mercredi 28 août 2013

L'école des hommes

                                                                     
                   
Cette contribution vous est offerte par : david75014 
 
 
L'école des hommes
 
J'arrivais dans ce petit square au pied 
d'un immeuble bourgeois 
par un bel après midi d'été.
Avec un peu d'appréhension je composais 
le code de l'interphone. 
11h20, j'étais un peu en avance. 
Comme convenu, 
je m'étais soigneusement lavé, rasé de près 
et m'était vêtu 
d'un pantalon en toile noir et d'une chemise blanche 
avec le bouton du col ouvert.
Je partais m'assoir sur un banc pour attendre l'heure prévue.
Qu'est ce qui m'avait pris de contacter cette femme ?
C'était il y a maintenant 1 bon mois. Lors d'une journée d'ennuie, 
je me repassais mes 25 dernières années conjugale, la passion des débuts, 
les plaisirs qui s'ensuivent, l'arrivée des enfants, 
la vie qui défile avec celle que l'on aime, 
les enfants qui partent, le vide qui s'installe et la prémonition q
u'il faut changer les choses pour repartir 
de plus belle dans cette nouvelle vie.
Profession libérale, je ne travaillais plus qu'à mi temps, ma femme continuant 
son temps plein « parce qu'elle avait toujours voulu garder son indépendance » 
et surtout parce que son travail lui plaisait.
Divaguant sur le web, j'étais tombé sur cette annonce : 
«  Vous rêvez d'apprendre à servir les femmes 
pour mieux satisfaire la votre et ainsi vous retrouver 
dans une relation de couple 
épanouissante pour chacun ? 
Vous sentez instinctivement que votre place est aux pieds 
de votre compagne ? 
Envoyez photos et lettre de motivation. Je suis sélective  
donc ne soyez pas surpris d'être refusé. Annonce non vénale. »

Alors je m'étais dit : pourquoi pas, cela ne coute rien d'essayer.
Mine de rien, je me trouvais maintenant un rien ridicule, 
me demandant avec appréhension 
ce qui allait se passer. Brusque retour à la réalité.
11h28, il est temps d'aller sonner.
11H30 précise je compose fébrilement le code.
Silence.

Dois je recommencer ? Me suis je trompé de code ?

Une voix se fait enfin entendre. Un oui, sur un ton bienveillant et décidé, m'interroge 
finalement.
Panique.
« Bonjour Madame, je me présente, Grégoire, je viens vous voir comme convenu la semaine 
dernière. »
Ca commence bien me dis je, tu parles comme un lycéen devant la femme du proviseur.
« Dernier étage, porte droite en sortant de l'ascenseur » me répondit une voix 
avec une pointe d'amusement.

Arrivé devant la porte je sonne. Une belle femme d'une quarantaine d'année m'ouvre. 
Elle est vêtue d'une robe sombre à boutons sanglée d'une large ceinture à grosse boucle 
mettant en valeur une taille svelte. A ses pieds, des ballerines assorties à sa tenue. 
Le maquillage est discret.
« Entre ».
Je m'exécute.
« Suis moi dans le salon ».
Je la suis.
« Installe toi dans le fauteuil ».

Je m'enfonce confortablement dans ce large fauteuil et parcours du regard ce nouvel 
environnement. Trois grandes fenêtres donnent sur une petite terrasse fleurie dotée 
d'une vue superbe sur toute la ville. Dans cet espace cosy, trône en face de moi 
un canapé profond sur lequel s'allonge la maitresse de maison.

Elle me regarde. 

J'attends.

Un ange passe.

Son regard me sonde.
Silence géné de ma part. Qu'est ce que je fais là ?

« Bien, dit elle.
Comme tu le sais, tu es venus ici librement pour apprendre à servir les femmes, 
ou plus exactement ta femme. Es tu toujours d'accord avec cela ? »
« Oui. »
 « Oui Madame. N'oublie pas que je suis devenue ta préceptrice et que tu dois maintenir 
la distance nécessaire entre nous. »

Je baisse les yeux.
« Oui Madame. »
« Très bien. C'est toujours mieux quand les choses sont dites clairement.
Donc tu vas commencer par te tenir correctement s'il te plait. Quand tu es assis, 
tu dois toujours avoir le dos droit. Ce canapé n'est pas fait pour que tu te vautres. 
Tu dois être physiquement toujours prêt à répondre à mes désirs. »

Je me redresse, posant mes fesses au bord de l'assise du canapé, le dos bien droit.
Elle me scanne alors du regard. Je l'a voit passer en revue chaque détail de ma personne.

