comme ma supérieure.

Je la remerciais de m’avoir ouvert les yeux sur la place des femmes. Ces dernières sont largement plus fortes que nous les hommes. Elles sont d’une race supérieure. J’ajoutais que j’étais entièrement satisfait d’être sa chose et que je ne lui réclamais rien, que mon bonheur était de la servir et que j’avais un immense amour pour ma maîtresse VIOLL…

Elle finissait par tirer sur la laisse ou par les cheveux et me disait MERCI avec un petit bisous sur les lèvres. Pour moi, ces instants sont gravés à jamais dans ma mémoire.

En fait, je le répète mais la soumission cérébrale est obligatoire car sans cela, il est impossible d’accepter les coups, les humiliations et d’admettre que la femme est d’une race supérieure!
Il est impossible de donner tout son amour à sa maîtresse jusqu’à lui donner votre vie,

Suite de mon éducation

 

Je n’ai pas du tout aimer la première fois qu’elle m’a introduit la main dans mon anus. Ainsi, pendant trois mois, elle a essayé plusieurs godes et des aliments comme des bananes, des courgette, des carottes, et même un concombre. Enfin de compte, cela a été plus facile que je ne le pensais. L’anus a un muscle facile à dilater. Malgré la douleur, j’étais heureux de lui offrir mon anus. La difficulté, ce n’était pas ses doigts mais de passer les phalanges de sa main. Heureusement, elle avait une petite main. A la fin, elle était ravie car elle pourrait me prêter à des hommes ou des femmes.

5 mois après notre première rencontre, elle me demanda de me préparer, cul nu en direction de la porte entrouverte, laisse au cou, sans plug mais avec des ustensiles près de moi. Toujours très excité lorsque j’entendis la porte s’ouvrir puis je l’entendis venir vers moi en discutant avec un homme. La présence de cet homme me mit mal a l’aise. Elle vint me chuchoter à l’oreille :

-tu es ma pédale! Tu est à moi! Sache que tu m’appartiens et je fais ce je veux de toi! Tu es ma pute, ma grosse salope! Fais plaisir à ta maîtresse, sache que tu m’appartiens et lui n’est qu’un amusement.

Alors, je repris confiance car je savais qu’elle me protégeait. Elle se leva et fit les présentations.

-voici ma SOUS-MERDE, une PEDALE qui a un garage à bites! Voici Véronique une lopette qui adore s’habiller en fille. Regarde espèce de pute.

J’ai vu devant moi un garçon torse nu sans poil, avec une culotte tanga, des bas et chaussures talons aiguilles. Il me faisait bander comme un fou! VIOLL le remarqua.

-tu vois salope que tu aimes les bites et la sienne est belle.

Soirée à trois pour le plus grand plaisir de ma Maîtresse

 

Elle me tira sur la laisse et me demanda de faire un tour du salon en aboyant, la laisse dans la bouche. Ensuite, j’ai du montrer que j’étais un chien savant. Elle me demanda de me mettre à genoux devant le garçon. Ensuite, elle lui claqua le cul en lui parlant comme à une fille puis elle lui a sorti sa queue en me la présentant. Elle était longue mais pas trop épaisse et me demanda de lui faire pleins de bisous sur son gland et ses bourses.

Je fus surpris par la bonne odeur de son sexe et de la consistance du gland. Ensuite, j’ai du continuer à baiser ses cuisses et ses pieds pour montrer ma docilité. Ma maîtresse, pendant ce temps là, prit la camera et filma toute la scène. Elle dit qu’elle était au « nirvana » et que surement, elle allait jouir sans se toucher. Cela me fit très plaisir.  Je voulais me surpasser pour elle.. Après, il se retourna et me montra son petit cul bien ferme.

VIOLL… me demanda aussi de faire pleins de bises sur son postérieur. J’étais un peu réticent. Aussi, elle m’appuya la tête contre son cul. Je trouvai l’odeur agréable et sans ordre de ma maîtresse, je commençai à lécher sa raie du cul. Ensuite, j’enfonçai ma tête pour sentir et faire pénétrer ma langue profondément dans son trou de cul. VIOLL.. était surprise et enchantée, plutôt excitée de voir sa pédale bouffait le cul d’un inconnu.

Elle devint devenue folle puis elle me cria :

-bouffe lui le cul pédale! grosse salope goûte son trou à caca!

