Cette phrase prononcée maints fois par les femmes dominatrices dignes de ce nom doit faire trembler de peur ou d'excitation tout homme servant sous leurs ordres.Elle doit faire résonner en lui de curieux souvenirs imprégnés de honte et de trouble du temps où il vivait sous l'autorité des femmes , en particulier celles de son entourage de jeune homme. Le désir irrépressible de devenir un homme soumis remonte souvent à sa jeunesse. A cette de l'adolescence où l'on ressent les premiers troubles vis-à-vis des personnes du sexe féminin. Ce n'est pas facile de vivre avec des femmes très à cheval sur la morale et qui considère comme la pire des hontes de feuilleter des revues coquines ou simplement de regarder les pages lingeries des catalogues de mode. Personnellement, j'ai été élevé par une Maman très à cheval sur les bases d'une bonne éducation telle que politesse, obéissance , travail en particulier. Elle avait un tempérament très Mère-poule, à la fois très tendre et très sévère quant il fallait, et même un peu autoritaire, ce qui m'impressionnait beaucoup. Je me souvient encore, 30 ans après, de la fessée déculottée , qu'elle m'avait donnée pour avoir désobéir à ses consignes. C'était un mercredi, que j'appellerais "la journée de la jupe", le seul jour où j'étais seul avec Maman, qui exerçait souvent l'autorité parentale, car mon père travaillait en horaires décalés. Titillé par les choses de la vie comme tout adolescent, je feuilletais en cachette les pages lingerie de ses catalogue de prêt-à-porter bien connus, tout en étant allongé sur mon lit Je n'avais entendu ma mère monter les escaliers et elle ouvrit la porte de ma chambre pour m'y apporter mes affaires repassées "Oooh, tu as osé, petit vicieux ! Qu'est-ce-que fait ?? Tu m'as désobéis ! Qu'est-ce -que j'avais dit ??". Evidemment, s'ensuivit une belle engueulade. Mais ma mère, malgré mes explications, décida de me punir pour cette affront: une belle et mémorable fessée, déculottée, en travers de ses genoux, sur sa jupe écossaise plissée. Agé de 17 ans, ce fut terriblement honteux et troublant pour moi de me retrouver dans cette situation. D'autant que j'étais d'un caractère timide, et je n'osais me rebeller. Ma mère considérait la fessée déculottée comme dissuasive. Mais celle-ci se passait dans le cadre intime dans ma chambre, en tête-à-tête avec Maman. De plus son mode vestimentaire, de strictes jupes plissées et un lourd chignon (ma Maman atteignait alors l'âge mûr), accentuait cette ambiance de "Mère-Poule" très aimante et sévère à la fois. Mais je l'en remercie aujourd'hui , car ses bonnes fessées, si douloureuses, m'ont fait grandir "comme il faut" et devenir l'homme que je suis . Tout cela pour dire que derrière chaque homme "soumis" il y a une bonne Maman stricte qui veille. Nous gardons en nous cette empreinte indélébile de l'autorité maternelle dont certains hommes parviennent à se détacher tandis que d'autres rêvent de revivre à nouveau leur quotidien de jadis alors régenté par les femmes de leur entourage. Peter Pan
Bonjour à vus ,
RépondreSupprimerCette phrase prononcée maints fois par les femmes dominatrices dignes de ce nom doit faire trembler de peur ou d'excitation tout homme servant sous leurs ordres.Elle doit faire résonner en lui de curieux souvenirs imprégnés de honte et de trouble du temps où il vivait sous l'autorité des femmes , en particulier celles de son entourage de jeune homme.
Le désir irrépressible de devenir un homme soumis remonte souvent à sa jeunesse. A cette de l'adolescence où l'on ressent les premiers troubles vis-à-vis des personnes du sexe féminin. Ce n'est pas facile de vivre avec des femmes très à cheval sur la morale et qui considère comme la pire des hontes de feuilleter des revues coquines ou simplement de regarder les pages lingeries des catalogues de mode.
Personnellement, j'ai été élevé par une Maman très à cheval sur les bases d'une bonne éducation telle que politesse, obéissance , travail en particulier.
Elle avait un tempérament très Mère-poule, à la fois très tendre et très sévère quant il fallait, et même un peu autoritaire, ce qui m'impressionnait beaucoup.
Je me souvient encore, 30 ans après, de la fessée déculottée , qu'elle m'avait donnée pour avoir désobéir à ses consignes.
C'était un mercredi, que j'appellerais "la journée de la jupe", le seul jour où j'étais seul avec Maman, qui exerçait souvent l'autorité parentale, car mon père travaillait en horaires décalés. Titillé par les choses de la vie comme tout adolescent, je feuilletais en cachette les pages lingerie de ses catalogue de prêt-à-porter bien connus, tout en étant allongé sur mon lit Je n'avais entendu ma mère monter les escaliers et elle ouvrit la porte de ma chambre pour m'y apporter mes affaires repassées "Oooh, tu as osé, petit vicieux ! Qu'est-ce-que fait ?? Tu m'as désobéis ! Qu'est-ce -que j'avais dit ??". Evidemment, s'ensuivit une belle engueulade. Mais ma mère, malgré mes explications, décida de me punir pour cette affront: une belle et mémorable fessée, déculottée, en travers de ses genoux, sur sa jupe écossaise plissée. Agé de 17 ans, ce fut terriblement honteux et troublant pour moi de me retrouver dans cette situation. D'autant que j'étais d'un caractère timide, et je n'osais me rebeller. Ma mère considérait la fessée déculottée comme dissuasive. Mais celle-ci se passait dans le cadre intime dans ma chambre, en tête-à-tête avec Maman. De plus son mode vestimentaire, de strictes jupes plissées et un lourd chignon (ma Maman atteignait alors l'âge mûr), accentuait cette ambiance de "Mère-Poule" très aimante et sévère à la fois. Mais je l'en remercie aujourd'hui , car ses bonnes fessées, si douloureuses, m'ont fait grandir "comme il faut" et devenir l'homme que je suis .
Tout cela pour dire que derrière chaque homme "soumis" il y a une bonne Maman stricte qui veille.
Nous gardons en nous cette empreinte indélébile de l'autorité maternelle dont certains hommes parviennent à se détacher tandis que d'autres rêvent de revivre à nouveau leur quotidien de jadis alors régenté par les femmes de leur entourage.
Peter Pan