Elle me désigne un meuble bar dans le salon et me demande de lui servir un verre 
de porto accompagné d'olive.
Je m'exécute en silence et retourne m'assoir sur le fauteuil.
Elle se redresse. Sa jupe remontant légèrement laisse apercevoir une dentelle noire.
Elle me dévisage en souriant.
« Tu aimes ce que tu as vu ? »
« Oui Madame. »
« Dommage pour toi car tu n'en jouieras pas. Du moins pour l'instant car je n'ai pas 
l'accord de ta femme. »
Je tressaille. Ma femme. Que dirait elle si elle savait ?
Elle sourit. 
« Je suis ici pour t'apprendre à servir. Pas pour te donner du plaisir. Du moins pas 
directement. »

Elle déguste son apéritif en me questionnant sur ma vie passée, mes passions, mes désirs, 
mes fantasmes et mes frustrations.
Elle me demande enfin de la resservir et d'aller en cuisine lui préparer une salade composée, 
de mettre la table dans le salon avec deux couverts.
Je m’exécute.
Elle me demande de la servir et de veiller à toujours lui proposer du pain quand elle 
prendrait sa dernière bouchée de celui ci, ainsi qu'à ce que ses verres de rosé et d'eau 
soit toujours correctement remplis.
Je passe donc le repas préoccupé ainsi.

A la fin de celui ci, elle me demande de débarrasser la table, lui préparer un café, lui 
servir dans le salon et d'aller faire la vaisselle.
J'obéis en la maudissant de ne pas avoir de lave vaisselle. Ah si finalement il y en a un 
et il est à moitié plein.
Je mets donc les assiettes, les plats, les verres et les couverts dedans, 
je fouille un peu et fini par tomber sur le produit lave vaisselle. Je mets la dose 
et j'appuie sur le bouton « marche ». Le lave vaisselle se lance.
Je reviens le sourire aux lèvres.

Mine consternée et autoritaire de la maitresse de maison.
« Je t'ai demandé de faire la vaisselle, pas de mettre dans le lave vaisselle et le lancer ».
« Mais enfin, il m'a semblé plus simple de faire ainsi ».
« Ne discute pas.  Tu m'as désobéi. C'est contraire à nos accords.  Donc tu vas aller arrêter 
ce lave vaisselle de suite et tu vas faire toute la vaisselle qu'il contient à la main.... 
Exécution ! ».
« Mais.... »
« Pas de mais, sinon soit tu t'en vas et on en reste là, soit on continue à discuter et 
tu tâteras de ma cravache pour apprendre à vouloir remettre en cause mes décisions 
avant d'aller finalement faire cette vaisselle que je t'ai demandé. »

Je reste debout devant elle bouche bée : une cravache en cuir courte est rangée derrière 
le dossier du canapé. Elle me le met sous le nez en l'agitant.
Bizarrement je sens une énorme érection commencer à envahir mon pantalon.
« Alors quel est ton choix ? »
« Je vais aller faire la vaisselle »
« Bonne décision Grégoire ».

Pendant que je fais la vaisselle, un opéra empli l'espace. Une fois ma tache 
exécutée non sans mal, je reviens dans le salon.
La maitresse de maison est allongée sur le canapé, écoutant rêveusement son opéra.
Elle m'aperçoit.
« Tu as nettoyé la cuisine après avoir fait la vaisselle ?
« Euh non »
« Alors qu'attends tu ? »
Sa main glisse derrière le dossier du canapé.
« J'y vais Madame ».
Sourire satisfait de celle ci.