Fin de l’éducation

 

Elle avait l’autre main dans son sexe et se frottait très fort. Ensuite, il se retourna. Je dûs prendre son sexe en bouche, le plus profondément possible malgré sa longueur. Le garçon était content. Il disait que je bouffais sa queue aussi bien qu’une pute. Je voulais gober le maxi pour faire plaisir à ma maîtresse qui me dit :

-ça y est tu es prête à servir pour les tournantes.

C’est aller très très vite sans m’apercevoir. Il pointait son dard vers ma craquette et l’enfonça très facilement même moi j’étais étonné mais je vous assure quel bonheur de faire plaisir comme cela ma maîtresse et de recevoir un sexe tout chaud dans l’anus. VIOLL.. cria comme une folle et nous traita de tous les noms. Enfin, il a joui en dehors sur la cuisse de ma Maîtresse et celle-ci m’a demandé de nettoyer. En même temps, elle a eu une jouissance incomparable. Mais bon dieu que cela fut bon! Le fait de faire plaisir à mon amour, et de savoir qu’on me filmait et aussi qu’une autre personne était présente, tout cela m’a fait jouir dès qu’elle a commencé la traie.

 

soumission

Défouloir pour ma Maitresse!

 

Un jour, un an après notre première rencontre, elle me téléphona vers 19h45. Je la sentis furieuse, suite à une réunion de travail. Ma Maîtresse me demanda d’être présent en voiture avec tous les ustensiles ainsi que la laisse autour du cou et le plug à queue dans le cul. Le rendez vous devait avoir lieu à l’orée d’une forêt qui se trouvait entre MARENNES et LA TREMBLADE après le pont de la SEUDRE direction RONCE.

J’arrivai au parking et j’attendis, angoissé, son appel. Il n’y avait personne dans les environs. Cela me calma un peu. Elle arriva, enfin, et elle se dirigea vers moi, en me demandant de baisser la vitre de l’auto. Ensuite, elle m’adressa un coup de poing et une gifle. Avant que je dise quelque chose, elle m’obligea à ouvrir la bouche et elle me mit sa culotte portée dans la journée. J’étais heureux de recevoir ses coups mais je les sentais bien forts. Heureusement grâce à sa corpulence, je pouvais accepter cela sans broncher.

Elle me dit qu’elle était énervée à cause de sa réunion. Le fait de me taper aidait la colère à passer doucement. Elle me demanda de me déshabiller et de sortir de la voiture. A genoux, je rejoignis la forêt. Elle me tirait par la laisse.

-Alors, mon cabot, allez aboie pour le plaisir de ta maîtresse!

J’aboyai jusqu’au premier chemin. On s’arrêta et elle prit une branche verte puis elle enleva les feuilles pour la rendre flexible et me donna des coups sur le cul et le dos. Elle cria sur ses collègues. J’ai joui de douleur mais surtout de savoir qu’elle avait besoin de moi pour passer ses nerfs. Elle s’aperçut de ma jouissance et elle continua plus fort et en me donnant des coups de pieds. En fait, je ne je devais jouir que sur son ordre!

Je reçus des coups de pieds sur les cotes, le cul, des gifles. Elle me demanda de me mettre à genoux puis elle me donna plusieurs coups de poing. Ensuite, elle m’obligea à ouvrir la bouche pour cracher tout son venin. Après un dernier coup de poing et une gifle, je suis tombé sur le sable.

Fin de ma soumission à cette magnifique dominatrice

 

Enfin, elle s’est assise sur ma figure et ma dit que j’étais un idiot, un abruti que je méritais ma punition. Elle se leva et me laissa respirer. Devant moi, elle se mit à pleurer. Personne était présent pendant ce tabassage. Le lendemain, elle me soigna et j’eus pour la première et dernière fois la possibilité de la voir toute nue, mon dieu qu’elle était belle.

Au mois de septembre 2012, son mari fut muté dans l’est de la France. C’est avec un très grand déchirement que j’ai vu partir ma maîtresse VIOLL… elle aussi je suis sûr qu’elle était triste. On a passé le dernier après-midi dans la tendresse. Elle me demanda de plus avoir de contact pour que son mari n’ai aucun soupçon.

Quelques temps plus tard, j’eus envie de retrouver une Maîtresse car cette relation de soumission me manquait. J‘ai cherché et répondu à des annonces. Mais quel gâchis! Ce n’était pas vraiment des maîtresses. Elles ne voulaient que de l’argent.