"La fessée" ! le mot fétiche qui terrifie et trouble à la fois. En particulier chez un homme. Personnellement, cela évoque la période de mon adolescence, il y a une bonne trentaine d'années,N à ce moment dans la vie où s'éveille notre intérêt pour les choses de la vie et les personnes du sexe opposé. Complexé par mon physique malingre, j'était d'un naturel timide de surcroit. De plus, d'une santé fragile, ma Maman me couvait d'un œil à la fois tendre et sévère. Très "mère-poule", avec une pointe d'autoritaire dans son caractère, elle me jugeait alors trop jeune , à 19 ans passés, pour "courir les filles". Cependant, j'avais mes désirs propres. Elle se montrait très stricte sur l'éducation -politesse, obéissance, réussite scolaire- et toute entorse à la règle était sévèrement punie. Je feuilletais un jour en cachette les pages "lingeries" de ses gros catalogues de mode en VPC bien connus style La Redoute, en étant allongé sur mon lit. Je n'avais entendu ma mère dans les escaliers et elle ouvrit la porte de ma chambre, des affaires repassées à la main. Je bredouillais des excuses en essayant de dissimuler les catalogues. Ma mère , rouge de colère, posa le linge et me saisit par le poignet en me grondant . Devant mon silence, elle m'annonça qu'elle allait me punir pour lui avoir volontairement désobéi. En deux temps trois mouvements, ma maman me déculotta et, assise sur le bord du lit , me bascula à plat-ventre , en travers de sa longue jupe plissée écossaise (ma mère aimait les jupes style kilt). Elle me sermonna comme peut le faire une Maman en colère après son fils en pareil cas. J'étais à la fois honteux et troublé à 19 ans passés, d'être encore fessé par ma mère comme un gamin fautif. Et ce d'autant qu'à cet âge, on veut montrer qu'on devient un homme. Que nenni. Ma mère pensait "qu'une bonne fessée fait grandir les garçons comme il faut". Et s'ensuivit pour moi une belle fessée. De plus, ma maman , en pleine maturité, portait alors régulièrement, jupe plissée, chemisier et gilet et cette tenue stricte renforçait le côté "maternisateur" de la fessée et instaurait ainsi une certaine dépendance affective dans mon éducation. Et je comprend les hommes qui ne s'épanouissent sous la paume sévère d'une Femme. L'éducation stricte qu'ils ont pu recevoir d'une figure féminine dans leur jeunesse , qu'elle fut Maman, Tante, Marraine ou Nounou ou autre, a pu orienté leur préférence pour les Femmes dominantes à l'âge adulte. Du moins c'est mon avis. Nos relations premières avec les femmes conditionnent nos futures rapports avec elles plus tard. Peter Pan
Bonjour à vous,
RépondreSupprimer"La fessée" ! le mot fétiche qui terrifie et trouble à la fois. En particulier chez un homme.
Personnellement, cela évoque la période de mon adolescence, il y a une bonne trentaine d'années,N à ce moment dans la vie où s'éveille notre intérêt pour les choses de la vie et les personnes du sexe opposé. Complexé par mon physique malingre, j'était d'un naturel timide de surcroit. De plus, d'une santé fragile, ma Maman me couvait d'un œil à la fois tendre et sévère. Très "mère-poule", avec une pointe d'autoritaire dans son caractère, elle me jugeait alors trop jeune , à 19 ans passés, pour "courir les filles". Cependant, j'avais mes désirs propres.
Elle se montrait très stricte sur l'éducation -politesse, obéissance, réussite scolaire- et toute entorse à la règle était sévèrement punie.
Je feuilletais un jour en cachette les pages "lingeries" de ses gros catalogues de mode en VPC bien connus style La Redoute, en étant allongé sur mon lit.
Je n'avais entendu ma mère dans les escaliers et elle ouvrit la porte de ma chambre, des affaires repassées à la main. Je bredouillais des excuses en essayant de dissimuler les catalogues. Ma mère , rouge de colère, posa le linge et me saisit par le poignet en me grondant . Devant mon silence, elle m'annonça qu'elle allait me punir pour lui avoir volontairement désobéi. En deux temps trois mouvements, ma maman me déculotta et, assise sur le bord du lit , me bascula à plat-ventre , en travers de sa longue jupe plissée écossaise (ma mère aimait les jupes style kilt). Elle me sermonna comme peut le faire une Maman en colère après son fils en pareil cas.
J'étais à la fois honteux et troublé à 19 ans passés, d'être encore fessé par ma mère comme un gamin fautif. Et ce d'autant qu'à cet âge, on veut montrer qu'on devient un homme. Que nenni. Ma mère pensait "qu'une bonne fessée fait grandir les garçons comme il faut". Et s'ensuivit pour moi une belle fessée.
De plus, ma maman , en pleine maturité, portait alors régulièrement, jupe plissée, chemisier et gilet et cette tenue stricte renforçait le côté "maternisateur" de la fessée et instaurait ainsi une certaine dépendance affective dans mon éducation. Et je comprend les hommes qui ne s'épanouissent sous la paume sévère d'une Femme. L'éducation stricte qu'ils ont pu recevoir d'une figure féminine dans leur jeunesse , qu'elle fut Maman, Tante, Marraine ou Nounou ou autre, a pu orienté leur préférence pour les Femmes dominantes à l'âge adulte. Du moins c'est mon avis. Nos relations premières avec les femmes conditionnent nos futures rapports avec elles plus tard.
Peter Pan