mardi 23 avril 2019

Histoire d'un homme soumis : Marie à tout prix (5)

Totalement homme soumis à Marie !




J’ai obéi, en homme soumis que je suis devenu. Le soir même où j’ai léché, docilement, le sexe de ma Maîtresse (curieux quiproquo dans le langage si les derniers chapitres n’ont pas été lus), j’ai rejoint ma femme et l’ai embrassé langoureusement. A-t-elle reconnu un parfum différent ? Elle ne l’a pas mentionné en tout cas. Et les baisers ont engagé la suite. Je ne cessais de penser à ma Maîtresse plutôt qu’à celle que j’aimais et qui descendait désormais vers la fellation, longue, parfaite.Puis je l’ai tournée d’autorité et, de ma contre-nature dominante, je l’ai baisée sans douceur. 

Avec cette rage dominante qui l’asservissait en simple et fragile objet sexuel qui gémissait son plaisir. Habitué à lui lancer des mots crus et asservissants pour la stimuler, ils n’avaient jamais sonné aussi vrais dans ma bouche que ce soir là. J’imaginais ma reine au bout du lit, le pied sur la tête courbée de ma peut-être future femme qui se faisait prendre en levrette.Marie avait réussi son coup. Elle était là, sans l’être. Elle occupait mes esprits, forçait par mon imagination ma soumission à ses yeux stricts et ses gestes parfaits. Ambre venait de perdre toute consistance. Elle l’avait ressenti, et elle en a joui. 

Pas moi.Conversation avec AmbreJ’ai la fâcheuse tendance à souvent tenir mes érections trop longtemps pour jouir avant mes partenaires. Je ne jouis pas facilement, et cela plaisait énormément à Ambre quand nos ébats duraient entre trente minutes et une heure. Je n’en retirais pas la même satisfaction. La seule frustration de ma petite amie était de ne pas être capable de me faire venir par fellation, pour les mêmes raisons. Elle mesurait un petit mètre soixante, ce qui rendait par ailleurs mon sexe de 17 cm suffisant pour elle. Je n’ai jamais eu de rapport avec de grandes femmes, j’ignorais si un gabarit comme celui-là pourrait autant satisfaire quelqu’un de plus grand.Nous nous sommes couchés après l’acte et avons longuement discuté. Il était difficile pour moi de la suivre sans faute quand elle parlait de sa meilleure amie. Je me demandais alors combien de temps un tel secret durerait. J’aurais souhaité à jamais.- Tu la trouves belle ? me demanda-t-elle soudainement.




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