L'opéra arrive à sa fin. J'attaque le lessivage du sol. Une musique jazz ambiance cool 
commence à se faire entendre.
J'ai enfin fini et je retourne au salon. Les volets ont été positionnés de sorte à 
créer une légère pénombre. 
« La cuisine est propre ? »
« Oui Madame ».
« Bien. J'aime quand les taches domestiques sont faites, cela me libère l'esprit de 
ces contingences.
Comme tu m'as été agréable, j'ai envie que tu m'en donnes plus encore. Déshabille toi. »

Je m'exécute. Je remarque alors la petite boite sur la table basse qu'elle ouvre. 
Il contient une sorte de longue cage de forme cylindrique fermée par un petit cadenas.
Mon érection est monumentale. Elle la voit.
« Tu n'es pas la pour bander mais pour me servir. Débande de suite »
« Mais je ne peux pas Madame »
« Oh si tu vas pouvoir fais moi confiance »
Elle se lève et prend sa cravache. Elle me tourne autour et vient derrière pour me caresser 
les fesses avec. Elle glisse le carré en cuir de la cravache dans mon sillon fessier. 
Je frémis.
« Intéressant » dit elle.
 Elle quitte mes fesse et tourne autour de moi en laissant sa cravache parcourir mon bassin. 
La cravache arrive à mes testicules, remonte le long de la hampe, se dirige vers ma poitrine 
en égratignant mon frein au passage.
Re frémissement. Je lache un gémissement.
« Vraiment intéressant » sourie-t-elle.

Je bande plus fort que jamais.
« Normalement je devrais te cravacher jusqu'à ce que tu débandes et au delà pour t'apprendre 
à désobéir mais pour l'instant je vais rester soft ».
Elle m'empoigne alors le sexe et me dirige sans ménagement jusqu'à la salle de bain.
En déambulant dans l'appartement mon sexe dans sa main, je sens mon plaisir monté de plus en 
plus fort.
Elle le sent et s'arrête net. Elle me regarde droit dans les yeux et m'oblige à me mettre à 
genoux en me tirant les testicules.
Douleur fulgurante et inattendue. Je laisse sortir un petit cri de douleur. Le plaisir 
montant redescend un peu.
« Je t'ai dit que tu n'étais pas là pour jouir mais pour obéir. Mets toi à quatre patte 
et avance devant moi dans le couloir comme un bon chien obéissant. »
Un coup de pied aux fesses accompagne ces paroles.
J'obéis.

En suivant ces ordres, j'arrive à la salle de bain ou un jet d'eau glacé bien orienté 
met fin à mon érection rapidement.
Elle m'ordonne de me sécher et me pose alors directement la cage de chasteté.
Ceci fait elle se recule un peu pour mieux me voir, nue devant elle, le regard un peu perdu, 
un peu soumis à sa volonté, avec mon sexe en cage et la clé de la libération dans sa main.
Instinctivement je cache mon sexe avec mes mains. Le contact de la cage me trouble. 
Je réalise que mon sexe ne m'appartient plus.
Je retire mes mains, remets mes mains. 
Elle observe la scène avec un air de satisfaction intense. Ces yeux brillent de contentement.
Elle m'ordonne de la suivre, nous retournons au salon ou elle se rallonge sur le canapé 
en me demandant de desservir le café, faire cette vaisselle et revenir la voir.
Je fais ce qu'elle me demande sans rien dire. La cage qui emprisonne mon sexe me fait 
une sensation étrange. Elle me rappelle insidieusement que je ne suis plus tout à fait moi. 
Je pense à ma femme et me dit que nous ne sommes plus d'un coup tout à fait nous.

Quand je reviens de la cuisine, la maitresse de maison est toujours sur son canapé, 
la cravache bien en évidence sur la table basse à portée de main.
Elle me sourit, me félicite pour mon obéissance et me dit qu'elle a envie de faire une 
petite sieste mais qu'avant il me faudra la relaxer agréablement.
Elle remonte alors sa robe et écarte largement ses cuisses. Une culotte en dentelle 
noire laisse deviner une toison fournie qui dépasse de celle ci.
« Vient t'agenouiller entre mes cuisses et lèche moi »
« Avec plaisir Madame » répondis je en m'agenouillant.
« Ton plaisir on s'en moque Grégoire, vient me lécher et épargne moi tes commentaires 
déplacé s'il te plait ».

Je viens entre ses cuisses, découvre un joli string et commence à respirer cette intimité 
offerte. Mon nez frole le tissus. Quelques poils sortant de la dentelle viennent me rappeler 
qu'il y a autre chose sous celle ci. J'écarte le triangle de dentelle pour en découvrir un 
autre déjà gonflé et brillant de désir. 
Ma langue commence à gouter les grandes levres. Un tressaillement du bassin m'indique que 
ma maitresse de maison goute à cette pratique. Un alanguissement général de son corps
 m'encourage à aller plus loin.

Je retire le string, elle s'ouvre complètement et me regarde avec un air de satisfaction 
prononcé.
Je replonge dans son sexe.Sa main qui vient se poser sur ma nuque pour me plaquer fermement 
contres son sexe ouvert. 
Ma langue la pénètre pour gouter sa cyprine. Petite acidité sous la langue. Je m'enfonce 
plus profondément en elle. Un spasme et une main autoritaire me maintienne 
dans cette position. La cyprine est de plus en plus abondante. 
J'en ai sur le nez et les lèvres, dans la bouche. 
Je ne respire plus que l'odeur de cette femme.
Je ne goûte plus que le désir de cette femme. 
Je n'entends plus que son souffle, je ne touche plus que son corps et ne peux plus voir 
dans ma position que son bas ventre qui parfois se contracte.
Je sens mon sexe qui voudrait bien s'épanouir mais qui est limité à l'espace restreint de 
cette cage.
Une gène intense et une immense frustration m'envahissent. Je veux la prendre de toutes 
mes forces pour la faire hurler mais pour cela je n'ai que ma langue. Alors je m'abandonne 
à sa main, m'applique à comprendre ses consignes. Je durci ma langue et la pénètre 
au plus loin que je peux. 

La pression sur ma nuque se relâche. Je recule un peu ma bouche. La main me replaque 
aussitôt un peu plus haut sur le clitoris. Je commence à le lécher par de petits cercles 
léger mais la pression de la main se fait plus forte.
Je lèche alors goulument ce clitoris, élargissant le plus possible ma langue, pendant 
que mon menton pénètre son sexe par des va-et-vient de mâchoire régulier.
La femme râle, des spasmes commencent à se déclencher dans son bassin qui commence à durcir 
de plus en plus souvent et longuement.
Finalement, elle explose dans un cri. Elle me repousse la tête enfin et me laisse agenouillé 
à ses cotés pendant qu'elle reprend son souffle.
Enfin elle me dit d'aller prendre une douche.

Je me dirige donc vers la salle de bain pendant qu'elle s'endort sur le canapé, les cuisses 
encore écartées, le sexe luisant de tout le plaisir qu'elle a eu.

Quand je reviens 15 mn après, je l'a retrouve assise sur le canapé. Elle me demande de 
m'approcher et me retire la cage.
Instantanément je me remets à bander.
Elle rit, me met une petite claque douloureuse sur mon gland turgescent et me demande de me 
rhabiller et de rentrer chez moi attendre ma femme sans me branler d'ici là.

En chemin, je repense à cette folle journée et je bande comme à 20 ans. Je me rends compte 
que je ne connais rien de cette femme si ce n'est un mail ladyvine@monmail.com et un numéro 
d'interphone.

J'ai une heure à attendre avant que ma femme ne rentre. Que vais je bien pouvoir faire pour 
résister à cette envie folle de me branler et d'enfin prendre mon plaisir?.
C'est alors que je décide de préparer un bon petit plat à ma femme et de me jeter dans les 
taches domestiques.

Quand ma femme rentre, l'entrée est propre, cela sent bon dans la cuisine, j'ai dressé le 
couvert dans le salon et préparé une jolie table.
Elle est toute surprise et me demande ce qui lui vaut cet accueil si spécial. Que fête-t-on ?
« Rien lui dis je, c'est juste que ce soir j'avais envie d'un peu de changement».
En disant cela je lui prends la main et la pose sur ma braguette alourdie de toutes ces 
tensions de la journée pour la diriger vers la chambre.
« Attends me dit elle ». 
Docilement je lache sa main et reste à ses cotés.
Elle commence à vouloir enlever ses chaussures. D'instinct je me jette à ses pieds pour 
les lui enlever et y déposer un baiser.
Elle apprécie le geste, troublée.
« Je ne sais pas ce qui t'es arrivé aujourd'hui mais c'est bien la première fois que 
tu fais cela. Voyons si tu es aussi attentionné au lit. »
Elle se penche sur moi, me redresse et m’amène dans la chambre nuptiale. 

----- A suivre ------ 
 
 

2 commentaires:

  1. J'adore...
    Qui me fait signe ?
    Marc LeFameux @Facebook (suis sur Paris)
    ou reve.gentleman@gmail.com

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  2. Vraiment un bien beau récit que voilà
    Sérieusement j'ai bien besoin d'une bonne leçon pour redonner toute l'attention que ma femme mérite
    Qui contacter ?

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